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Critiques de Patrick McCabe (13)
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Le Garçon boucher

Lu il y a longtemps, ce roman avait remporté un grand succès littéraire en Irlande.

On y suit l'évolution d'un petit délinquant d'Irlande du Nord dans la violence d'un monde rural, tout ça avec une pointe d'humour noir.



Ce roman m'avait marqué par sa violence mais aussi par son style très particulier de tragi-comédie. Une belle trouvaille. J'avais essayé par la suite Mondo Desperado sans succès...

ce livre a été adapté en film du même nom qui a gagné un prix à l'Ours de Berlin.
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Le Garçon boucher

illisible!

L'écriture est saccadée, mélangée. On se croirait dans la tête d'un enfant peu malin, ce qui est le cas. (du coup c'est peut être réussi)

livre arrêté en cours de route c'est dire.
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Le Garçon boucher

Chronique de la folie ordinaire.



Francie Brady est un petit gars d'une bourgade d'Irlande du Nord. Bien qu'intellectuellement limité, il a une imagination féconde, comme bien des enfants, et heureusement d'ailleurs, car ça n'est pas vraiment gai au logis. Le père, autrefois apprécié pour ses talents de musicien, passe son temps au pub et ressasse sa vie ratée en maudissant tout le monde, la mère, quant à elle, est malade des nerfs. Le gamin passe son temps à faire les quatre cent coups avec son copain Joe Purcell. Un jour une simple dispute de voisinage entre madame Brady et une voisine, madame Nuggent, pour une banale histoire de larcin dont se sont rendus coupables les deux chenapans à l'encontre du fils de cette dernière, met le branle à un engrenage sans fin : Francie en est témoin et en garde une animosité, qui n'aura de cesse de grandir, envers cette dame.



C'est une histoire bien navrante. Comment la bêtise, le ressentiment, le déclassement social et l'absence d'autorité parentale entrainent l'irréparable. Le personnage principal en est le narrateur, enclin au chimérique et à l'affabulation puérile. Le récit est donc tributaire d'une éducation quasi inexistante, narré dans un style simple, avec très peu de ponctuation, parsemé de langage ordurier. Récompensé en Irlande, le roman a été l'objet d'une adaptation cinématographique, elle aussi primée. Une lecture tout de même dérangeante.
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Breakfast on pluto

Pussy-Patrick vous raconte son histoire et c’est d’abord une question de géographie. Et d’Histoire, soit la période de grande légèreté entre le Bloody Sunday et l’avènement de Margaret Thatcher. Soit la période d’intense activité de l’IRA, des bombes dans les pubs et de la répression tout aussi sanglante. À l’instar de l’héroïne, l’Irlande est une terre de frontières compliquées et poreuses. Beaucoup de morts, pas de héros. On n’est certes pas héroïque quand on tire dans le dos d’adolescents non armés ; on l’est encore moins quand on abat froidement un enfant trisomique après avoir violé sa mère qui aurait passé trop de temps avec les huguenots. Au cours des nombreux courts chapitres qui font le récit de Pussy, il y en aura plusieurs, des exécutions gratuites, à commencer par celle d’Irwin, l’ami d’enfance de la narratrice. Pussy ne commente pas, elle raconte avec son style inimitable, quoiqu’un peu moins Grande Zaza que le reste du roman. Et c’est à vous briser le cœur, tous ces gens qui meurent pour des prunes, pour l’idéal de quelqu’un d’autre. Elle a beau penser très fort à autre chose, Pussy, et « laisser les bombes à ceux que ça éclate » et faire de l’humour, il n’empêche qu’un à moment, on ne peut plus rester. Alors Londres, et l’amour qui est forcément là-bas puisqu’il n’est pas ici. Sauf que passé la mer, tout irlandais est un terroriste en puissance et Pussy survivra à une explosion pour mieux se faire arrêter – elle a le grand tort d’être un irlandais survivant au milieu d’anglais morts. Toujours au mauvais endroit au mauvais moment. Et la politique est partout - même dans votre lit, puisque le premier amant de Pussy est un politicien du Sinn Fèin, dénommé Totoche suite à une scabreuse histoire de sucette, qui finira en copeaux sur la chaussée. Lui aussi.

Histoire d’une folles irlandaise, histoire d’un gamin paumé, histoire d’un pays parti au diable. C’est l’histoire d’une vie insupportable. Pas de parents, la version alcoolique de la Fée Marraine en guise de substitut, des amis qui tombent comme des mouches, des ennemis à tous les coins de rue, le tapinage et les peep show, et même un serial killer un jour. L’horreur. Et pourtant Pussy est d’un optimisme forcené. Comme une môme – c’en est une, à vrai dire. « On dirait que ce serait la guerre et la mort, mais en fait ce serait pas vrai et j’en viendrais à bout à coup de Chanel n°5. » Elle tombe, elle défie avec un jargon à faire rougir un marin, on la jette à terre, mais elle se relève toujours, persuadée que l’Amour, avec tous les grands A de l’univers, sont au bout du chemin. Il y a des traits de naïveté fondante chez l’héroïne, comme ce rêve éveillé qu’elle fait de mourir très vieille entourée des dix rejetons qu’elle aura enfantés. Ou les scènes passionnées et tout à fait irréelles qu’elle vit avec son psychiatre. Le reste n’en est, bien sûr, que plus brutal.

On aime ou pas le côté cabaret du discours de Pussy-Patrick, cette parfaite incarnation stylistique de la Pute Magnifique. Très haut en couleurs, très imagé, parfois scabreux mais jamais vulgaire (par exemple et bien que ce soit son peu reluisant gagne-pain, il y a très peu de sexe dans le roman et toujours décrit avec humour), toujours drôle. Plus l’histoire est horrible, plus le texte est drôle. Essaie d’être drôle, parce qu’à un moment, quand la raison de Pussy part en loques, le miroir se fissure. S’entremêlent alors les retours en arrière, les scènes rêvées, des bris de réalité, qui compliquent un peu la lecture. La plupart du temps, elle en rajoute, elle en fait des caisses et on comprend très vite que l’outrance cache les blessures, l’abandon, la trouille. Pussy Braden est un personnage sacrément courageux, sous ses airs évaporés. C’est d’autant plus triste quand elle s’effondre.

Le grand intérêt du roman et la grande réussite du roman, ce n’est pas de savoir quoi penser de la question irlandaise, ou du transsexualisme. La grande réussite, c’est de dire que l’on n’apprend pas à se connaître, on apprend à s’inventer. À vivre non pas avec soi, mais une image de soi acceptable, une création volontaire, suffisamment forte pour s'opposer au reste. À la base, le récit est une commande du psychiatre de Pussy qui lui demande de raconter sa vie par écrit – l’aspect bousculé de la narration reprenant la psyché chancelante de la narratrice, mais pas que. Pussy écrit et cette nouvelle scène lui permet de s’inventer, de résister de la seule façon qu’elle a toujours connu. En faisant le show, en jouant à fond le glamour et l’éternel féminin, en chassant le naturel. S’écrire lui rend la vie supportable, permet à Pussy d’évoluer dans monde intolérable pour Patrick Braden. Sauf que le maquillage, même de scène, ça finit toujours par couler et laisser des traces, et le pauvre cœur explosé de Pussy est tout de même présent à chaque ligne. Mais il faut garder cela à l’esprit, la seule maîtrise que l’on peut avoir sur les évènements, c’est de les réinventer.
Lien : http://luluoffthebridge.blog..
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Breakfast on pluto

Avant toute chose, je tiens à remercier Libfly, le Furet du nord ainsi que les éditions Asphalte pour m’avoir donné l’opportunité de lire ce roman.

- Voici un livre qui me laisse sur un avis tout à fait positif. Je ne savais, une fois de plus pas trop à quoi m’attendre et j’ai découvert une histoire tout à fait inédite et pour le moins originale qui m’a transportée d’un bout à l’autre. Il s’agit donc de Patrick Braden un travesti prostitué qui raconte son histoire, et quelle histoire !

Ce que j’ai aimé dans ce livre c’est la façon qu’a l’auteur d’aborder les sujets, des sujets parfois lourds et très sérieux mais avec une plume légère qui adoucit la dureté des choses sans pourtant en enlever le sérieux. Les thèmes de la religion, du viol, du terrorisme, de la prostitution sont évoqués mais je ne suis pas ressortie de ma lecture avec une sensation de lourdeur et ça, j’apprécie beaucoup.

- Le personnage principal est bien entendu Patrick Braden (ou Paddy Pussy) et je me suis beaucoup attachée à ce personnage qui n’a vraiment pas eu la vie facile mais qui l’a toujours prise du bon côté. C’est une personne vraie, authentique et un sacré numéro ! Pour les autres personnages que notre héros (héroïne ?) rencontre et bien ils sont tout aussi intéressants mais on ne s’y attarde pas toujours assez pour vraiment s’y attacher.

- Le gros point fort du livre est indéniablement, et à mon sens, le style d’écriture de l’auteur, ce fut un vrai régal. Les répliques, l’humour, l’intelligence qui transpire du texte sont vraiment délectables. Petit bémol concernant la structure du texte, l’auteur se détache par moment de l’histoire principale pour parler d’un évènement antérieur et ça perturbe par moment.
Lien : http://aucoindeden.blogspot...
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Breakfast on pluto

Patrick McCabe est cet auteur irlandais irrévérencieux à qui l’on doit « Le garçon Boucher », vainqueur de plusieurs prix et adapté sur grand écran. « Breakfast on Pluto » jouit de la même notoriété, finaliste pour le Booker Prize comme son ainé et également adapté au cinéma, l’auteur y reprend les thèmes chers à son cœur : dans une Irlande rurale où la modernité peine à s’installer, la guerre et la misère ne sont jamais très loin. De même que l’extravagance et le burlesque dont l’auteur aime à se parer à coup de personnages flamboyants et fantasques, une manière de dédramatiser son Irlande saignée à blanc peut être…



...la suite sur mon blog !
Lien : http://avideslectures.over-b..
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Le Garçon boucher

Dickens semble bien léger comparé à ce qui attend Francie, l'époque victorienne a toujours ou souvent été dépeinte avec cette noirceur teintée d’un fatalisme littéraire mais dans ce roman qui se déroule dans les années 60, mise à part la Pig Toll tax très drôle, on sait que le pire va arriver, que Francie va commettre l’irréparable. La roue ne tourne pas pour lui, Alo, l’oncle providentiel est vite écarté. Le film adapté par Neil Jordan est plus optimiste, en tout cas la fin est très poétique. Reste un portrait plein de tendresse dans un monde brutal et standardisé. Il faut imaginer Francie rencontrant Kitten et prenant un petit déjeuner ensemble. On Pluto.
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Breakfast on pluto

[...]Breakfast on Pluto est un roman pas forcément évident, mais plutôt sympa. Il faut pouvoir se concentrer dessus, c’est un roman qui se mérite mais après tout c’est le cas d’à peu près toute la bonne littérature.[...]
Lien : http://www.readingintherain...
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Breakfast on pluto

Patrick a assurément vécu une enfance difficile : abandonné à la naissance, né des « amours » d’une mère trop jeune et d’un prêtre, confié aux soins et à la misère d’une mère de substitution, qu’il surnomme La Moustachue, mis au ban de la société dans le village de Tyreelin, un village où il ne fait pas bon être différent. Pour s’évader de ce triste quotidien, Patrick se travestit et devient Pussy. Il décide également de tourner la page et part pour Londres avec l’espoir de retrouver sa mère. Il y découvrira la prostitution, parfois l’amour, dans une ambiance un peu folle, faite de fêtes et de dangers, la menace de l’IRA planant sur la capitale.



La suite sur mon blog...
Lien : http://nahe-lit.blogspot.com..
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Breakfast on pluto

Venez découvrir Breakfast on Pluto, un récit intense, auréolé de glamour que nous livre Patrick Braden alias Pussy, l’excentrique escorte de luxe d’origine irlandaise.



Tout commence dans les années 70 : le petit Patrick vit à Tyreelin, un petit village peuplé de « bouseux ». Abandonné à sa naissance, il se sent très vite diffèrent des autres et commence à se travestir en femme. Adolescent, il se fait désormais appeler Pussy. Patrick/Pussy rêve de quitter Tyreelin pour partir vivre à Londres et y rechercher sa mère, aussi jolie que Mitzi Gaynor. C’est le début d’une longue et folle série d’aventures…



"Ce qui aurait pu ou non arriver - hônnetement je n'en sais rien - car qui peut savoir si "apprécier" peut un jour devenir "aimer", ce je ne sais quoi si spécial ?"



Composé de chapitres courts oscillant entre sérieux et excentricité, Breakfast on Pluto allie au glamour la violence des attentats et des règlements de comptes entre irlandais et britanniques.



Dans ce roman, l’écriture se fait une véritable thérapie pour Patrick, qui a une façon bien à lui de nous conter sa vie : les portraits incisifs succèdent aux péripéties et entraînent le lecteur dans un rythme effréné et plaisant. Mais si certains passages sont véritablement prenants, écrit avec soin, on peut se perdre facilement dans les méandres de ce récit qui va à mille à l’heure. L’écriture, erratique, reflète la personnalité de Patrick, un être complètement fantasque.



Mélange d’excentricité et de sérieux, Breakfast on Pluto est donc une lecture intéressante bien qu’un peu étrange par moments. On pourra cependant reprocher une certaine superficialité au roman de Patrick Maccabe dans la mesure où les descriptions faites par Patrick sont plutôt frivoles et s'attardent rarement sur des sujets sérieux. Une adaptation en film de Breakfast on Pluto a été réalisée par Neil Jordan, avec Cillian Murphy dans le rôle de Pussy. Je remercie le site Babelio ainsi que les éditions Asphalte pour m’avoir permis de découvrir le roman originel, très diffèrent du film !
Lien : http://antrelouve.canalblog...
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Breakfast on pluto

Nous sommes en Irlande, à Tyreelin, dans un petit village entre la frontière qui sépare le nord et le sud de l'Irlande. Patrick Pussy Braden est né en mars 1955. Son père est le pasteur du village qui a mis enceinte une jeune fille. Mais il lui a notifié son départ et de laisser Patrick à la charge d'une femme qui s'occupe d'enfants abandonnés.



Patrick raconte son histoire. Sa jeunesse, son goût pour le travestissement, ses amis, ses fréquents séjours à Tyreelin, ses passages à Londres en quête de sa véritable mère et surtout la haine qu'il voue à ce père en robe mais aussi la guerre livrée par l'IRA contre l'"envahisseur britannique".



Dans ce roman, nous avons de très courts paragraphes. Patrick Pussy est un personnage fort attachant. D'ailleurs la traduction nous fait part d'une héroïne pour bien nous montrer que Patrick a très bien accepté le fait de s'habiller en femme et de se prostituer. On peut donc dire que nous assistons à la vie de Patrick et avec les mots de Patrick. Nous avons de fréquents retours en arrière même si cela ne gêne en aucun cas le déroulement de l'histoire, qui elle, se poursuit tout le long. Ces retours en arrière nous montrent bien la haine que Patrick voue à son père et surtout qu'il idolâtre cette mère qu'il n'a jamais connu. Patrick est en quête d'amour avec les hommes qu'il rencontre et qui vont vivre avec lui. Patrick aurait voulu pouvoir donner la vie et avoir des enfants afin de leur transmettre tout l'amour qu'il n'a pas reçu et surtout avoir sa propre maison pour être chez lui et ainsi à la fin de sa vie, réunir tout son monde et embrasser ceux qu'il aime.



Patrick est malheureux mais fait preuve de beaucoup de dérision, d'humour. Un humour qui cache, en définitive, une très grande tristesse. Son premier amant meurt tragiquement, tout comme son psy. Enfin, pour ce dernier, c'est ce que j'ai compris parce que Patrick s'adresse à lui tout le temps.



Patrick a des principes. Il est fidèle en amour et surtout en amitié, surtout avec ses deux amis proches, une fille et un garçon, qui le soutiendront et qu'il soutiendra toujours malgré la mort de l'un d'eux. D'ailleurs, Patrick est très sélectif dans ses relations.



L'auteur nous donne des informations historiques concernant les morts, assassinats qui ont jalonné l'histoire de l'Irlande. D'ailleurs, on est en plein cette guerre que livre l'IRA à l'Angleterre faite de meurtres, de bombes, d'assassinats. J'avoue que je n'ai pas compris un élément du livre. Patrick se fait arrêter, passe quelques nuits en prison car il est suspecté de faire partie de l'IRA et d'être à l'origine d'un attentat alors qu'il se trouvait dans un pub. Mais ce que je n'ai pas réellement compris. Patrick fait-il vraiment partie de l'IRA ? Je ne le pense pas même si l'auteur essaie de nous persuader du contraire. Toutefois, la folie qui prend Patrick quand il est en prison nous laisse croire qu'il est innocent mais il est sûr que Patrick a des liens avec l'organisation.



Qu'est-ce qui a provoqué la transformation de Patrick en femme ? Le fait qu'il n'ait pas connu sa mère ou le fait que son père porte des robes. A vous de voir.



Le style de Patrick McCabe est fluide. Je pense tout de même que la traduction ne rend pas réellement hommage au travail de l'auteur. N'ayant pas vu le film, je ne sais pas si celui-ci est fidèle au livre et si on comprend mieux le message que l'auteur a voulu nous donner. Il faut croire de toute façon que j'ai quelques soucis de compréhension avec les auteurs irlandais car ce n'est pas le premier que je lis et ce n'est donc pas le premier avec lequel je rencontre quelques incompréhensions.



Breakfast on Pluto a été adapté au cinéma par Neil Jordan en 2005. C'est également un single de Don Partridge.
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Breakfast on pluto

Malheureusement, Breakfast on Pluto a été un beau flop pour moi...

Même si je n’en ai plus aucun souvenir, je gardais une impression plutôt positive du film (vu il y a une bonne dizaine d’années) et j’étais curieuse de découvrir le livre. Sauf que ça ne l’a pas fait du tout. J’ai tout lu (ok, parfois en diagonale) parce qu’il était court et se lisait vite, mais j'ai quand même réussi à m'ennuyer.

Le tout m’a semblé beaucoup trop décousu et superficiel. C’était peut-être également trop excentrique pour moi, ainsi qu’une façon trop décalée d’aborder des sujets violents. Cette touche d’humour noir aurait pourtant pu me plaire, mais non, ça n’a pas fonctionné. Tant pis !
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Breakfast on pluto

So sweet & gay
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