Q Hayashida

Après avoir regardé l'anime sur Netflix, que j'ai adoré, j'attendais avec impatience la réimpression de certain tomes qui étaient en rupture depuis un moment. Ce premier tome ne m'a pas déçue ! Le style de l'auteur, un peu crayonné, est très chouette et bien adapté à l'histoire. Certaines pages sont complètement en couleur et d'autres ont quelques touches de couleur seulement et l'ensemble est très esthétique ! Dans ce premier tome, pas le temps de s'ennuyer : on découvre une belle galerie de personnages tous plus loufoques les uns que les autres, un univers dont on découvre petit à petit le fonctionnement, et les événements s'enchaînent, pas trop rapidement, mais sans perdre de temps pour autant. Je ne sais pas si j'aurai lu ce manga si je n'avais pas vu l'anime avant, parce que, soyons honnête, en feuilletant rapidement le manga, je ne sais pas si on se rend compte à quel point ce manga est amusant et complètement tordu, mais dans tous les cas, je suis très contente de l'avoir acheté !

L'histoire avance doucement, nos héros si particulier sont opposé à quelqu'un capable de leur tenir tête. L'univers complètement loufoque est vraiment plaisant à lire et il y a toujours cet humour qui me plaît beaucoup. Une série atypique que je continue de lire avec beaucoup de plaisir

Bien que biberonnée à Alien, de Ridley Scott, et à The Thing, de John Carpenter, Q Hayashida revendique une SF affranchie de ses poncifs visuels et scénaristiques, à l’équilibre entre autodérision, ingrédients horrifiques et trituration de la matière organique.
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Un plaisir de retrouver les personnages dans ce nouveau volume, ce manga est définitivement mon coup de coeur de 2022. J'ai hâte de voir où vont nous mener nos 4 têtes d'affiche et Spectrum, de les voir encore et toujours créer de liens délirants dans des situations plus que décalées! Comme dans les 2 premiers on sent que l'univers créé par l'autrice a été pleinement pensé et qu'il continue de se dévoiler progressivement, de façon non linéaire sans être cryptique pour autant. Une pépite!

Je ne suis peut-être pas objective, mais j'attends toujours avec une grande impatience la parution des tomes de Dai Dark ! Et je ne suis pas déçue de ce troisième tome, qui reprend tous les éléments qui m'ont plu dans les deux premiers : de l'humour, du glauque, de l'horreur, de la vie quotidienne (pas banale). On en apprend encore plus sur les personnages et la jeunesse de Sanko, et comme toujours, j'ai très hâte de découvrir la suite !

Tome 9 à 16

Deuxième tiers de la série et je suis toujours autant sous le charme.

La série garde son rythme et avance à petit pas, mais je prend surtout du plaisir avec tous les personnages. On suit finalement une multitude de personnages qui sont tous opposés avec des buts à l'opposé et on sait qu'ils sont tous voués à se confronter finalement mais on a l'envie à chaque fois qu'ils réussissent tous même si c'est finalement impossible.

Le récit devient de plus en plus mystérieux et cela fait du bien également.

Tome 9 à 16

Deuxième tiers de la série et je suis toujours autant sous le charme.

La série garde son rythme et avance à petit pas, mais je prend surtout du plaisir avec tous les personnages. On suit finalement une multitude de personnages qui sont tous opposés avec des buts à l'opposé et on sait qu'ils sont tous voués à se confronter finalement mais on a l'envie à chaque fois qu'ils réussissent tous même si c'est finalement impossible.

Le récit devient de plus en plus mystérieux et cela fait du bien également.

Ayant de nombreuses lectures en commun, c'est mon ami Dramouth qui m'a proposé de lire Dorohedoro, et vu qu'il est généralement de bon conseil, je me suis dit "aller on va jeter un oeil".



Et du coup, ça donne quoi ?

Si je suis lecteur de comics, manga, BD, romans, notice d'instruction, ou que sais-je encore, c'est le manga qui en ce moment me donne le plus envie.

C'est donc avec envie que je me lance dans Dorohedoro, et si j'ai voulu donner sa chance à l'œuvre, dès le début, le dessin que je trouve assez grossier m'a refroidit.

Si j'arrive à passer outre et m'habitue, le scénario ne m'a pas emballé non plus, j'ai trouvé ce premier tome assez répétitif, je ne me suis pas attaché aux personnages, et il y a pour l'instant de nombreux mystère mais... je ne suis pas forcément impatient de les découvrir...



Si je redonnerais une deuxième chance au titre un jour ou l'autre, vous l'aurez facilement compris, ce tome 1 ne m'a pas du tout convaincu.

Pas de chance, ça ne marche pas à tous les coups !

L’autrice du culte Dorohedoro revient avec une nouvelle série qui s’amuse à casser tous les codes de l’aventure spatiale, et à flirter avec les frontières du genre en n’hésitant jamais à en faire trop. Ainsi, ce premier tome de Dai Dark se pose très vite comme une comédie potache, mais dans un univers extrêmement sombre, fait de chairs putréfiées, d’ossements louches, de transformations corporelles repoussantes et de nourriture infâme.
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J'attendais avec impatience la traduction française de ce manga, curieuse de voir si l'ambiance et l'histoire allait être aussi prenantes que dans Dorohedoro, et je ne suis pas déçue !

Le dessin est toujours aussi incroyable, fourmillant de détails, avec des designs de personnages et de lieux très inventifs et originaux. En ce qui concerne l'histoire, on comprend rapidement les grandes lignes de l'univers et l'essentiel est expliqué au fur et à mesure. J'ai rapidement été happée par l'histoire et je suis déjà attachée aux personnages ; j'ai envie d'en savoir plus et de découvrir plus en détail l'univers créé par Q-Hayashida, qui me semble aussi fou et déjanté que dans Dorohedoro.



Une belle réussite pour moi que ce premier tome, qui ne décevra pas les fans de Dorohedoro, et qui me donne envie de lire la suite !

"Hole", la ville où nous vivons. Ailleurs, le monde des mages qui fabrique des passerelles vers la mégapole, son terrain d'entrainement pour y exercer sa magie, transformant les gens en insectes, sauriens ou autres.

Un couple, une fille "Nikaido" et un homme à tête de Caïman (victime d'un mage), tous deux sont devenus insensibles à la magie. Ils combattent les mages.

Ce manga en noir et blanc nous transporte dans un monde plutôt glauque, une sorte de pays démoniaque, en noir et blanc, sale. Etrangement le rituel des repas y est important. Le couple héros enquête pour savoir comment ils en sont arrivées là, mais les mages veulent leur peau...

Dorohedoro n’en conserve pas moins son ton décalé qui permet d’alterner scènes graves et situations légères, de conserver un certain détachement même dans les moments les plus sordides et dramatiques.
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Après avoir vaincu l'homme photo-nucléaire, Sanko a besoin de réparer son fidèle Sadakoh tandis que Death de la Mort veut en apprendre plus sur Tocard Primus. Un programme chargé, surtout que Big Bling décide de monter en charge sa production d'hommes photo-nucléaire !
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Alors que Dai dark débarque en librairie, je voulais vous parler de la précédente oeuvre de l'auteure !

Dorohedoro est une oeuvre totalement déjantée. Entre Caïman et son amour des gyozas, Nikaido et son lourd secret ou En et son pouvoir champignonesque, Q Hayashida nous offre une palette varié de personnages plus dingues les uns que les autres.



Ce qui est extraordinaire avec ce manga, c'est que le lecteur est plongé dans un chaos indescriptible qui fini pourtant par prendre sens ! L'auteure nous démontre ici un excellent talent de scénariste.



Quant aux dessins, elle n'est pas en reste ! Son style qui peut sembler brouillon et fouillis dessert totalement l'univers qui lui aussi est sombre et fourni



🥟 En bref, Dorohedoro c'est une plongée dans le chaos, mais surtout dans une oeuvre de qualité !

Ce manga m'a été offert par un proche, conseillé par un vendeur de mangas...une immense déception, et du temps et de l'énergie sacrifiée pour une déception toujours plus grande. Ce n'est pas parce qu'on lit Berserk, Vinland Saga, ou même SNK, que le critère violence est celui qu'on recherche....ca va avec l'histoire. Je pense que c'est ce qui a été demandé. Uniquement de la violence. Car je ne trouve pas une lueur d'intelligence, ni même une esquisse d'un scénario incroyable, mais simplement une comédie classifiée de sombre car l'auteur met du ""gore"" partout. J'ai eu l'impression de devenir idiote en lisant ses pages. Je ne conseille absolument pas, à moins que vous ne vouliez perdre votre argent dans un divertissement de basse qualité.

Un manga toujours aussi drôle et absurde, nimbé dans une ambiance cartoon cruelle et violente - les rencontres de nos héros, généralement insouciant, avec d’autres voyageurs spatiaux se terminant systématiquement en massacre. Bref un régal pour les amateurs de récit étrange et organique.
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J'y suis allé car les critiques étaient bonnes mais j'ai été déçu. Les mangas sont parfois lents à démarrer mais la on est trop vite dans le bain et pour ma part trop proche du ridicule parfois, cf le vaisseau par exemple. J'ai été déçu je ne continu pas

Dai Dark, c'est un peu ce manga dont je n'attends rien tout en sachant que l'univers de Q Hayashida me transportera comme pour Dorohedoro.



Si les deux tomes précédents enchainaient quelques scènes sans vraiment nous proposer d'intrigue, le tome 3 semble rétablir cela en donnant du contexte dès la première page et en réunissant nos quatre chers personnages comme il se doit.



L'humour s'affine, l'univers et les conflits narratifs se dévoilent au lecteur et je ne peux qu'être curieux vis à vis de la suite du manga.



Comme pour les deux précédents tomes, les pages couleurs et la jaquette transparente font du manga une édition agréable à aligner dans sa bibliothèque.



Ce tome est sans doute celui que j'attendais, celui qui vient réellement amorcer l'intrigue de Sanko Zaha et ses camarades.

J'attendais avec impatience ce tome deux, et je ne suis pas déçue ! Je me suis replongée avec joie dans ce récit complètement étrange, un mélange de manga tranche-de-vie et de manga horrifique/glauque, avec énormément d'humour par dessus... J'aime beaucoup l'alternance entre l'histoire principale et les chapitres qui racontent les souvenirs de la jeunesse de Sanko.



L'univers se dévoile petit à petit, tout comme les personnages, dont on découvre au fur et à mesure les caractères et capacités. En très peu de temps, je me suis attachée aux personnages principaux, et j'aime beaucoup les liens qui se nouent entre eux.

Le dessin est toujours aussi sympa et correspond parfaitement au propos du manga, avec ce côté sombre et brouillon. Je suis très curieuse de lire la suite !

Excellent deuxième tome, Dai Dark continue d’apporter ce souffle original et bluffant sur un manga seinen qui allie humour noir et... dessin noir.
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