Pierre Bottero

En commençant ce tome j'ai tout d'abord pensé "oups j'ai raté le tome précédent !" car entre le tome 2 et 3 toutes les aventures d'Ewilan se déroulent, ce qui est assez surprenant. Un fois la surprise passée j'ai encore une fois adoré ce livre, même si je suis partagée entre la tristesse que l'histoire soit fini et la joie d'avoir découvert cet univers et ces personnages.
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Nous suivons le cours de la vie d’Ellana sur la voie de marchombre. Mais qu’est ce qu’un marchombre ? C’est principalement un être libre, mais c’est aussi un mélange d’espion, de voleur, de ninja et d’acrobate. L’histoire est alternativement sombre, calme, triste dù à des complots, des assassinats et la mort d’êtres chers, ou même pleine d’’intrigues et de rebondissements. Mon avis sur ce livre n’est que positif, c’est une de mes séries favorites. Même si elle peut paraître enfantine, elle ne l’est pas. On peut trouver un bestiaire riche en monstres et autres créatures comme les Ts’liches (sorte de mantes géantes aux pouvoirs psychiques) ou les Brûleurs (redoutables créatures pouvant mesurer plus de 10 mètres de long et n’ayant aucun prédateur) qui nous plongent dans ce monde si riche sorti de l’imagination débordante de l’auteur. Mais surtout les personnages, que ce soient les simples paysans ou Ellana, sont attachants de par leur simplicité et il est très facile de se projeter dans leur monde.

Pour ce dernier tome de la trilogie, Ewilan et ses compagnons partent à la recherche de ses parents, alors que la traîtresse Eléa s’est enfuie.



L’histoire est toujours aussi agréable à lire : l’auteur aime les récits de voyage d’une troupe de compagnons, truffés de péripéties !



Cependant, le scénario cède parfois à la facilité, certaines scènes sont trop rapides, comme si l’auteur était pressé de passer à la suite. Ça m’a frustrée, j’aurais aimé plus de développement dans quelques passages et dans les caractères des personnages qui sont peu approfondis, y compris l’héroïne de la saga Ewilan. Certes, elle possède un pouvoir formidable et elle est sérieuse, pourtant sa personnalité n’est pas marquante, contrairement aux secondaires : une vraie Mary Sue.



Mais l’ensemble est dotée d’une plume plaisante, les descriptions sont réussies et les quelques scènes de combat captivantes. L’auteur n’oublie pas de parsemer d’humour son roman, et de créer des liens forts entre les compagnons. Je comprends que ces aventures animées plaisent aux plus jeunes.


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Ma critique (celle dans laqu'ailes je m'envolais sur le dos d'une colombe géante, celle dans laqu'ailes je nageais la brasse dans le ciel) s'est envolée ; elle a déployé ses ailes.



J'ai rencontré deux aigles majestueux dans les Alpes. Ils venaient peut-être de Vishan Lour ? Ils ont emporté ma critique, tels des pigeons voyageurs, l'emportant avec eux, loin, dans un pays qui n'existe pas.

Hum… Des remerciements sont d’usage lorsqu’une amie vous recommande sans arrêt des lectures excellentes qui vous emportent dans des univers fantastiques, non ? Alors, voilà, merci Mikasa pour ce bon conseil ! Je me suis régalée aux côtés d’Ellana qui est vraiment plus touchante et époustouflante qu’Ewilan (que j’ai adoré aussi, mais ce n’est rien à côté de cette nouvelle série bien plus adulte, mature, aboutie et addictive à mes yeux). Pierre Bottero a toujours une très belle plume, à la fois poétique, dure, émouvante et travaillée. Tout simplement magique ! C’est un régal de tourner les pages et de lire certaines répliques entre les protagonistes. Tout en rédigeant cette critique, je songe de nouveau à quelques passages… Je me rends compte que j’aurais beaucoup de mal à mettre des mots sur ce que j’ai ressenti. J’ai parfois insulté certains personnages, je me suis réjouie d’une ou deux morts, j’ai réclamé un baiser entre deux protagonistes et j’ai découvert cette étrange guilde des Marchombres avec grand intérêt.



Bien que plusieurs personnages m’aient plu (en particulier Jilano et Nillem), c’est sans conteste Ellana, une orpheline, qui a su me conquérir grâce à sa forte personnalité. Cette belle jeune fille aux cheveux noirs, le lecteur va la suivre depuis son enfance déchirante à son adolescence. J’ai aimé sa façon de penser, ses valeurs, son courage ainsi que sa soif d’indépendance et de liberté. Une demoiselle pleine de potentiel qui n’a pas toujours la langue dans sa poche, mais qui a un sacré répondant. On ne peut qu’espérer la voir gravir les échelons ou devenir plus forte… Le scénario évolue peu à peu et ne souffre jamais de longueur. De plus, on découvre l’univers en même temps que l’héroïne, si bien que le flot d’informations arrive en continu sans pour autant être excessif. La suite, je la prendrais volontiers si je l’avais sous le coude ! Cependant je saurais me montrer patiente : j’ai déjà une belle petite PAL à vider avant d’acheter des nouveautés. En tout cas, nul doute que le second tome fera partie de mes prochains achats, car c’est un coup de cœur. Deux dans une semaine et dans un genre différent ? Me voici comblée. Si vous aimez le fantastique et souhaitez découvrir un personnage féminin aussi bien creusé que haut en couleur, foncez avec « Ellana » !


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Je continue ma découverte de l’univers de Pierre Bottero avec cette nouvelle trilogie. Et je peux dire que j’adore toujours autant.



Ewilan et Salim veulent profiter des vacances pour se reposer. Mais avant ça, ils vont retrouner en France pour voir les Boulanger. A peine arrivé, qu’Ewilan est kidnappée. Elle se retrouver dans une Institution qui fait des recherches sur les phénomènes paranormaux. Heureusement que Salim est là pour l’aider. Mais voilà, Ewilan n’était pas la seule dans cette institution, du coup, elle va vouloir aider les autres enfants…



On peut que dire que ce tome, les personnages ont tous mûri. Ewilan a subit beaucoup de choses dans ce laboratoire, du coup, elle souffre énormément et a du mal à se remettre. Salim est présent pour elle, il va lui être d’une grande aide. D’ailleurs, Salim prend pas mal de responsabilités dans ce tome. On voit qu’il a changé. Même leur relation va changer. Cette histoire va encore plus les rapprocher.

Sinon, pour les autres personnages, Maniel m’a beaucoup plu, son changement de statut est bénéfique pour lui. On voit moins les autres personnages du groupe, mais on en rencontre des nouveaux comme Maximilien et Illian. Maximilien est un homme solitaire, il est très gentil et a un cœur pur. C’est un personnage que j’ai bien apprécié. Ensuite, Illian est un des enfants retenus par l’Institution, celui-ci est doté de grands pouvoirs.



Ce tome se passe principalement dans notre monde. Même si j’ai adoré ce tome, je me langui de retrouver Gwendalavir, cette univers me fait trop rêver pour être sur Terre. Ce premier tome promet encore une trilogie géniale. Ce premier tome je l’ai lu très rapidement, même pas vingt-quatre heures comme pour la trilogie La quête d’Ewilan.

Le style de Pierre Bottero reste le même. Il va droit au but et nous emporte très facilement avec lui. Il a le don pour m’emporter et ne lâcher ses livres qu’à la fin !



En conclusion, un premier tome à la hauteur de mes espérances. Je n’attendais pas mieux de Pierre Bottero, il a su m’emporter dès les premières pages. Un univers que j’apprécie énormément. La plume de l’auteur est simple et fluide.
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Camille, élève surdouée, se retrouve propulsée du jour au lendemain dans le monde parallèle de Gwendalavir avec Salim, son ami dont elle est inséparable. Là, elle découvre tout un univers magique dont elle serait originaire mais qui est en danger, tout comme elle...

J'avais beaucoup aimé la saga A comme Association et j'ai voulu découvrir d'autres titres de Pierre Botero. Je dois dire que je ne suis pas du tout déçue.

L'univers qu'il parvient à créer, le fait que Camille/Ewilan ait pour seule arme des dessins qui deviennent réels, sa quête d'identité : je me suis laissée entraînée dans cette histoire.

Les personnages secondaires sont pittoresques, attachants et amènent une touche d'humour.

J'ai hâte de lire la suite car de nombreuses questions restent en suspend.

A découvrir !

Retrouvons Ewilan pour la suite de cette trilogie : elle se forme à l’Académie des Dessinateurs de Gwendalavir, pendant que Salim est entraîné à devenir un marcombre. Mais très vite, Ewilan s’aperçoit qu’une monstruosité prend possession de l’Imagination, cette dimension où s’exerce la magie de cet univers. En parallèle, son ennemie Élea reste en embuscade par l’intermédiaire de traîtres, et le jeune Illian donne du fil à retordre.



La plume de l’auteur est certes toujours plaisante, mais c’est un tome de transition qui ne sert pas à grand-chose. Les péripéties sont forcées et intéressantes, les traîtres sont là pour du piquant, mais fort peu crédibles, et les événements s’enchaînent sans grand intérêt.



J’ai déjà écrit sur les défauts du scénario dont l’auteur était un habitué, comme les rebondissements peu logiques ou les deus ex machina. Avec ce tome, j’ai enfin mis le doigt sur quelque chose que j’avais entraperçu auparavant : inventer des imprévus pour meubler les chapitres. Le problème est qu’ici, j’ai l’impression que tout le roman est construit avec des événements créés pour combler un vide.



Les seules pages qui ont suscité mon intérêt sont celles qui concernent Ellena, beaucoup moins lisse que les autres personnages, et qui a maille à partir avec les autres marchombres. Notons aussi qu’un personnage secondaire et sa compagne se démarquent, mais l’auteur leur joue un mauvais sort.



Bref.



Heureusement, ça se lit vite.


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C’est parti pour cette nouvelle trilogie qui prend la suite de La Quête d’Ewilan !



Salim se cache et observe l’Institution, où est détenue Ewilan : elle a été faite prisonnière par la sentinelle renégate Élia, qui a pris le contrôle d’un institut de recherche sur notre monde. Cette dernière veut décortiquer les bases de l’Imagination, pour ensuite revenir à Gwendalavir et s’emparer du pouvoir.



Cette trilogie est plus sombre que la première : Ewilan subit de mauvais traitements, tout comme d’autres enfants possédant des pouvoirs. Cette expérience va la faire douter, et j’ai apprécié qu’elle devienne moins lisse que dans la première trilogie. En parallèle, un tueur en série rode en France et massacre des passants en pleine nuit. On n’est donc pas dans un roman pour les plus jeunes enfants.



On retrouve la belle plume de l’auteur, très évocatrice. Dans certains passages, j’ai vraiment eu l’impression d’être dans les Causses !



Par contre, les défauts sont toujours présents : des ficelles narratives qui se succèdent, voire des deus ex machina qui font lever les yeux au ciel. Je ne parle même pas de deux gamins qui décident d’aller sauver des prisonniers, seuls, en pénétrant dans un bâtiment ultra-sécurisé et protégé par des gardes armés jusqu’aux dents. Enfin si, je viens d’en parler.



Heureusement, l’ensemble est très fluide. Un nouveau personnage promet une suite mouvementée.


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Jean est un petit garçon de dix ans qui vit entouré de femmes, mais des femmes d'un genre tout à fait exceptionnel. Sa grand-mère, sa mère, sa petite sœur et ses tantes sont des sorcières ! Cette particularité génétique ne se transmet qu'aux filles et il est bien difficile aux hommes de la famille de s'intégrer s'ils refusent la magie. Le père de Jean n'a pu le supporter et il est parti un jour quand son fils avait cinq ans. Sans retour, sans nouvelles, Jean n'a de lui qu'une photo où il pose heureux aux côtés de sa mère.



C'est la fin des grandes vacances et il compte bien en profiter avec son copain Baptiste, mais sa mère doit partir sur Paris où elle a rendez-vous avec ses quatre sœurs. C'est donc là-bas que tout va se gâter... Un buveur de magie rôde et vampirise ses tantes les unes après les autres en les transformant en poupée. Sa mère qui essaie sans succès de le combattre, va être à son tour sa victime, laissant ainsi Jean et Lisa, sa petite sœur de deux ans et demi, seuls pour le retrouver et retourner les sortilèges.



Que peuvent faire deux enfants ? Pas grand chose, et Jean ne souhaite pas avertir ses grand-parents pour ne pas les inquiéter. Lorsqu'il sort la photo de ses parents pour se donner du courage, il songe alors que son père qui semblait si amoureux, pourrait leur venir en aide...



C'est Jean qui raconte son histoire avec toute la candeur d'un enfant de son âge. Mais même s'il est prêt à combattre des dragons tout seul pour sa maman, il a conscience qu'il n'est qu'un enfant et qu'il a besoin d'un adulte pour mener à bien sa quête. Sans rancune et avec beaucoup d'amour, sa première pensée va vers son père.

Une histoire tendre, une histoire marrante, une histoire un peu effrayante car le buveur de magie ressemble aux monstres de nos cauchemars d'enfant, l'écriture de Pierre Bottero est toujours un plaisir de lecture...

J'ai enfin commencé à lire Pierre Bottero. Je dis enfin car ses livres me font de l’œil depuis des années et j'ai enfin sauté le pas.

J'ai passé un excellent moment avec ce livre. A priori à destination des adolescents, on ne s'ennuie pas un instant devant un univers riche et des personnages complexes. Le rythme est enlevé, on rentre tout de suite dans le vif du sujet. Les aventures s'enchainent sans aucun temps mort.

Une excellente lecture . Il n'y a plus qu'à lire la suite.

Même si j’avais eu envie de lire cet ouvrage dès sa réception, je m’étais gardé la suite d’Ellana sous le coude, lorsque je me retrouverais face à quelques lectures moyennes, afin de remonter le niveau. Et j’ai bien fait, car cela a été un régal de revoir la belle Marchombre ! Cette suite est aussi addictive et bien écrite que le premier tome ! Je ne me suis pas ennuyée un seul instant, si bien que j’ai dévoré toutes les pages en quelques heures. J’aime ressentir ce besoin de poursuivre absolument ma lecture dès que j’ai un moment de pause, car cela signifie que l’auteur arrive réellement à me transporter ! Ça a été le cas pour ce second volume que j’emmenai partout et que je lisais dès que j’en avais l’occasion. Pourtant, je craignais d’être perdue au début, car ma lecture du premier tome remonte à deux mois… Mais non ! On est directement dans le bain et on retrouve ses marques facilement. De plus, la plume de Pierre Bottero est toujours aussi belle, poétique, fluide, dynamique et travaillée. Je ne me lasse pas de ses mots.



Le scénario m’a grandement séduite : il y a de l’action sans trop en avoir, des morts qui m’ont parfois émue, des rebondissements ainsi qu’ héroïne qui évolue, se pose des questions, fait ses propres expériences et suit sa voie. Pas une longueur vient ternir cet ouvrage. On ne s’ennuie pas ! Par ailleurs, j’ai adoré la relation Hurj/Ellana qui était pleine de complicité, d’humour et d’affection. Les voir s’envoyer des piques, se chercher et s’observer a été très agréable. Nillem a radicalement changé, toutefois le chemin qu’il a choisi ne m’a pas surprise. Il me tarde d’assister à ses retrouvailles avec Ellana… Nul doute que ce sera un moment plein d’émotions pour nous, lecteurs, et pour les deux protagonistes… Enfin, que serait ce second tome sans Jilano, le maître d’Ellana, dont le personnage ne cesse de me plaire au fil des pages. Énigmatique, chaleureux, rusé, protecteur et droit, j’ai aimé les nombreux passages qui le mettaient en scène…



Il me tarde de lire la suite ! Merci encore à Mikasa qui m’a permis de m’envoler avec les mots et d’assister à l’élévation d’une héroïne sacrément chouette et impressionnante ! Je me demande comment tout ceci va se conclure. Si vous n’avez pas encore osé franchir le pas avec « Le Pacte des Marchombres », n’hésitez plus ! Ces deux tomes sont des pépites ! Vivement le dernier opus !


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J'aime toujours autant cette histoire et surtout les personnages. Ils sont vraiment attachants. On m'avait mis en garde sur ce tome qui visiblement en a déçu plus d'un, ce ne fut pas mon cas. Je l'ai trouvé différent des autres, plus "adulte", plus noir, mais je trouve que de ce fait l'histoire semble monter encore d'un cran.



Vivement la suite...
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Que de larmes ! je l'ai lu en une journée, mais il m'a fallu du temps pour oser m'y attaquer sachant que c'était le derniers livre que je découvrirai ce cet auteur, qui fera toujours parti de mes auteurs préférés. Bref après avoir fini ce livre il m'a fallu du temps pour m'en remettre car je voulais à tout prix savoir la suite ! J'ai adoré ces nouveaux personnages cette nouvelle histoire, et bien sur la façon dont plusieurs de ses trilogies se réunissent à la fin de ce tome, ce qui fut sûrement le plus dur à lire, que devait-il se passer ? je pense que c'est une question que je me poserait toute ma vie ! bref un livre que je conseil bien sur comme tout les livres de cet auteur.

1er livre d'une trilogie que je vais essayer de faire découvrir à mon fils. Ce n'est pas facile quand les enfants n'aiment pas lire mais là je me dis que cette aventure passionnante pourrait me faire gagner du terrain ( ils sont sournois les parents... :p ). Trouvé dans une boite à livres j'avoue avoir été chanceuse car ce livre est génial.

L'écriture est simple faite de courtes phrases et on n'a aucun mal à se représenter les personnages ou les lieux.

On fait la connaissance de Camille et de Salim. Tous deux n'ont pas des familles exemplaires mais ils ont une amitiés très forte.

Camille, alias Ewilan, va découvrir tout un monde différent du nôtre rempli de différentes possibilités, de peuples différents et de méchants.

Elle va faire la connaissance de personnages qui je suppose l'accompagneront par la suite et formeront cette famille tellement absente.

Il y a beaucoup de bienveillance dans ce livre malgré le contexte.

Ce 1er livre pose les bases, se lit tellement vite et suscite énormément notre imaginaire que je vais me plonger dans la suite.

Salut les Babelionautes

J’ai relu avec un immense plaisir cette intégrale qui regroupe les trois tomes qui nous raconte la vie d’Ellana.

J’ai eu l’immense plaisir de rencontrer Pierre Bottero lorsqu’il est venu dans notre Médiathèque pour une journée où il nous a dédicacée les premiers exemplaires que j’avais offert à ma fille.

Depuis ils ont tellement étés lus qu’ils partaient en lambeaux et il m’a fallu les racheter en relié quand les éditions Rageot les ont édités en relié.

Le Début commence comme beaucoup d’œuvre de fantasy, une enfant de cinq ans survie à une attaque de monstres qui la laisse seule au monde.

Elle va être recueillie Oukilipip et Pilipip, deux Petits, qui lui donne un nom Ipiutiminelle.

Mais Ipiutiminelle est Humaine et va rendre difficile son éducation par Oukilipip et Pilipip qui n’avais jamais rencontré d’humain avant elle.

La suite nous apprendra le difficile chemin qu’elle va suivre pour devenir une MarchOmbres.



- Il y a deux réponses à ta question. Comme à toutes les questions, tu le sais bien. Je commence par laquelle ? [...]

- Celle du savant.

- Je ne reviendrai peut-être jamais, ma princesse.

- Elle est nulle cette réponse. Donne-moi celle du poète. [...]

- Je serai toujours avec toi. Où que tu te trouves, quoi que tu fasses, je serai là. Toujours. [...]

- Dans mon cœur ?



Ceux qui ont comme moi dévoré La quête d'Ewilan, Les Mondes d'Ewilan, le Pacte des MarchOmbres seront d'accord avec moi, les autres partez a la découverte d'un Auteur de Talent qui nous a malheureusement quitté dans un accident de moto le 8 novembre 2009. Ci dessous une citation de l'Auteur sur sa découverte des portes secrètes de son talent d'écrivain.

« Enfant, je rêvais d'étourdissantes aventures fourmillantes de dangers mais je n'arrivais pas à trouver la porte d'entrée vers un monde parallèle ! J'ai fini par me convaincre qu'elle n'existait pas. J'ai grandi, vieilli, et je me suis contenté d'un monde classique… jusqu'au jour où j'ai commencé à écrire des romans. Un parfum d'aventure s'est alors glissé dans ma vie.

De drôles de couleurs, d'étonnantes créatures, des villes étranges…

J'avais trouvé la porte. »

L’aventure d’Ewilan en BD continue ! J’ai dévoré ce tome avec grand plaisir… Pourtant, j’appréhendais un peu, car le troisième opus avait vraiment été génial. Celui-ci ne rivalise pas avec son prédécesseur, mais reste de qualité. En plus du voyage des aventuriers, on va surtout accentuer sur les sentiments des personnages : Ellana va enfin se rapprocher d’Edwin (De façon subtile et discrète…), Salim va faire une superbe déclaration qui ferait fondre n’importe qui, Edwin et Ewilan vont démontrer qu’un fort lien les unit (Même si ce n’est pas le cas, on sent une relation père/fille vraiment puissante et touchante !) et les autres compagnons vont prouver leur loyauté ainsi que leur amitié. J’ai trouvé ce panel d’émotions très émouvant. On se rend compte que tous ces personnages évoluent et s’attachent les uns aux autres : ce n’est pas une simple histoire avec une quête interminable où les personnages sont creux. Bien au contraire !



Le chemin du petit groupe est peuplé de rencontres, de découvertes (ville, nature, créatures) et de combat ! Une fois de plus, les personnages vont être confrontés à des ennemis puissants comme la goule ou encore des antagonistes attendant que certains membres s’isolent des autres pour mieux attaquer. Le danger est là, toujours présent, et s’amuse à effectuer quelques piqûres de rappel pour que les protagonistes n’oublient pas qu’ils risquent leur vie à tout instant… Hélas, le chemin est encore long ! Il est à noter que les auteurs ont pris l’initiative de faire des petites avancées rapides à plusieurs reprises dans la BD. Ce n’est pas plus mal, car c’est difficile de tout retranscrire en 60 pages, à moins d’envisager un grand nombre de tomes… Pour les frustrés, je pense que ces scènes ou ces passages sont développés dans la saga originale. Ne m’étant arrêtée qu’au premier roman d’Ewilan, il me faudrait la confirmation de la fan number one passionnée par Pierre Bottero, alias Mikasa, qui saura sans doute mieux vous éclairer que moi lorsqu’elle aura lu cette adaptation à son tour. En tout cas, cela reste largement compréhensible !



Les dessins sont dans la continuité des autres tomes : superbes, avec des décors travaillés, des couleurs féeriques et des personnages expressifs. Comme dans le troisième tome, mon reproche concernant Ellana est le même : elle est belle, mais pas toujours ! Cette fois-ci, ce sont surtout ses représentations de profil qui m’ont déplu. C’est dommage, car il s’agit de mon personnage favori (sans doute dû au fait que j’ai dévoré la trilogie la concernant). Les autres protagonistes sont plutôt réussis et sont très expressifs. Bref, une bonne saga dont j’attends impatiemment le tome cinq. Nul doute que ce tome saura conquérir mes ados qui sont aussi impatients que moi d’avoir la suite entre les doigts…




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Je ne suis pas sure d'être particulièrement objective pour les œuvres de Pierre Bottero étant donné que toutes celles que j'ai lu jusqu'à présent m'ont toutes conquises. Et depuis la trilogie "Le pacte des Marchombres" je suis carrément passée de conquise à fan!

Ce livre ci est différent de ceux que j'ai lu de l'auteur jusqu'à présent puisque nous sommes dans la vie réelle et non dans un univers fantastique.

On retrouve bien la plume de l'auteur, avec sa poésie et sa fluidité.

"Tour B2 mon Amour" est une très jolie histoire d'amour tout en simplicité. Il se lit très rapidement et est sans temps mort (150 pages, pas le temps de s'ennuyer). On suit Tristan, adolescent habitant dans une cité où la vie n'est pas facile qui tombe amoureux de Clélia jeune adolescente qui vient de la campagne au comportement différent des autres adolescente de son âge. Elle est solitaire, introvertie, pas du tout à la mode et s'exprime de façon très poli et même poétique parfois. C'est une très jolie histoire d'amour qui se forme entre les deux adolescents.

L'auteur a su me captiver encore une fois, avec ses personnages attachants et riches en émotions. Ces 150 pages ont été une bouffée de fraîcheur pour moi, j'ai passé un très bon moment de lecture; distrayant et agréable.Une histoire sans superflue, où l'on aborde les thèmes de l'amour, de l'amitié, de la vie difficile dans les cités, de l'adolescence, d'être mis à part, la souffrance, la solitude, la confiance... En bref un joli divertissement qui a su m'émouvoir, encore une fois merci Monsieur Bottero pour vos belles histoires et votre écriture si agréable!

Un peu moins prenant que les Ewilan ou Ellana, ce premier tome est quand même sympa à lire et les personnages sont attachants et un peu mystérieux. Il me tarde de savoir la suite...

Ewilan et sa troupe d'irréductibles compagnons sont désormais en route pour retrouver Elicia et Altan à Valingaï, territoire inconnu d'eux mais patrie d'Illian. Malheureusement, ce voyage ne sera pas sans risque, le danger est partout et la mort rôde...

Comme toujours avec Pierre Botero, je ne suis pas déçue par la lecture de ce roman jeunesse mais je suis triste de dire au revoir à cette saga car je me suis vraiment attachée à tous ces personnages.

D'ailleurs, dans ce dernier tome, chacun continue d'évoluer, gagne en maturité et en sagesse allant même parfois jusqu'au sacrifice.

J'adore !