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Critiques de René Grousset (34)
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Histoire des croisades et du royaume franc ..

Les critiques étaient toutes bonnes : un magnifique ensemble, le meilleur sur les croisades. J’ai donc acheté les trois tomes d’un coup. Pas de chance le livre est entrecoupé de citations de textes d’époque non traduit, ce qui au départ est amusant, mais lasse très vite quand on n’est pas un spécialiste du moyen-âge. Moralité je ne l’ai pas fini et ne suis pas près de lire les deux autres.
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L'épopée des Croisades

Décrié pour sa vision très française des Croisades, ce texte reste une référence en mêlant les caractères personnels des Croisés les Godefroy, Tancrède et autres Baudouin. On ne s'y ennuie jamais et René Grousset sait nous faire aimer l'histoire en lui donnant l'allure d'un roman épique.
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L'Empire des steppes

5* incontestablement pour le travail historique d'une précision et d'une quasi-exhaustivité diabolique. Par contre déçu pour la vulgarisation qu'implique un tel ouvrage destiné au grand public. Il est évident que la matière est dense et complexe mais on est vraiment obligé d'accepter d'être noyé dans les noms de lieux et de personnages qui fourmillent dans cette somme de 650 pages pour retirer une impression d'ensemble sur Gengis Khan, Koubilai Khan et Tamerlan, les 3 noms pour lesquels j'ai décidé de lire ce livre et pour lesquels j'ai effectivement mieux compris l'été d'esprit et l'approche des steppes qui était la leur. Ou bien il fallait partir pour 3 mois d'études, cartographies et liens entre les noms chinois, mongol, actuel,... trop pour moi...

Reste la sensation d'une épopée guerrière très bien rendue et, je le répète, une meilleure connaissance globale des enchainements de conquètes dans l'empire des steppes de l'Asie centrale.
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L'épopée des Croisades

Ce livre de l’historien et membre de l’Académie française, René GROUSSET (1885-1952), constitue en quelque sorte un résumé, en un seul opuscule de 1939, des trois volumes de la monumentale « Histoire des Croisades et du Royaume Franc de Jérusalem », l’œuvre majeure de GROUSSET, dont la rédaction s’étale de 1934 à 1936. Des prémices de la Première Croisade, avec l’appel du pape Urbain II, à la chute de Saint-Jean-d’Acre en 1291 sont passés en revue les grands événements qui marquent le territoire de la « Syrie Franque » sur près de deux siècles, et évidemment avec comme jalons essentiels les neufs croisades successives. Dans un style classique brillant, où foisonnent les subjonctifs imparfaits et plus-que-parfaits, l’auteur décrit avec minutie et pédagogie les moments importants, les personnages hauts en couleur, les combats, les alliances, les intrigues… Son talent de narrateur est tel qu’il maintient intacte l’attention du lecteur tout au long de cette fresque imposante et souvent entortillée.

Ayant lu et apprécié ce livre, je ne peux manquer de m’interroger sur les nombreuses critiques, ici même sur le site et surtout extérieures, que l’ouvrage et, au-delà, l’œuvre générale de René GROUSSET ont pu susciter. Certes, à cet égard, je n’aurais pas l’outrecuidance d’engager la polémique avec les historiens contradicteurs n’étant pas moi-même historien. Cependant, je m’étonne qu’on puisse voir là la marque principale d’une « utopie colonisatrice » ou, comme l’a écrit l’historien H. E. Mayer, celle d’un « chauvinisme (…) [levant] sa tête hideuse ». Un article de 2018 de Slate estime aussi qu’« il est (…) extrêmement fallacieux de parler de vague islamique, comme si l'islam formait un océan uni prêt à déferler sur l'Europe. » À ceci près que GROUSSET, en tout cas dans « L’Épopée des croisades », insiste particulièrement sur les divisions entre musulmans et jamais ne présente ces derniers comme composant un front unifié – sauf à de rares moments notamment sous Saladin. De même, il décrit les alliances parfois surprenantes entre tel chef Arabe ou Turc et tel seigneur chrétien. Fréquemment, il dépeint, de façon très favorable, les musulmans – par exemple le sultan Saladin – et n’hésite pas, au contraire, à blâmer l’attitude de certains chrétiens, en particulier Richard Cœur de Lion (cf. p. 255). L'analyse est donc beaucoup plus nuancée qu'on le prétend. (Je mettrais toutefois un bémol vis-à-vis des développements enflammés, qui tiennent de l'hagiographie, en faveur de Saint Louis). Il est vrai, s’il s’appuie principalement sur des écrits de chrétiens, en particulier ceux de Guillaume de Tyr, GROUSSET mobilise aussi plusieurs historiens et chroniqueurs arabes : Ibn al-Athîr, Béhâ ed-Dîn, Maqrizi, Aboul Fidâ… Finalement, on notera aussi le paradoxe de déceler, dans cet ouvrage, une inspiration colonisatrice, alors qu’il étudie les combats entre « francs » et musulmans, après la colonisation par ces derniers, près de cinq siècles auparavant, de terres juives et chrétiennes.

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L'épopée des Croisades

Les croisades vues par un chrétien au temps des colonies.



Dans son récit des croisades, René Grousset est loin d’être neutre. Dans le premier chapitre, il justifie l’appel du pape Urbain II à la Guerre Sainte : « La prise de possession de l’Asie Mineure par la race turque et par l’islamisme imposèrent à l’Occident la conviction que pour sauver l’Europe directement menacée, les nations occidentales de devaient d’intervenir ». Jérusalem, berceau de la chrétienté devait être « délivrée ». Pour l’auteur, les croisades ont été bénéfiques : « La catastrophe de 1453, qui était à la veille de survenir dès 1090, sera reculée de trois siècles et demi ». Et il conclut, dans un grand élan de lyrisme : «Et tout cela sera l’œuvre voulue et consciente d’Urbain II. Au geste du grand pape, barrant la descente du fleuve, le cours du destin va être arrêté et brusquement refluera. »

Devant un tel parti pris, comment faire confiance à René Grousset pour traiter les protagonistes de façon équitable? De fait, s’il a bien puisé dans des sources arabes, il n’en a gardé que les passages vantant la bravoure des Francs.

Malgré cela, j’ai tenu jusqu’à la prise de Jérusalem, le 15 juillet 1099. Si René Grousset admet qu’il y a eu un véritable massacre « les fureurs inhérentes à toute prise d’assaut se prolongèrent ici beaucoup trop longtemps », il pardonne trop facilement aux croisés « Chez ces hommes rudes, après tant d’épreuves et de périls, rien ne subsistait plus qu’une immense émotion religieuse ». Pour lui, l’essentiel est que le but soit atteint, Jérusalem est « délivrée » et les chrétiens ne peuvent que s’en réjouir. Cette trop grande indulgence devant des crimes commis au nom de Dieu m’a dégoutée, je ne suis pas allé plus loin.



Cette vision pro-occidentale de René Grousset correspondait au discours de rigueur en 1936 dans une France coloniale. Elle est aujourd’hui complètement dépassée, je ne comprends pas qu’elle puisse encore être présentée comme la référence sur l’histoire des croisades.

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Histoire des croisades et du royaume franc ..

Malgré quelques défauts majeurs, ce premier tome de l'Histoire des Croisades de René Grousset est un excellent livre que vous ne devez pas hésiter à vous procurer si le sujet des croisades vous intéresse.



Le travail de l'auteur est sérieux puisqu'il s'appuie sur de nombreuses sources que vous pourrez remonter en consultant les notes inscrites à la fin du livre pour avoir des compléments d'informations sur tel ou tel événement. Il y-a de nombreuses cartes et un tas de ressources qui sont mises à la disposition du lecteur pour qu'il puisse situer géographiquement chaque événement rapporté dans le livre. Les efforts de transparence apportés par René Grousset démontrent qu'il a été honnête dans son approche. On ne peut pas lui reprocher d'avoir écrit n'importe quoi. Ici, vous n'avez pas à faire à un Laurent Deutsch qui vous compile malhabilement 1500 ans d'histoire en moins de 400 pages ! La vulgarisation n'est pas l'apanage de René Grousset.



Malgré les quelques citations en vieux français (qui ne m'ont pas gêné), le livre ne connaît pas de lourdeurs ni de temps morts. La plume de René Grousset m'a facilement entraîné sur les traces des croisés en terre sainte. En clair et pour faire simple : vous n'avez rien à craindre, les 800 pages de ce premier tome ne sont pas insurmontables. Si vous êtes un lecteur assidu et tolérant avec le vieux-français alors, vous terminerez de lire ce livre en un clin d'oeil (à quelques centaines de battements de cils près xD). Personnellement, je l'ai dévoré en un peu moins de quatre jours. Et je ne suis pas un rapide puisque je vérifie tout, remonte les sources etc. Donc. Voilà. C'est une lecture accessible.



Bon. J'en ai fini avec les compliments. Hélas... ! J'aurai bien aimé poster un commentaire dithyrambique mais ma conscience ne me le pardonnerait pas alors je vais m'arrêter sur les quelques points qui m'ont le plus dérangé.



Ma première réflexion après la lecture de ce premier tome a été et je me cite : « C'est tout de même très chauvin ! » et oui, ça l'est. Et je pardonne aisément à René Grousset d'avoir fait de l'excès de zèle patriotique puisque c'est un historien qui a écrit avec les préjugés et les idées de son temps à savoir : l'avant seconde guerre mondiale (de 1934 à 1936 pour sa série sur les croisades). Un historien ne peut pas être totalement impartial même lorsqu'il est profondément honnête MAIS je crois que c'est une démarche très saine intellectuellement pour nous, lecteurs, que de replacer un livre (même historique) dans son contexte de parution pour ne pas tomber dans certains pièges comme le chauvinisme de Grousset qui l'aveugle quelques fois au point de lui faire écrire noir sur blanc que le modèle occidental a vaincu le modèle oriental parce que ce dernier était... (et il l'écrit à plusieurs reprises) débile ! Cela m'a un peu piqué les yeux de lire ça ;)



Moi qui suis passionné d'Histoire, j'ai été très étonné par son analyse plutôt bancale de la reconquête byzantine des derniers empereurs macédoniens entre la toute fin du Xème et pendant les 3/4 du XIème siècle. René Grousset prétend que les manoeuvres des grecs ont préfiguré celles des latins sauf que... les reconquêtes byzantines s'inscrivaient dans la continuité d'un conflit qui durait depuis plusieurs siècles. C'est tout de même très long pour une croisade. Les objectifs byzantins étaient pragmatiques puisqu'ils souhaitaient se dégager un espace vitale viable et défendable. Rien à voir avec les considérations et objectifs des croisés occidentaux. Bref. Ce raisonnement appartient à René Grousset et comme vous l'avez compris : je ne partage pas son analyse.



Ce qu'il y-a de plus grave c'est que René Grousset a une forte tendance à minimiser certains faits qui lui déplaisent. Par exemple : les pillages perpétrés par les croisés à l'intérieur de l'empire Byzantin. Théophylacte d'Ohrid a envoyé de nombreux rapports à Constantinople pour dresser un état des lieux après le passage des normands qui glacent littéralement le sang. Ce fût effroyable. On se demande comment Alexis Ier Comnène est tout de même parvenu à dialoguer avec des gens aussi peu enclins à composer de manière réfléchie et pragmatique avec le contexte géopolitique oriental.



Autre exemple : lors du siège d'Antioche, les croisés se livrent à des actes de cannibalisme que René Grousset commente de cette façon : « Certains de ses stratagèmes de guerre ont l'allure de plaisanteries énormes, encore qu'un peu rudes, au demeurant fort efficaces. » (P148). Un peu rudes ? C'est le moins que l'on puisse dire puisque les croisés (de leur propre aveu) ont été jusqu'à faire rôtir des hommes sous les murs d'Antioche devant des musulmans atterrés par autant de cruauté ! de nouveau, René Grousset choisit de minimiser des actes injustifiables même en temps de guerre ! Bizarre qu'il ne parle pas de l'écoeurement (et c'est un euphémisme) des byzantins face à de telles techniques d'intimidation... !



Plus généralement, René Grousset traite les romains d'orient avec beaucoup d'indigence en ne s'appuyant que sur les écrits de Chalandron qui est un historien du... 19ème siècle !!! Dans une moindre mesure, il lui arrive de citer les Alexiades d'Anne Comnène (une contemporaine des croisades) mais en remettant SYSTÉMATIQUEMENT en question ses propos comme s'ils n'étaient pas fiables alors qu'ils ne sont pas moins partiaux que ceux de Guillaume de Tyr dont il nous rabat les oreilles. Il oublie de nombreux auteurs et historiens byzantins majeurs (...dont les Mousaï d'Alexis Ier Comnène en personne - bien que je ne sache pas s'il a pu les avoir en sa possession - !) et du coup, ce qu'il écrit sur les byzantins manque cruellement de cohérence. Par exemple, au sujet d'Alexis Ier : il dresse un portrait plutôt flatteur de l'empereur dans les premières pages (ex : P85 - P91) et lorsque ce dernier n'agit plus en faveur de la politique coloniale franque, il lui trouve un nombre incalculable de défauts... ! Pas très logique tout ça... n'est-ce pas ?



Pour finir : ce premier tome des « Histoire des croisades » ne doit pas être votre seule référence en la matière. Il faut impérativement replacer ces trois livres dans leur contexte de parution pour comprendre l'analyse de René Grousset. Si vous choisissez d'ignorer les inclinations idéologique de l'auteur, vous risquez de vous trouver persuadés qu'il dit LA vérité alors qu'en réalité : il n'en détient qu'une partie et c'est à vous de la reconstituer en accumulant le plus de références possibles sur le sujet des croisades. Bien qu'il cite de nombreux chroniqueurs arabes, il omet beaucoup de choses et va jusqu'à faire des coupes drastiques dans certains témoignages prétextant que ce n'est pas fiable alors que paradoxalement, il ne fait pas la fine bouche avec les approximations assez grossières d'Albert d'Aix qui n'a jamais mis un pied en terre sainte et ça, René Grousset le savait parfaitement bien à son époque ;)



Ne choisissez pas la facilité. Lisez plusieurs sources. Ne vous arrêtez pas à Grousset ;)
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L'épopée des Croisades

Ce livre de René Grousset, écrit en 1936, est considéré aujourd'hui comme un classique et une référence sur les Croisades, ce que je confirme, même si j'ai relevé aussi quelques faiblesses...



J'ai d'abord été impressionné par l'érudition de l'auteur, qui maîtrise parfaitement son sujet et le démontre à chaque page.

Certes le livre est daté et les connaissances se sont depuis affinées au gré des recherches, mais l'essentiel est là.

D'ailleurs, il faut saluer le talent de Grousset qui a su résumer une si longue et riche période historique en 350 pages, tout en étant le plus complet possible.

Le livre est parfois dense mais jamais lourd ou ennuyeux. L'écriture, élégante et légère, y est pour beaucoup.



En revanche, j'ai regretté un manque d'impartialité flagrant.

Le titre est d'ailleurs très révélateur : pour Grousset, les Croisades, c'est avant tout une grande épopée chrétienne, avec des batailles épiques et des héros dignes des plus illustres figures de l'Antiquité.

Or l'on sait que les croisés, qui étaient sans doute des guerriers valeureux, ont aussi fait couler beaucoup de sang, ce que Grousset ne dénonce pas suffisamment.

Ses critiques portent plus sur leurs erreurs politiques et stratégiques que sur la sauvagerie et le fanatisme aveugle dont ils ont pu parfois faire preuve.

Ce parti-pris donne aussi le sentiment que Grousset se désintéresse des Musulmans, masse presque anonyme qui ne sert que de faire-valoir aux exploits des chevaliers francs.

Seul Saladin sort du lot, mais comment en aurait-il pu être autrement ?



En conclusion, il s'agit d'un bel ouvrage, clair, complet et accessible pour qui veut s'initier aux Croisades, mais à lire en gardant un esprit critique, et à compléter par d'autres lectures sur le sujet.
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L'épopée des Croisades

Passionnant.

Ce livre, relativement court, mais dense et riche d'une foultitude de détails, se lit presque comme un roman.



Cette épopée des croisades est vraiment extraordinaire.



On se rend bien compte, que les croisades ne peuvent pas être résumées à une expédition des affreux chrétiens sanguinaires face à de gentils musulmans qui défendent leurs droits. Le jeu des alliances n'a cessé d'évoluer. Les horreurs perpétrées de part et d'autre et les gestes d'amitié, d'estime et de chevalerie également de part et d'autre.



Ecrit à la fin des années trente, ce livre, n'est certes pas à recommander pour les tenants du politiquement correct actuel. Mais aux amoureux de l'histoire, très certainement !
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L'épopée des Croisades

Toute l'histoire des croisades en condensé (c'est une synthèse d'une version en plusieurs tomes). A travers quelques siècles de conquêtes et d'échecs c'est pratiquement un roman d'aventure qui nous est livré. Franchement passionnant et bien écrit, aucune connaissance préalable nécessaire c'est destiné à tous. A lire si le sujet vous intéresse.
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L'épopée des Croisades

Un livre parfait, une écriture qui n'as pas vieilli malgré qu'il soit de 1935. Il n'est ni trop court et trop dans la vulgarisation. Ni trop long et érudit, le parfait dosage. Il donne aussi envie de se pencher plus en détail sur certains personnages (Saladin ou Saint Louis) Une référence dans le domaine.
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Histoire de la Chine : Des origines à la seco..

René Grousset à découvrir et à redécouvrir.

René Grousset, trop méconnu, est l’un de nos historiens orientalistes les plus talentueux du 20ème siècle.



Son histoire de la Chine parue en 1942 reste un des textes les importants en langue française sur le sujet. Comme à son habitude (relisez l’Histoire des Croisades et du Royaume Franc de Jérusalem !), Grousset nous apporte son érudition légendaire associée à une écriture épique de l’Histoire ! Un ouvrage indispensable dans toute bonne bibliothèque historique !



Aux éditions Payot (2004). Réédité régulièrement.
Lien : http://www.bir-hacheim.com/h..
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L'Empire des steppes

C'est bien sûr l'ouvrage de référence pour celui ou celle qui s'intéresse à l'histoire des "Tartares" comme on disait à l'époque.



Le livre nous brosse le portraits de grands personnages comme Attila, Gengis Khan, Tamerlan, etc.. En dehors de cela, René Grousset nous offre une fresque historique très complète allant de l'antiquité au XVIIIème siècle afin de mieux comprendre l'évolution de ces peuples des steppes.



Pour finir, le livre est complété de nombreuses cartes et illustrations.
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L'épopée des Croisades

Un classique en la matière, et à avoir pour se remémorer les bases. Certes, il ne traite pas tous les points en détail ni n'analyse en profondeur les différents éléments mais il reprend dans le fond comme dans la forme toute la période en couvrant évidemment les batailles et les moments clés des Croisades. A lire si on veut être au point, si on veut revenir sur un instant important,mais à développer si on recherche une connaissance plus encyclopédique de cette période.
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Histoire de la Chine : Des origines à la seco..

Une histoire de l'empire du milieu condensée et présentée de façon très vivante et facile à lire, même si elle "date" un peu dans la mesure où ce livre laisse parfois apparaître les préjugés militaristes et colonialistes de l'auteur (disparu en 1952).
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