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Citations de Philippe Lombard (25)


"Ah, faut reconnaître c'est du brutal ! - Vous avez raison, il est curieux...
- J'ai connu une polonaise qu'en prenait au petit déjeuner? Faut quand même admettre c'est plutôt une boisson d'hommes".
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VO….VF Episode IV
Alderaan….……....…Alderande
Tante Beru………..…Tante Beril
C-3PO…………………..Z-6PO
Chewbacca…………..Chictaba
Clone Wars…….……Guerre noire
Darth Vader..…….…Dark Vador
Death Star……………Étoile Noire
Millenium Falcon….Millenium Condor
R2-D2……………………D2-R2
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Dans son livre de souvenirs, Total Recall, Arnold Schwarzenegger évoque quelques projets restés dans ses tiroirs : [...] Crossbow ("inspiré de la légende de Guillaume Tell"), Pathfinder ("l'histoire d'un Viking orphelin élevé par des Indiens d'Amérique") ou encore Je suis une légende ("une histoire de vampires post-Apocalypse"). (26)
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Wolverine, au début, était l’archétype du personnage « primal », qui perdait son calme à la moindre provocation, explique Claremont. Le meilleur exemple, en tout cas pour moi, c’est dans le numéro 99 de X-Men, en 1976, où Jean Grey, Banshee (le Hurleur) et lui sont emprisonnés dans la vieille station spatiale du SHIELD et où on voit pour la première fois ses griffes sortir, sans le costume. Jean et Banshee le regardent horrifiés. « Tu ne nous as jamais dit que ça sortait de tes mains ! » « vous n’avez jamais demandé ». C’est la première fois qu’on entraperçoit ce qu’il est vraiment. Il ne parle pas de lui-même, il faut lui demander. Il faut prendre l’initiative pour l’atteindre, parce que son instinct naturel est de ne s’approcher de personne, sauf pour attaquer. »
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LE CHOC de Robin Davis (1982)
Davis lit quelques romans et propose d'adapter La position du tireur couché de Jean-Patrick Manchette. "Tout le monde était d'accord, tout le monde a signé ... sauf que personne ne l'avait lu", raconte le réalisateur. Quand il fait lire son adaptation fidèle du roman à Delon et aux producteurs, leur réaction est pour le moins mitigée. "C'est quand même l'histoire d'un tueur qui est la plupart du temps ivre mort. Il est impuissant, il n'aime pas les femmes, il mange des nouilles à longueur de journées, il vit dans une cave parce qu'il est schizophrène et qu'il ne veut se montrer à personne, il est en lutte contre la société entière (...)"
La star accepte le scénario mais demande à son auteur de réécrire son personnage de tueur à gages en inversant les polarités. Davis n'est pas très emballé et se dit prêt à jeter l'éponge mais les producteurs Alain Terzian et Alain Sarde le convainquent de continuer. Il demande alors à collaborer avec l'écrivain Jérôme Charyn, ce qui est accepté.
A New-York, Davis rencontre son auteur fétiche mais est victime d'une grave intoxication alimentaire qui le cloue sur un lit d'hôpital pendant une semaine. A sa sortie, il récupère le script de Charyn qu'il lit dans l'avion du retour. "C'était épouvantable". (...)
Les producteurs sont en colère contre le romancier et rappellent à Robin Davis que le tournage commence dans trois semaines... Le cinéaste concocte alors un scénario dans ce laps de temps en se basant sur les grandes lignes du roman, en magnifiant le personnage de Delon (qui ne vit plus dans une cave mais dans un beau duplex, etc) et en faisant de celui de Deneuve une gardienne de dindons.
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En 1959, Jean Rochefort accepte avec enthousiasme un film dont il n'a pas lu le scénario, Vingt mille lieues sur la terre de Marcello Pagliero, qui va se tourner en URSS: "Dès les premières scènes, j'ai réalisé qu'il s'agissait d'un film de propagande soviétique." Pourtant, le réalisateur espérait faire une oeuvre réaliste, avec des scènes prises sur le vif, comme ce plan d'une charrette tirée par des chevaux qu'il faut remplacer par un tracteur, plan quinquennal oblige. "D'autres problèmes, moins politiques et plus prosaïques, surviennent. "Les techniciens touchaient une prime si le tournage s'étirait", raconte Rochefort, et comme "le réalisateur était alcoolique", ils n'hésitaient pas à le faire boire...
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Le 06 octobre 1973, les troupes égyptiennes et syriennes pénètrent en Israël. Le monde entier est pris par surprise par ce que l'on appellera La guerre du Kippour. A Paris, Gérard Oury et son responsable de la publicité, Georges Cravenne, se demandent s'il est bien raisonnable de sortir dans ce contexte explosif Les Aventures de Rabbi Jacob. Le cinéaste projette le film à ses plus proches collaborateurs ainsi qu'à son ami Henri Verneuil... qui lui conseille d'attendre six mois pour le sortir! "Il pensait qe le film touchait à des questions trop sensibles et risquait de provoquer des bagarres entre Juifs et Arabes, des risques d'attentats dans les salles..", rapporte le compositeur Vladimir Cosma. Malgré cet avis et les nombreuses menaces de morts qu'il reçoit, Oury décide de conserver la date prévue, le 18 octobre.
"Le jour de la sortie du film, on apprend à la radio avec stupeur que Danielle Cravenne, la femme de Georges, avait détourné un avion! se souvient le cinéaste. Comment cette jeune femme de 35 ans, jolie, élégante, qui chérissait ses deux jeunes enfants, avait-elle pu en arriver à de telles extrémités? La réponse ne tarda pas à arriver, puisqu'elle avait fait ça pour demander l'interdiction de Rabbi Jacob dont, en raison des circonstances, et sans même l'avoir vu, elle jugeait la sortie intolérable. Elle était pro-palestinienne. C'était une jeune femme en quête d'absolu, qui n'avait rien d'une terroriste. Elle a été malencontreusement abattue par la police d'une balle dans le front." Malgré cette sortie désastreuse, Les Aventures de Rabbi Jacob va attirer plus de 7 millions de Français.
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Auguste Le Breton, auteur de romans noirs adaptés à l'écran comme Du Rififi chez les hommes ou Le Clan des Siciliens (et rival autoproclamé de Simonin), aimait bien jouer les durs, comme s'en souvient le cinéaste Gilles Grangier: "Alors que nous faisions avec Audiard l'adaptation du Rouge est mis à Montfort-l'Amaury, dans la très pacifique auberge de la Moutière, il ne se déplaçait jamais sans un Luger dans sa valise. Cette arme impressionnante, à la crosse encochée d'une série d'entailles -une entaille=un ennemi abattu- était destinée, parait-il, à impressionner son éditeur qu'il ne trouvait pas "raisonnable", selon son expression! Mais son regard terrible, fixé sur nous, suggérait: "Avis aux amateurs, si des fois vous trahissez mon livre, gare!" Nous n'avons jamais vu l'engin ressortir de la valise."
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« L’unique façon dont tu puisses espérer être couché près de moi, c’est qu’on soit renversé par la même voiture. »
Kathryn Harrold dans Le Contrat
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Et vice versa
The Eagle Has Landes (soit l’aigle a atterri), un film de guerre de John Sturges de 1976, a été exploité en France sous le titre de L’aigle s’est envolé.
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Do you (really) speak english ?
Letters from a killer, autrement dit Lettres d’un tueur, un thriller avec Patrick Swayze, est sorti sous le titre Lettres à un tueur.
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Le bon, la brute et le truand
Sergio Leone (1966)
"Tu vois, le monde se divise en deux catégories.
Ceux qui ont un pistolet chargé et ceux qui creusent.
Toi, tu creuses"
p.38
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Dans mon enfance, ayant le goût de choisir les films que j'allais voir, j'ai été amenée à connaitre Paris, à traverser Paris dans tous les sens.
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POUR REMBARRER SON CHEF :
« Mon supérieur veut vous voir.
- Ah, lequel ? Il y a tellement de gens qui vous sont supérieurs. »
Gregory Walcott et Clint Eastwood dans La Sanction
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POUR SE DISPUTER AVEC SON MARI
« T'es comme le H de Hawaï. tu sers à rien ! »
Jean Dujardin dans Brice de Nice
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Vous rêvez de posséder la répartie de Jean-Paul Belmondo ou la charmante maladresse de Woody Allen ?
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Près de 600 répliques de films vous attendent, adaptées à chaque situation de la vie. Il vos suffira de vous les approprier, de les adapter, de remplacer les noms... et de balancer ces propos bien sentis à qui de droit !
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-Taxi ! Taxi ! Au secours !
-C'est pas ma direction !

Réplique du film "Mort d'un pourri".
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En 1975, Audiard et Philippe de Bocca ont un projet pour Ventura "Nous l'avons vu avec Audiard à 9 heures du matin dans un petit bistrot de l'avenue Mac-Mahon, se souvient le cinéaste .Audiard a commencé à raconter:
- C'est l'histoire d'un ancien truand qui s'est retiré et qui va faire un gros coup. Ça va être drôle .
Audiard, qui était un malin, allait dans le plus conventionnel pour rassuré Ventura . A ce moment la, j'ai gaffé et j'ai dit a Ventura :
- Au début du film, tu es dame pipi avec une soucoupe devant toi !
Ventura s'est levé et a dit:
-Messieurs, si vous êtes venus pour vous foutre de ma gueule, je préfère partir .Ventura en dame pipi arrêtons de déconner !
Et il est parti. Nous, ça nous faisait beaucoup rire d'imaginer Ventura en dame pipi . "
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En dépit d'une avalanche de meurtres, ce n'est pas un "thriller" ;
en dépit d'une cascade de malentendus amoureux, ce n'est pas un vaudeville,
non, voyez-vous, j'appellerais plutôt cela une tragi-comédie-sentimentalo-policière-à-suspense-souriant,
c'est peut-être un peu long, mais ça dit bien ce que ça veut dire ...
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