AccueilMes livresAjouter des livres
Découvrir
LivresAuteursLecteursCritiquesCitationsListesQuizGroupesQuestionsPrix BabelioRencontresLe Carnet
Citations de Pauline Pucciano (52)


Les désirs réalisés sont les tombeaux des rêves.
Commenter  J’apprécie          200
Guérir n'était-il pas un pouvoir plus puissant que détruire ?
Commenter  J’apprécie          130
- Est-ce pour cela qu'on fait les révolutions, Daphnaé ? Juste pour humilier les oppresseurs ?
- C'est un début.
Commenter  J’apprécie          110
- On ne répare pas une haine qu'on a allumée. Si le feu s'éteint par l'eau, c'est par le sang que s’éteint la haine. Reste à savoir le sang de qui.
Commenter  J’apprécie          100
Le meurtre avait ceci de particulier qu'il ne permettait aucun retour en arrière [...].
Commenter  J’apprécie          80
Dans la police on ne traquait que rarement des tueurs. On traquait bien plus régulièrement des témoins, espèce fuyante et volatile, souvent décevante, mais toujours renouvelée.
Commenter  J’apprécie          60
L'universalisme des Sédentaires est incompréhensible pour nous. L'être humain, ça ne veut rien dire. C'est une grande poubelle où l'on jette pêle-mêle des diamants et de la boue.
Commenter  J’apprécie          40
C'est alors qu'elle apparut, et sa présence éclipsa tout le reste - les serveuses, les clients, le décor mème, semblaient avoir perdu toute consistance, pour la laisser seule réelle.
Commenter  J’apprécie          40
Les gens étaient persuadés qu'une enquête policière consistait à découvrir le meurtrier... mais les meurtriers étaient une espèce banale, et n'intervenaient qu'à la fin, presque après la fumée des cierges, une fois qu'on avait tout compris. Ce qui faisait le charme de l'enquête, ce qui lui donnait son ton, son atmosphère, le parfum singulier qui vous enveloppait pendant des semaines, ce n'était pas le meurtrier. C'était la victime.
Commenter  J’apprécie          30
Les ombres mouvantes des nuages et les vols lointains des rapaces constituaient le seul mouvement dans ce paysage écrasé, éternellement identique à lui-même.
Commenter  J’apprécie          30
- La réalité, on a besoin de la saisir, délicatement, par tout petits morceaux, et de la déplier.
- De la déplier ? répéta Alvar.
- Oui. C'est comme ça que j'ai toujours vu le rôle du langage. Le langage déplie le réel. Il révèle sa forme interne, il lui permet de s'épanouir.
Commenter  J’apprécie          20
C'est comme ça que j'ai toujours vu le rôle du langage. Le langage déplie le réel. Il révèle sa forme interne, il lui permet de s'épanouir.
Commenter  J’apprécie          20
Abel avait besoin de sensations fortes. De drogues, de danger, de défis. Lorsqu'il n'en avait pas, il avait l'impression de ne vivre qu'à moitié, dans une existence anesthésiée.
Commenter  J’apprécie          20
L'intelligence de Ruben était une machine huilée, habituée à la tache, et qui se mettait en marche toute seule, sans intervention particulière de sa volonté.
Commenter  J’apprécie          20
- Un ouvrier doit être stupide, répondit le chancelier. Un ouvrier intelligent est un futur révolté.
Commenter  J’apprécie          20
L'antichambre était claire et spacieuse, et un iguane domestique aux profondes teintes vertes et bleues, somnolait sur la mosaïque chauffée par un rayon de soleil .
Commenter  J’apprécie          20
La tour où vivait Titania faisait cinquante-huit étages - c'était l'une de ces structures verticales qui avaient fait polémique au XXI siècle et fini par strier la surface de Paris de sept flèches démesurées. Une certaine recherche architecturale avait été exigée pour les permis de construire, car c'était avant la Grande Désétatisation.
Commenter  J’apprécie          20
Elle se trouvait devant un dilemme historique, sans personne pour l'aider à trancher. C'est elle qui était le chef, maintenant, c'était à elle qu'incombait cette énorme, cette vertigineuse responsabilité. Sacrifier la liberté présente pour la survie future. Ou sacrifier tout futur pour conserver encore un peu le monde déliquescent qu'on avait aujourd'hui. Elle ne put s'empêcher de revoir le visage enflammé de Terence au restaurant. "Quand nous prenons une décision, c'est une décision humaine, parce qu'elle n'est pas entièrement objective et rationnelle. Elle est aussi subjective - elle dépend de notre histoire, de nos relations, de nos valeurs. Tu appelles ça de l'ignorance, j'appelle ça de l'humanité."
Commenter  J’apprécie          10
Quand le cercle me paraît trop étroit, je prends la tangente.
Commenter  J’apprécie          10
Le monde en crise était prêt à s’engouffrer dans n’importe quelle brèche, pourvu qu’il ait l’impression de sortir du cul-de-sac où il s’enlisait. Il suffisait d’agiter un espoir, une idée : la guerre, la haine d’une race, la foi en la technologie… Plus l’étendard était criard, et plus on le suivait ...
Commenter  J’apprécie          10



Acheter les livres de cet auteur sur
Fnac
Amazon
Decitre
Cultura
Rakuten

Lecteurs de Pauline Pucciano (118)Voir plus

Quiz Voir plus

L'Allemagne à la portée de tous

J'ai un chien loup ou

berger teuton
berger germain
berger d'outre Rhin
berger allemand

10 questions
70 lecteurs ont répondu
Créer un quiz sur cet auteur

{* *} .._..