Nationalité : France
Né(e) le : 03/05/1975
Né(e) le : 03/05/1975
Biographie :
Prosperi Buri dessine depuis qu'il est au chômage. Il n'a pas pris de cours de dessin mais vient d'une famille d'artiste : son père peignait des soldats de plomb, et sa mère confectionnait des poupées de chiffon.
Ses influences sont principalement Gaston Lagaffe et JC Menu. Il a commencé sa carrière d'auteur en auto-éditant GO WEST ! un recueil de dessins autour du western spaghetti.
La Montgolfière est sa première histoire publiée.
Depuis on a pu le retrouver dans la prestigieuse revue LAPIN éditée par l'Association. Son lettrage élégant peut être parfois aperçu sur certains livres de Cornelius.
Issu d'une vieille famille bretonne, il sort en 2011 un recueil de strips sur l'ïle de Croix édités par une galerie groisillone (une galerie locale quoi).
Parrallèlement à ses activités dans la bande dessinée, il poursuit une carrière musicale. entamée par quelques auto-productions. autour de son groupe de musique, les Dirty Cousins et d'autres groupes tous plus révolutionnaires les uns que les autres.
Il a sorti en un album (magnifique 45 tour) dans le label Inmybed.
+ Voir plusProsperi Buri dessine depuis qu'il est au chômage. Il n'a pas pris de cours de dessin mais vient d'une famille d'artiste : son père peignait des soldats de plomb, et sa mère confectionnait des poupées de chiffon.
Ses influences sont principalement Gaston Lagaffe et JC Menu. Il a commencé sa carrière d'auteur en auto-éditant GO WEST ! un recueil de dessins autour du western spaghetti.
La Montgolfière est sa première histoire publiée.
Depuis on a pu le retrouver dans la prestigieuse revue LAPIN éditée par l'Association. Son lettrage élégant peut être parfois aperçu sur certains livres de Cornelius.
Issu d'une vieille famille bretonne, il sort en 2011 un recueil de strips sur l'ïle de Croix édités par une galerie groisillone (une galerie locale quoi).
Parrallèlement à ses activités dans la bande dessinée, il poursuit une carrière musicale. entamée par quelques auto-productions. autour de son groupe de musique, les Dirty Cousins et d'autres groupes tous plus révolutionnaires les uns que les autres.
Il a sorti en un album (magnifique 45 tour) dans le label Inmybed.
Source : BNF
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En 1964, rien ne laisse présager que la rencontre entre un jeune new-yorkais accro aux médicaments, Lou Reed, et un Gallois pédant et multi-instrumentiste, John Cale, allait aboutir à la création du groupe de rock le plus scandaleux et original de son époque. En moins de dix ans, ils vont chambouler tous les codes musicaux, artistiques et culturels et influenceront des générations de musiciens. Prosperi Buri, avec son humour acide, décrit ces années de bruits et de fureur, pour un portrait à la fois juste et sans complaisance. En librairie https://www.dargaud.com/bd/une-histoire-du-velvet-underground/une-histoire-du-velvet-underground-une-histoire-du-velvet
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Citations et extraits (11)
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Nico : Ach, oui...Bob a déjà écrit une chanson pour moi, und Brian...j'ai déjà joué avec son...
Andy Warhol : Très bien, très bien ! Alors, les Velvet, une chanteuse, ça vous dirait ? Regardez encore comme elle est belle !
Lou Reed : Une chanteuse ?!
C'est à dire...c'est moi le chanteur, Andy !
John Cale : ...on n'a pas envie d'accompagner une potiche...
Sterling Morrisson : Elle sait chanter au moins ? Avec cet accent...
Maureen Tucker : Moi, je trouve qu'elle a mauvais genre...
Andy Warhol : Mais mais mais, les chouchous, on dirait qu'on a un petit désaccord, là ?
Les groupe : Un gros, même ! Oublie ça, Andy
Andy Warhol : Bon...Lou, pourquoi tu n'irais pas en discuter en tête à tête avec Nico, MMH ?
Isolez-vous, parlez...apprenez à vous connaître...Il y a des chambres dans le fond...
Andy Warhol : Très bien, très bien ! Alors, les Velvet, une chanteuse, ça vous dirait ? Regardez encore comme elle est belle !
Lou Reed : Une chanteuse ?!
C'est à dire...c'est moi le chanteur, Andy !
John Cale : ...on n'a pas envie d'accompagner une potiche...
Sterling Morrisson : Elle sait chanter au moins ? Avec cet accent...
Maureen Tucker : Moi, je trouve qu'elle a mauvais genre...
Andy Warhol : Mais mais mais, les chouchous, on dirait qu'on a un petit désaccord, là ?
Les groupe : Un gros, même ! Oublie ça, Andy
Andy Warhol : Bon...Lou, pourquoi tu n'irais pas en discuter en tête à tête avec Nico, MMH ?
Isolez-vous, parlez...apprenez à vous connaître...Il y a des chambres dans le fond...
- Je ramassais mes tremouchs, quand soudain... surgit la Korrigez, avec ses dents comme des berniques !
"Une queue de merlu et des seins heu... énormes"
"elle s'est approchée de mon Benniged qui dormait paisiblement dans son panier... elle l'a bouffé ! "
- Vous comprenez les filles ?
"Une queue de merlu et des seins heu... énormes"
"elle s'est approchée de mon Benniged qui dormait paisiblement dans son panier... elle l'a bouffé ! "
- Vous comprenez les filles ?
– Ce truc Loulou, c’est le nouveau nom du groupe !
– Le… quoi ? Le… Velvet Under…
– Le… quoi ? Le… Velvet Under…
"A la Factory, c’est très mal vu de rigoler…Tout le monde est sous speed, et le top du cool c’est de faire la gueule… être odieux, snober son voisin… prendre des poses suffisantes",
Phénomènes fascinants, les nains sont présents dans toutes les cours au titre de "jouets vivants", comme les singes et les chiens. Au delà du simple divertissement les bouffons sont aussi pour les puissants un moyen de se mettre en valeur. Les nains furent ainsi l'objet d'un commerce dont la plaque tournante fut d'abord le Caire. C'est là qu'on commença à se lancer dans la "fabrication des nains", industrie qui connaîtra son apogée sous le bas-empire romain.
Vous en avez de drôles dans ce village ! C'est bien la première fois que je livre une montgolfière.
[Andy Warhol]
Par contre, les chouchous... il faut que je vous prévienne tout de suite...
...A la Factory, c’est très mal vu de rigoler… Tout le monde est sous speed, et le top du cool c’est de faire la gueule… être odieux, snober son voisin… prendre des poses suffisantes...
(...)
La Factory, c'est ce loft immense sur la 47e rue qu'a ouvert Andy Warhol pour y loger sa clique de losers magnifiques... ceux qu'il appelle ses "superstars"...
Tournages, sérigraphies, expositions, performances... On y travaille en permanence.
Andy a recouvert les murs de papier aluminium, et c'est parfaitement hideux...
Les gens s'y observent et s'y montrent.
Tout le gratin du show-biz des années soixante s'y presse : Dylan, Brian Jones, Dali...
Tout le monde s'y drogue...
Par contre, les chouchous... il faut que je vous prévienne tout de suite...
...A la Factory, c’est très mal vu de rigoler… Tout le monde est sous speed, et le top du cool c’est de faire la gueule… être odieux, snober son voisin… prendre des poses suffisantes...
(...)
La Factory, c'est ce loft immense sur la 47e rue qu'a ouvert Andy Warhol pour y loger sa clique de losers magnifiques... ceux qu'il appelle ses "superstars"...
Tournages, sérigraphies, expositions, performances... On y travaille en permanence.
Andy a recouvert les murs de papier aluminium, et c'est parfaitement hideux...
Les gens s'y observent et s'y montrent.
Tout le gratin du show-biz des années soixante s'y presse : Dylan, Brian Jones, Dali...
Tout le monde s'y drogue...
On jouait ensemble dans un appartement à trente dollars par mois, on n'avait pas un rond et on faisait des dons du sang pour se faire offrir un petit déjeuner.
On a montré que le rock pouvait parler de la vie quotidienne, de nos émotions brutes... que les paroles d'une chanson pouvaient être de la poésie !
Grâce à nous, le rock est devenu malsain ! C'était plus seulement l'amour et les filles, mais aussi le sexe déviant, la mort, la défonce... La vraie vie, quoi !
Le Velvet Underground a créé une passerelle entre l'art avec un grand "A" et la Pop !
Grâce à nous, le rock est devenu malsain ! C'était plus seulement l'amour et les filles, mais aussi le sexe déviant, la mort, la défonce... La vraie vie, quoi !
Le Velvet Underground a créé une passerelle entre l'art avec un grand "A" et la Pop !
Au début de l'année 1966, Le Velvet Underground prend ses quartiers à la Factory.
Les répétitions sont intensives ;
Nico chante comme une patate...
- C'est encore pire quand je lui prête mon tambourin !
- John... Je me demande si j'ai bien fait d'accepter cette Allemande dans le groupe...
- Mais oui, Lou... Quand on prend le temps de la connaître, on sent qu'elle est très motivée...
Les répétitions sont intensives ;
Nico chante comme une patate...
- C'est encore pire quand je lui prête mon tambourin !
- John... Je me demande si j'ai bien fait d'accepter cette Allemande dans le groupe...
- Mais oui, Lou... Quand on prend le temps de la connaître, on sent qu'elle est très motivée...
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