Philippe Graton

L'album terminé, j'ai une impression mitigée : l'histoire est bonne, intéressante, mais les dessins ne m'ont pas vraiment plu., trop différents des albums auxquels j'étais habituée. On doit mieux l'apprécier quand on ne connaît pas les autres albums. C'est quand même une bande-dessinée sympathique, et je suis contente de l'avoir reçue dans le cadre de masse critique.

C'est donc la "saison 2" des aventures de Michel Vaillant. La série est abordé par Philippe Graton et Denis Lapière pour le scénario et de Bourgne - Bénéteau pour le dessin.



Tout d'abord, je tiens à dire que les reprises ne sont pas ce que je préfère. En effet, après la mort ou le retrait des auteurs d'une série, on assiste parfois à deux situations : les repreneurs sont bons car ils sont dans l'esprit de la série ou alors cela donne de vrais horreurs (et je reste poli).



Là, c'est le cas. Après quelques pages, je me suis demander si j'avais un album de Michel Vaillant ou de Largo Winch. Impression très négatif, je l'accorde. Au fur et à mesure des pages, on entrait enfin dans l'esprit de Michel Vaillant : compétition, sport automobile..



Quant aux dessins, j'ai le regret de dire que ce ne sont plus les personnages d'origines.... tel que les a dessinés Jean Graton. Bourgne est un excellent dessinateur mais je n'accroche pas trop. Je n'ai reconnu personnes. D'accord, ils ont veillis mais j'ai eu du mal à savoir qui est qui. Lorsque j'ai vu Françoise (l'épouse de Michel), je me suis fait la réflexion suivante : "Tiens, il a divorcé et c'est remarié". Il est vrai que les traits de Bourgne sont plus dans le temps.



Le scénario d'un point de vue générale n'est pas captivant, Il est vrai qu'il est bien dans notre temps (argent, business, gagner des compétitions pour des parts de marché et non plus pour la gloire....). J'attends avec impatience la suite (car il y a une suite), pour me faire une idée très claire sur cette reprise.



Mais bon, il est agréable de voir le retour d'un héros, des sports automobiles et des compétitions.

A première lecture, j’ai eu du mal à situer cet album dans la chronologie de la série, et ce n’est qu'après que j’ai compris qu’il s’agissait d’une adaptation du film (pourtant le nom de Luc Besson dans les scénaristes aurait dû me mettre la puce à l’oreille!).

Le scénario est en fait un mélange de plusieurs histoires, notamment Le 13 est au départ (pour le cauchemar de Madame Vaillant), un pilote a disparu (pour l’enlèvement au Mans), une histoire de fous (pour le volant confié à Julie Wood). Mais cela donne une intrigue de bonne facture (sans être exceptionnelle), cohérente et rythmée à partir d’un point de départ dramatique : la mort du pilote David Dougherty dans un accident provoqué par un sabotage de Bob Cramer lors du rallye d’Irlande.

J’ai donc bien aimé cet album atypique qui m’a donné envie de voir le film.

Cette nouvelle saison de Michel Vaillant est décidément excellente, et l'intensité dramatique atteint des sommets dans ce quatrième tome jusqu’à l’incroyable scène finale.

Pour une fois, il n’est pas question de sport ou de course automobile, mais de stratégie industrielle, et la seule course sera une dramatique course poursuite entre Jean Pierre et Michel.

Dans cet album poignant, qui n’est pour une fois pas centré autour de Michel mais de Jean Pierre, on assiste à la descente aux enfers de ce dernier, piégé par un partenaire industriel dans le cadre d’un montage financier complexe. La marque Vaillante est en danger et l’homme est durement touché comme le montre le dessin de couverture. L’album, très bien construit, s'achève sur un suspens insoutenable.

C’est clairement l’un de mes tomes préférés, toutes saisons confondues.

Cet album est la suite de L'épreuve.

On continue à suivre le déroulement de l'Ultima Speed Fight, une série de courses sponsorisées par un casino de Las Vegas afin de désigner le meilleur pilote du monde, avec à la clé un prix de 100 millions de dollars.

Dans cet album, on découvre les surprises et coups de théâtre concoctés par les organisateurs, quitte à mettre les pilotes en danger.

Mais surtout les auteurs insistent (un peu lourdement d'ailleurs) sur le fait que la victoire est une question de vie ou de mort pour Steve Warson, qui s'est (à nouveau...) mis dans une situation délicate.

Vous l'aurez compris, je n'ai pas été convaincue par cet album, dont j'ai trouvé le ton un peu grandiloquent. J'aurais aussi aimé que les auteurs insistent un peu plus sur le rôle de Françoise Vaillant (mais c'est un reproche récurrent que l'on peut faire à la série).

Henri Vaillant n’en croit pas ses yeux ! Les casinos de Las Vegas organisent une épreuve pour déterminer qui est le meilleur pilote du monde, avec à la clé 100 millions de dollars pour le vainqueur.

L’ultima speedfight comprendra 8 épreuves dans différentes disciplines, courues par 20 pilotes sur les mêmes véhicules dans le monde entier.

Au départ, Michel Vaillant est sceptique, mais Jean Pierre le convainc de l’intérêt de cette épreuve pour la marque Vaillante.

Quant à Steve Warson, il connaît des difficultés financières dans son entreprise et a besoin de la prime du vainqueur pour rembourser ses créanciers, il est donc prêt à tout pour gagner, y compris à mettre la vie des autres pilotes dont Michel en danger.



Dans cet album plutôt réussi, le moins que l’on puisse dire est que Steve Warson n’est pas à son avantage, mais le scénario est solide et la tension est à son paroxysme à la fin de l’album.

L’équipe Vaillante a un nouveau sponsor, l’entreprise d’informatique Fastnet, que nous avions découverte dans la fièvre de Bercy. Ces moyens financiers lui permettent de renouer avec le top niveau. Mais tout cela n’est-il pas trop beau pour être vrai et le patron de Fastnet, Juan Cabral, n’a-il rien à cacher?



L’idée de cet album aurait pu être bonne, mais les auteurs ont choisi de la traiter dans un style pseudo humoristique un peu caricatural qui ne cadre pas avec l’univers habituel de Michel Vaillant. J’ai trouvé cela un peu lourd pour ma part.

Steve Warson est au Vietnam pour organiser un rallye Hanoï - Saigon et y implanter la marque Leader. Mais ces projets ne plaisent pas à tout le monde et il est victime d’un attentat qui le laisse dans un état critique, puis il disparaît de l’hôpital.

Michel Vaillant et Julie Wood volent à son secours malgré sa trahison des albums précédents.

Cela donne un excellent album plein de rebondissements au niveau du scénario, et les dessins sont un régal pour les yeux car on découvre les sublimes paysages vietnamiens.

La série est vraiment dans une bonne période.

Encore un excellent tome dans cette nouvelle saison de Michel Vaillant.



Beaucoup d’émotions au niveau du scénario.

La marque Vaillante a été reprise par Ethan Dasz, qui interdit même à Jean Michel l'accès à l’usine pour récupérer les affaires de son père, dans un état critique à l’hôpital.

Et Michel, totalement déboussolé, conduit des camions en Afrique pendant que Françoise et Patrick essaient de faire renaître la marque Vaillante par la compétition, en l’occurence la formule E comme électrique.



Au niveau du dessin, c’est superbe sur les images de course dans Paris, comme le démontre la couverture. J’aime un peu moins les visages des personnages, notamment Françoise et Michel, mais c’est aussi une question d’habitude par rapport à la série originale.



Enfin, petit clin d’oeil à l'actualité en pleines élections américaines, Steve Warson, candidat au Texas, est victime d’une campagne de dénigrement sur ses liens avec la France !

Michel doit participer au rallye du Valais pour lancer un nouveau modèle de voiture de rallye, ce qui n’enchante pas Françoise car sa coéquipière sera Carole Ouessant, la journaliste avec laquelle il avait passé beaucoup de temps dans le tome precedent.

A-t- elle des raisons de s’inquiéter? oui, et pas seulement pour cela, car il y a aussi l'état de santé de Patrick suite à son accident dans Voltage, et les tractations financières de Jean Pierre pour assurer l’avenir de la marque Vaillante.

Le suspense est à son comble à la fin de l’album, et il faut bien reconnaître que le scénario de cette nouvelle saison est excellent et très complet, avec une intrigue qui mêle habilement histoires de famille et d’amour, et enjeux sportifs et économiques.

Au niveau du dessin, c’est très bon également, et on en prend plein les yeux sur les routes du Valais, avec notamment une très belle scène d’ouverture de l’album.

Ce 59eme tome des aventures de Michel Vaillant commence par une scène un peu surnaturelle, qui fait référence à un vieil album : le fantôme des 24 heures.

Je n’en dirai pas plus pour ménager le suspens, mais franchement cette première partie d’album est excellente et originale.

Changement de décor ensuite pour la seconde partie de l’album : on quitte Le Mans pour le Tibet, où Steve et Michel vont essayer de retrouver Ruth, avec l’aide de Bob Cramer, dont les interventions dans cet album se révèlent aussi décisives qu’amusantes.

Ces deux parties très différentes donnent un album de bonne facture au scénario fouillé. Quant au dessin, on a à la fois des scènes de courses, des paysages superbes au Tibet, et des vues spectaculaires des ateliers Leader.

Un seul regret: la brièveté de l’album car les dernières pages présentant les voitures Leader à travers les âges m’ont fait l’effet d’un remplissage.

Suite à la blessure du pilote titulaire, Michel Vaillant se voit proposer un volant en Formule 1 par Renault pour le Grand Prix de France. Mais il n’a que 13 jours pour se préparer, d’où le titre de l’album.

Arrivera-t-il à relever le défi ? Les journalistes sont sceptiques.



Après plusieurs albums excellents dans cette nouvelle saison de Michel Vaillant, celui-ci est clairement un ton en dessous. Je n’ai pas vraiment accroché à la première partie de l’album, avant de prendre plus d'interêt à la partie course.

La reprise n'est jamais un exercice facile, donc portons au crédit des auteurs le fait de nous permettre de retrouver Michel Vaillant et essayons de ne pas trop comparer.

Malgré tout, difficile de s'en empêcher avec le lancement de cette nouvelle saison.

Le style est très fidèle à l'original, les dessins de course automobile sont réussis, mais c'est au niveau des personnages qu'on est le plus tentés de comparer, et c'est là qu'il y a quelques surprises. Car si Michel Vaillant est relativement fidèle à lui-même, dans une version un peu vieillie et un peu tassée (comme ses lecteurs...), son épouse Françoise ne ressemble absolument pas à l'original, ce qui est un peu déconcertant au départ.



Au niveau du scénario, j'étais plutôt favorable au fait d'accorder un peu moins de place à la course automobile et un peu plus aux intrigues familiales, cela ne m'a donc pas dérangée dans ce tome, presque au contraire.

J'ai bien aimé la confrontation des 3 générations de Vaillant.

J'ai également apprécié les réflexions plus économiques autour de l'avenir de Vaillante, et les oppositions entre générations sur la question des moteurs électriques.

Il y a donc des idées intéressantes dans cet album, mais j'ai trouvé que leur mise en oeuvre laissait à désirer, notamment au niveau de la qualité des dialogues.

J'ai également trouvé le contenu un peu léger pour un album, et regretté que ce tome ne constitue absolument pas une histoire complète.

Evidemment, le but est atteint puisque je lirai la suite, mais le contenu de cet album m'a clairement laissée sur ma faim.

Du coup, je vais me replonger dans les meilleurs albums de la série car j'ai envie retrouver l'univers de Michel Vaillant avec un contenu plus étoffé.



Je remercie pour conclure Babélio et les éditions Dupuis de m'avoir fait parvenir cet album dans le cadre de la dernière opération Masse critique BD. Vous l'aurez compris, c'était pour moi une séquence nostalgie et je l'ai beaucoup appréciée, même si ma critique est un peu dure selon l'adage: qui aime bien châtie bien.

Le dernier Grand Prix de la saison se déroule à Adelaide en Australie, et le titre va se jouer entre Vaillante, Williams-Renault et Benetton. Le suspens est à son comble, et même Henri Vaillant a fait le déplacement pour assister à la course.

Dans les stands, les équipes se préparent pour les essais, mais des sabotages commencent à avoir lieu chez les adversaires de l’écurie Vaillante, sur qui se portent les soupçons.

Henri et Françoise Vaillant vont donc tenter de mener leur enquête pour disculper la famille, mais cela ne sera pas sans risque.



Le scénario est bien conçu avec une intrigue originale et plus de suspens que d’habitude.

J’ai bien aimé aussi le rôle un peu plus important accordé à Henri Vaillant, et surtout à Françoise qui sort enfin de sa passivité (on retrouve la Françoise des premiers albums avant son mariage, et cela préfigure son rôle dans la nouvelle série).

La scène finale est également assez touchante avec une réapparition surprise.

Lors d'une étape du rallye d'Orient se déroulant en Turquie, Michel et Steve manquent de renverser un petit garçon qui se trouvait au milieu de la route.

Etonnés par sa présence à cet endroit, ils mènent l'enquête et découvrent une usine faisant travailler des enfants pour fabriquer des pièces automobiles pour la marque...Vaillante!

Ils vont alors tout faire pour sauver les enfants quitte à perdre le rallye, même si la victoire est cruciale pour Vaillante et sa voiture à hydrogène révolutionnaire découverte dans le tome précédent.



Ce 69ème album réussit à faire preuve d'originalité et offre un cocktail bien équilibré entre action, humour et sujets d'actualité. J'ai bien aimé.

Ce 64eme album de la série Michel Vaillant est totalement atypique, à l’image de sa couverture...noire!

Il y est question d’espionnage industriel et non pas de course automobile, et Michel est beaucoup moins à son aise pour échapper aux photographes que pour doubler ses adversaires car habituellement c’est Jean-Pierre qui subit cette pression.

L’album est relativement moyen mais est sauvé par sa fin très réussie.

Encore un excellent album pour cette nouvelle saison de Michel Vaillant, qui s’ouvre sur une scène très triste et s'achève sur une image terrible et un suspens insoutenable.

La famille Vaillant est déchirée après la mort de Jean Pierre.

L'écurie est de retour aux 24 heures du Mans avec une voiture révolutionnaire qui allie les avancées technologiques des uns et des autres, ce qui génère des désaccords dans la troisième génération.

Seul rayon de soleil dans ce tome assez sombre : l’arrivée dans la série de la pétillante Elsa Tainmont, pilote québécoise envoyée par Steve pour être la coéquipière de Michel.

Le deuil frappe la famille Vaillant. On n'est pas habitué à ces images très noires dans les albums de Michel Vaillant. C'est d'autant plus justifié qu'une fracture coupe la famille en deux.



Marc Bourgne et Benjamin Benéteau démontrent leur grand talent de dessinateurs alors que Philippe Graton et Denis Lapière rivalisent d'imagination pour corser le scénario, allant de rebondissement en rebondissement.

Pourtant, la compétition automobile reprend le dessus avec des essais pour les 24 H du Mans. Jean-Michel est très nerveux, ne supporte aucune contrariété, surtout l'absence de Jean-Pierre, son père. On apprend qu'une enquête est en cours, en Suisse… Cela devient intenable !

Heureusement, débarque une belle fille rousse, Elsa Tainmont, une Québécoise, adepte des techniques orientales pour se ressourcer. C'est Steve Warson qui l'envoie pour être la coéquipière de Michel aux 24 H du Mans.

Cette présence est d'autant plus insolite qu'Elsa se présente, au Mans, avec, dans les bras, Georges, son bébé qu'elle allaitera en pleine course ! Malgré ces sourires, les choses s'aggravent : jalousies, suspicion et… Rébellion.

Quelle bagarre sur la piste du Mans mais quelle terrible fin !



Vivement le prochain album !
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L'aventure continue avec toujours un Michel Vaillant qui n'a pas son pareil au volant, quel que soit le véhicule qui lui est confié.



D'entrée, les images de ce volume 3 de la nouvelle saison, Liaison dangereuse, prennent aux tripes. Une voiture bleue, une Vaillante bien sûr, fonce sur une petite route, puis sur un chemin, en montagne et c'est Michel qui participe au Rallye du Valais, en Suisse, avec une co-pilote qui s'affole et trouve qu'il prend trop de risques.

Les images signées Marc Bourgne pour les personnages et Benjamin Benéteau pour les décors et les voitures donnent des frissons ! le scénario est imaginé par Philippe Graton et Denis Lapière, comme pour les deux premiers tomes qui font suite à la légende construite sur soixante-dix albums d'après les personnages créés par Jean et Francine Graton.

Après cette introduction sur les chapeaux de roue, nous remontons six semaines en arrière. La femme de Michel n'apprécie toujours pas cette journaliste qui a suivi son mari durant un mois pour un reportage. Or, c'est elle, Carole Ouessant, qui est choisie comme co-pilote pour le rallye du Valais !

Tout ne va pas pour le mieux dans la famille Vaillant. On ne se dit pas tout. Des coups en douce se trament alors que Patrick, fils de Michel, est toujours paralysé des jambes (voir Voltage, le tome 2).



Les dessinateurs nous gratifient de magnifiques images de montagne, en Suisse, où Michel apprend que son vieil ami, Steve Warson, candidat aux sénatoriales du Texas, laisse tomber le projet de voitures électriques car pressé par le lobby du pétrole…



Henri, le père, teste un vélo électrique, le trouve remarquable mais affirme le contraire. le suspense est à son comble pour le rallye mais ce sont des manoeuvres financières d'achat et de vente qui portent l'angoisse à son comble.




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Nostalgique de bandes dessinées lues passionnément au début de l'adolescence, quelle ne fut pas ma surprise d'apprendre que tout renaissait ! Jean et Francine Graton avaient fait vivre les aventures de Michel Vaillant dans "Le journal de Tintin" dès 1957 puis, à partir de 1959, pendant la bagatelle de 70 albums. Alain Prost avait même dit s'être lancé dans la compétition automobile, inspiré par Michel Vaillant ! L'aventure s'était terminée en 2007, Philippe Graton, troisième fils de la famille, devenu scénariste, a mis fin à ce que l'on peut appeler aujourd'hui, la première saison.

C'est en 2012 que renaît enfin ce héros des circuits automobiles dont la vie colle à l'actualité. Marc Bourgne et Benjamin Benéteau dessinent ce que Philippe Graton et Denis Lapière scénarisent.

Deux albums sont déjà sortis et c'est avec plaisir et émotion que je retrouve Michel Vaillant, son père, son frère, bref, toute la famille. Nos héros n'ont guère vieilli mais le fameux constructeur est aux prises avec les évolutions technologiques. D'importantes décisions doivent être prises.

« Il est bougon, il râle sur tout, il n'est jamais content… Dès que je touche de près ou de loin à ce qui ressemble à une voiture, il s'emporte immédiatement ! » Voilà ce que déclare Madame Vaillant mère à propos de son mari qui ne supporte plus de ne plus voir de Vaillante sur les circuits de Formule 1.




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