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4/5 (sur 258 notes)

Nationalité : États-Unis
Biographie :

Penny Reid est auteur de romance.

Mariée et mère de trois enfants, elle travaille en tant que chercheur en biotechnologie.

"Le club des tricoteuses anonymes, tome 1 : Femme des cavernes recherche humain" (Knitting in the City, tome 1 : Neanderthal Seeks Human, 2013) est son premier roman.

son site : http://pennyreid.ninja/
page Facebook : https://www.facebook.com/PennyReidWriter/
Twitter : https://twitter.com/reidromance

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Writing Partners: Penny Reid and L.H. Cosway


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« Tout allait pour le mieux jusqu’à ce que la porte ne s’ouvre à la volée et que Monsieur Grand, Blond et Snobinard en personne fasse son entrée. Je veux dire Sean Cassidy, pour ceux qui auraient raté un épisode, ou Sean le Salace, comme l’appelaient ses coéquipiers. J’essayais toujours de voir le bon côté des personnes que je rencontrais, mais lui et mon frère n’étaient pas franchement en bons termes. Sean avait non seulement couché avec Brona, l’ex de Ronan, mais il se comportait aussi systématiquement comme un connard.
Vraiment, l’insulter allait contre mes principes, parce que je crois réellement que tout le monde mérite une seconde chance, mais Sean faisait exception à la règle. Ce n’était juste… pas un mec bien. Et il était fier de sa réputation, comme s’il aimait que les gens le détestent.
La conversation s’interrompit et toute la tablée observa Sean discrètement pendant qu’il traversait la pièce d’un pas arrogant et exigeait une bouteille de champ’ à tue-tête en se calant contre le bar. Oui, il avait vraiment appelé ça du champ’, mais bon…
De leur propre chef, mes yeux vagabondèrent sur ses épaules larges, le long de son dos musclé, et jusqu’aux fesses les plus délicieusement rebondies que j’avais jamais eu l’occasion de reluquer. Le champion des popotins. Vous savez comme les athlètes développent parfois un derrière ultra sculpté, bien rond et viril ? Eh bah, Sean Cassidy en était l’exemple parfait, et je ne pus résister à la tentation de le mater allègrement. C’était une véritable œuvre de musculature, toute prête à être mordillée.
J’étouffai un ricanement d’autodérision en retenant la remarque admirative qui m’était venue à l’esprit. OK, j’avais apparemment bu un peu trop de « champ’ », comme disait Sean avec son air de crétin suffisant. Mais il avait dû entendre mon rire, parce que son attention s’arrêta sur moi. Il me fixa une seconde, arqua un sourcil condescendant, puis se détourna avec indifférence, les yeux de nouveau posés sur le bar.
Hum.
Après environ trente secondes de silence inconfortable, mon entourage reprit sa conversation. Ronan m’avait expliqué que Sean adorait l’attention, et ignorer sa présence était probablement la meilleure solution.
C’était de ma faute, bien sûr : je ne pouvais pas m’empêcher de le regarder. Nous ne nous étions jamais adressé la parole. Je ne l’avais vu que de loin, pendant des soirées comme celles-ci, ou à la télévision, quand il y avait un match. Mais là, maintenant, il était proche, assez proche pour que je remarque à quel point il était beau, réellement et exceptionnellement beau. Des yeux bleu clair, une mâchoire carrée, des lèvres pleines, un nez élégant.
Pfff.
Pourquoi est-ce que les plus séduisants sont toujours des gros cons, hein ? »
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Comme d’habitude, il était vêtu tout de noir.
Pour quelqu’un attiré par le genre bourru, arrogant, d’une sensualité naturelle, jeune, dangereux, doté du physique d’un nageur olympique — ce qui généralement n’est pas mon cas — il convenait à merveille et constituait une proie de rêve : on ne pouvait que mordre à un hameçon aussi sexy.
Habituellement, je gravitais autour d’hommes gentils — par là, je veux dire d’hommes qui semblaient gentils : qui souriaient beaucoup, aimaient jouer au golf, payaient leurs contraventions, possédaient des costumes et des chaussures convenables, et qui considéraient les chandails comme un bon vêtement du dimanche ; des hommes maîtres de leur vie, bien équilibrés ; des hommes qui feraient, et théoriquement devraient faire, de bons maris et pères — des hommes sans signe extérieur de bagage émotionnel.
Alex ne correspondait pas aux critères types de l’homme gentil ; il arborait un énorme panneau clignotant du genre néon, comme ceux qu’on trouve sur Las Vegas Strip, marqué « bagage émotionnel ». Mais c’était plus fort que moi. J’avais craqué à la minute où je l’avais entendu parler ; sa voix avait fait faire à mes organes un saut sans parachute jusqu’à mes orteils. Elle m’évoquait jazz, chambre à coucher et strip-tease : mélodieuse, profonde, apaisante, légèrement rocailleuse, mais mêlée d’irrévérence et de désinvolture.
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Le fait d’être consciente que je n’avais pas le genre de caractère idéal pour intégrer aisément une entreprise avait été la raison pour laquelle, tous les jeudis après-midi et soir, j’avais commencé à enseigner les mathématiques et les sciences auprès d’enfants d’une école élémentaire. Certes, ce n’était pas la raison pour laquelle je continuais. Je continuais pour des raisons égoïstes : les enfants aiment les bandes dessinées, ils sont drôles et c’est quelque chose que j’aime bien faire.
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« Jethro, qui m’avait suivie quand je m’étais ruée à l’intérieur du garage, inclina la tête dans ma direction.
– Oui. C’est Ash.
– Je pensais qu’Ash était un garçon.
Le séduisant pirate avait dit cela comme s’il était à la fois choquée et contrarié, comme s’il avait été abusé, attiré dans notre garage encombré par le moyen de tromperies et de duplicités.
– Non. C’est une fille, brailla Billy sous le capot de la voiture.
Les yeux de l’homme parcoururent à nouveau mon corps, dans un examen flagrant. Il n’avait pas l’air ravi.
– Il semblerait, commenta-t-il, comme s’il venait juste de goûter quelque chose d’aigre.
A ce moment, je réalisai enfin quel genre d’homme séduisant il était : le séduisant sorti d’un roman, celui des histoires d’amour, mais pas le type mâle alpha propret (milliardaire), ni même le mauvais garçon tatoué (milliardaire).
C’était le séduisant highlander écossais, le Viking conquérant, le corsaire tiré d’un roman d’amour historique, le mal rasé, le pourfendeur de lions, l’homme des montagnes reclus, celui qui vous jette par-dessus votre épaules et vous détrousse de vos biens. Il était à la fois effrayant et à en tomber en pâmoison. J’aurais voulu lui tresser la barbe. J’aurais aussi voulu m’enfuir au loin. »
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Chapitre deux :
*Ronan*
«…
10 mars
Chère Cyber Espionne
Juste quelques infos pour nourrir ta petite cervelle de linotte :
1. Je ne suis pas Colin Farrell, je suis Ronan Fitzpatrick. Vas-y, ouvre Google. Tu vas voir, ça en vaut la peine.
2. Ta petite fixette sur l’anatomie masculine me laisse à penser que, 1) tu n’as pas de vie, et que, 2) ça fait une peeeetit moment qu’on t’a pas sautée.
3. Puisque tu te donnes le droit de publier ce genre de commentaires sur le physique d’autrui, tu pourrais avoir le courage d’assumer ton identité. L’anonymat, c’est pour les lâches.
Mes conseils :
1. Tu fais des recherches et tu vérifies l’identité des gens que tu harcèles. Pour info, tendre l’oreille deux secondes pour repérer les gloussements féminins, c’est PAS de la recherche.
2. Sors prendre un verre. Parle à un mec. Fais-toi baiser. Prends le temps de nettoyer les toiles d’araignées qui ont dû s’amonceler autour de ta petite culotte. Tu verras, ça fait des merveilles à l’humeur.
3. Poste une photo de toi. Publie ton nom. Voyons si tu peux supporter les critiques aussi facilement que tu les écris.
Et ne me remercie pas, c’est gratuit.
Ronan Fitzpatrick.»
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Chapitre trois :
*Annie*
«…
10 mars
Cher M. Fitzpatrick,
Veuillez accepter mes plus sincère excuses.
Si j’avais su que mon humble petite publication allait vous mettre dans tous vos états, j’aurais fait l’effort de vous l’envoyer en amont et d’arranger un rendez-vous afin de discuter des termes employés. Malgré les fringues de Leprechaun et les chaussures de Hobbit, je ne vais pas le nier, je ne dirais pas non à ce que vous plongiez la tête la première dans mon chaudron rempli d’or, surtout après vous avoir vu en cycliste. Quoique, avec un complexe de supériorité comme le vôtre, je ne serais pas surprise d’y découvrir une chaussette de rembourrage. Laissez-moi deviner, vous conduisez une très grosse voiture… Hein ? Un modèle avec des cylindres pour compenser vos propres déficiences ?
Oh, et aussi, merci d’avoir prouvé que nos priori sur les Irlandais sont 100 % avérés. Maintenant, je sais que la prédisposition à l’hystérie de votre belle nation n’a pas été exagérée.
Bravo bravo, mon grand. Continue sur ta lancée. Tu vas droit dans le mur.
Cordialement.
Une Cyber Espionne.»
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Ce que je voulais, c'était me jeter au cou de Quinn et continuer à me comporter comme une adolescente entichée. Je ne savais ce que je devais faire.
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Camouflage Spécial Boîte Mail : stratégie imparable qui consiste à prétendre vérifier ses e-mails sur son portable, tout en prenant des photos de la personne en face de soi.
À Utiliser : dans les situations où il est socialement acceptable de lire ses mails, c.-à-d. autour d’un café, pour un dîner en solo, en attendant les transports.
À Éviter Absolument : quand il n’y a pas de réseau. *Annie* Non mais, bien sûr que mes intentions n’étaient pas pures. Mais je tiens quand même à spécifier que, quand il est entré dans le restau, j’étais déjà en train de regarder mes e-mails. À vrai dire, je n’avais même pas levé les yeux avant que le brouhaha et les piaillements féminins ne m’interpellent. Ce chahut — les gloussements, les couinements excités, et les caractéristiques oooooh ! Oh mon dieu ! Est-ce que c’est vraiment lui ? — accompagnait généralement l’arrivée d’une célébrité masculine. Je reconnaîtrais ces symptômes n’importe où. Je suis une spécialiste, vous voyez, pour deux raisons bien précises : mon job, et mon passe-temps.
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Je songeai, tout en succombant au sommeil, que les hommes devraient être livrés avec des manuels, des sous-titres et des boutons Reset.
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Comme toute intellectuelle au métier valorisant qui se respecte, je lis mon horoscope tous les matins — tout de suite après avoir terminé les nécrologies et juste avant de lire les bandes dessinées.
Ce matin, mon horoscope disait : « Soyez attentive ; aujourd’hui, vous rencontrerez le catalyseur de votre vie future. »
Quand je l’ai ouvertement accosté dans la queue et forcé à me parler, il portait une casquette de baseball. J’avais bien aimé son visage et son sourire amical, et même si je le sentais déconcerté et un peu dépassé par l’attention dont il faisait l’objet de ma part, il a facilement accepté mon invitation.
Mais là, sans sa casquette et essentiellement éclairé par l’unique bougie posée sur la table, sa mâchoire semblait refléter le sommet de son crâne, lequel s’était lui-même transformé en arrondi brillant ; une courbe indéfinie de chair jaune couleur melon.
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Régis Franc est connu pour sa BD sociale ..........?............. je sais ça vole pas haut

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