Rina Yagami

Un shojo classique jouant avec les codes du genre. Néanmoins, les protagonistes cassent certains clichés trop évidents.
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Un baiser à la vanille est un shojo en six tomes qui débute dans un train. Tous les matins, Kokoa se précipite afin de ne pas manquer celui de 6h30, que prend aussi Banri, alias « le petit prince parfait ». Il est indifférent à toutes les filles qui se pâment devant lui, pourtant Kokoa pourrait bien réussir à éclaircir un peu son aura taciturne.



Cette critique va être courte, parce qu’il n’y a pas grand-chose à dire sur ce manga. C’est une romance classique, pas désagréable, mais qui cumule les habituels poncifs du genre, sans se démarquer d’une manière ou d’une autre.



Les personnages ne sont ni sympathiques ni détestables, seulement vus et revus : Kokoa la gentille naïve timide qui est la seule à capter l’attention du beau ténébreux hostile au reste du monde (Banri), l’autoproclamé meilleur ami de celui-ci (Kotetsu) qui essaye de les pousser l’un vers l’autre pour sortir le jeune homme de son marasme, l’escouade des copines enthousiastes et encourageantes mécétou… Seule Aki, avec sa maladie et les sentiments qu’elle inspire à Banri, sort un peu du lot.



Je n’ose espérer que la suite se révèle plus originale (si on pouvait juste éviter, pour une fois, le triangle amoureux, ce serait déjà pas mal), mais j’ai l’intégrale de ce manga dans ma PAL, donc je vais aller au bout. Non pas que ça m’effraye ou me rebute, l’histoire n’est pas mauvaise, elle est simplement… dispensable.



Si vous découvrez / avez lu peu de shojo, ça passera. Si vous cherchez quelque chose de novateur, en revanche, c’est vous qui feriez mieux de passer.
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Je suis super ravie d’avoir la suite, le premier tome avait été lut hyper rapidement. Et c’est aussi le cas pour ce deuxième tome. Je ne serais pas vraiment l’expliquer, mais j’avais ce besoin de tourner les pages afin de savoir, autant vous dire que par ce fait-là, je n’en ai pas eu assez, bien sûr !!! Nous avions quitté nos deux personnages principaux dans une déclaration de Yû, enfin pas que, mais c’est le plus important. Yû et Ririka sont cousins, histoire de rappeler le côté dérangeant que j’aime bien au final, parce que j’ai pu le dire pour le premier tome, si l’auteur ne nous en parle pas, on ne s’en souvient pas forcément. Surtout que ça à l’air tout à fait normale chez eux, apparemment … Enfin bref, cette révélation nous permet de découvrir un peu plus Yû et de moins le voir dans son personnage de garçon pleurnichard comme nous le décrit souvent Ririka. De ce fait, cela me donne vraiment l’impression d’avoir un docteur Jekyll et de M. Hyde dans le corps de notre Yû. D’ailleurs, je suis assez contente de le voir prendre sa place de mâle ou de garçon. On suit vraiment leur premier baiser et tout ce qui va avec, ce qui est particulièrement touchant et mignon à la fois. De ce fait, je trouve que le manga est un peu plus osé sur certaines choses en ce qui concerne l’amour, le couple… pour un shôjo. Normalement, nous avons bien plus de retenue que cela, mais ce n’est pas tellement choquant pour autant. Nous avons aussi l’arrivée d’un nouveau personnage, même si je pense que c’est un peu tôt encore, cela permet de ne pas avoir l’impression de s'ennuyer ou de faire du surplace. Ce personnage est un ami d’enfance de Ririka et bourreau de Yû. Qui va vite être mis dans la case rivale de Yû. Ce qui risque fort d’être intéressant, je sens. D’ailleurs, la fin va dans ce sens-là et me laisse vraiment trop sur ma faim !!!! Mais nous avons un petit bonus qui nous permet de faire connaissance avec ce nouveau personnage et de comprendre, comment il est entré dans la vie de Ririka.



En conclusion, je crois que je suis assez fan de cette sérié. Même si pour le moment nous n’avons certes pas grand-chose. J’aime bien pour le moment ce joli petit début de romance avec un inceste pas vraiment gênant pour le moment, même pour leur entourage, mais bon passons. Avec des dessins assez sympas, enfin j’aime beaucoup, les visages sont très expressifs et je pense que cela aide beaucoup à tomber sous le charme. On continue de découvrir un peu plus les personnages principaux et nous avons déjà l’arrivée d’un élément perturbateur, qui va apporter beaucoup de remue-ménage, je sens et je l’espère. Vivement la suite pour voir si cela se confirme.
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Je suis assez ravie de cette suite, même si la peine de Ririka m’a beaucoup plus touché que je l’aurai pensé, c’est à ces moments que l’on se rend compte que l’on s’est attaché aux personnages. J’aime vraiment de plus en plus ce manga, enfin l’histoire. L’auteur nous fait de plus en plus oublié ce côté dérangeant par rapport au lien de parenté de nos deux personnages. Dans ce tome, on entre plus dans la vie du couple avec la jalousie, la trahison, les disputes et les réconciliations, mais aussi le sexe et les premières expériences. C’est assez touchant même si Yû paraît par moments un peu comme s’il avait deux personnalités. Le Yû pleurnichard et le Yû dominateur. C’est assez perturbant, même si j’aime énormément les deux. L’auteur nous ajoute beaucoup d’humour au travers de ses dessins, ce qui m’a fait souvent rire alors que nous étions à un moment plutôt sérieux. Enfin bref, tout est assez mignon sans être trop cucul la praline. J’aime énormément cette couverture, elle est tout simplement sublime. Et c’est quand j’ai mis les 4 tomes à la suite que je me suis aperçue que l’auteur jouait sur les saisons, confirmation que j’ai eue durant ma lecture. Je trouve cela assez sympathique.



En conclusion, une suite assez dynamique et loin de mes Shôjo habituels, c’est peut-être pour cela que je l’aime bien. L’auteur n’a pas joué autant que je voulais avec la fille menaçante, mais elle a suffi à faire souffrir Ririka ce qui m’a énormément touché. Et comme souvent j’ai vraiment hâte de lire le prochain tome. Et vous savez quoi ? Bah, il n’y a pas de suite !!!! Bah non l’auteur nous a juste pondu 4 tomes. Du coup, je finis avec une note assez amère parce que j’en voulais vraiment plus et surtout, je m’attendais à en avoir plus. L’histoire en elle-même est très touchante et leur histoire assez mignonne, mais je m’attendais à un peu plus d’aventures. Je n’ai plus qu’à aller pleurer dans un coin.
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Dans ce tome, le graphisme est toujours aussi beau.

Le 2nd tome reprend tout de suite après la fin du 1er ce qui permet de garder la continuité.

Les sentiments de Banri évoluent même si ce dernier ne comprend pas ce qu'il ressent.

Se laisse lire facilement, sans prise de tête.

De beaux graphisme

une histoire somme toute de "déjà-vue" de la jeune demoiselle qui tombe amoureuse du beau garçon... La seule chose sui à mon sens diffère, c'est que le jeune homme est un sale c**. lol

Il semble imbu de lui même, il cache ses sentiments pourtant... pourtant il semblerait que la petite Kokoa ait réussi a ouvrir la boîte de Pandore qu il tenait fermé à clé dans son coeur (ex la veste, le remerciement...)

Mais un événement va précipiter les choses...

que va t il passer?

Un baiser à la vanille s’achève dans ce sixième tome, où Banri et Kokoa, après avoir surmonté tous les obstacles, filent le parfait amour… ou presque. En effet, ils ont du mal à se retrouver en tête à tête pour consumer leur flamme.



Je suppose que je devrais commencer cette chronique par un nouveau mea culpa. Ce n’est ni la Force ni Dumbledore qui ont prévenu Banri du stratagème de Yotsuya et lui ont permis de retrouver Kokoa à la gare, c’est tout simplement Kotetsu.



En revanche, Aki est bien aux oubliettes. On lui souhaite d’aller mieux (oui, je sais, c’est un shojo avec une happy end, on se doute qu’elle n’a pas passé l’arme à gauche hors-champ), parce que la mangaka, elle, a l’air de s’en fiche pas mal.



Je pensais qu’on la reverrait dans cet ultime tome… sauf que ça n’en est pas un. On a droit à la petite explication ci-dessus concernant l’intervention opportune de Banri, et un chapitre superflu pour nous indiquer qu’en l’espace de cinq ans, Kokoa et lui n’ont pas réussi à coucher ensemble, mais c’est tout.



Le reste, ce n’est qu’un aperçu des autres œuvres de l’auteur et/ou des histoires courtes sans aucun rapport avec Un baiser à la vanille. Autant considérer que celle de Kokoa et Banri s’est achevée dans le tome 5, et que ce sixième volume est aussi inutile que superficiel (quelqu’un a dit « pognon » ou c’est juste la voix du Capitaine Krabs qui résonne dans ma tête ?)



M’enfin, ce n’est pas comme si j’étais déçue, je n’attendais rien de ce manga depuis… Eh bien, ses premières pages. Cliché et sans intérêt jusqu’au bout, voilà comment je le décrirai.
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Banri a vendu son âme au diable, ou plutôt à la deuxième femme de son père, dans cet avant-dernier tome d’Un baiser à la vanille. Celle-ci le contraint à couper les ponts avec Kokoa, et la jeune fille n’arrive pas à se remettre de cette rupture, malgré les tentatives de Yotsuya pour la réconforter… et la conquérir.



Incroyable ! Enfin un tome à peu près potable, au point de me contraindre à commencer ma chronique par un mea culpa. En effet, le final que je critiquais vivement dans mon dernier avis se voit offrir une explication : non, Banri n’a pas jeté Kokoa comme une crotte, c’est sa belle-mère qui a tout manigancé à son insu.



Incapable de surmonter la mort de son mari, elle décide de briser la vie (et la relation) de ce fils qui ressemble tant à son père, et ne recule devant rien pour parvenir à ses fins, allant jusqu’à menacer de tuer la pauvre Kokoa.



Bon, c’est peut-être un chouïa trop extrême, mais ce postulat donne lieu à des chapitres assez dramatiques, où Banri et Kokoa souffrent de leur séparation et avancent le dos voûté sous le poids du désespoir. Pour une fois, le ton est maîtrisé, et l’ensemble, sans casser trois pattes à un canard, est convenable.



Enfin, jusqu’à ce que les travers de l’auteur reprennent le dessus, et que Banri décide de déchirer son contrat et de s’affranchir du joug de belle-maman pour retourner auprès de Kokoa. À se demander pourquoi il ne l’a pas fait plus tôt. Par rapport à la prise en charge de la maladie d’Aki ? C’pas comme s’il en était refait mention passée l’introduction…



Même à son plus haut niveau, ce manga reste très médiocre. Plus supportable, mais très médiocre. Heureusement, plus qu’un tome à lire avant de pouvoir l’oublier !
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Kokoa a avoué ses sentiments à Banri dans ce deuxième tome d’Un baiser à la vanille, mais consciente qu’elle est sur le point de se faire repousser, elle rétropédale en affirmant l’apprécier uniquement en tant qu’ami. Le jeune homme n’a pas le temps de réagir : il reçoit un appel concernant l’état de santé de sa belle-mère et se précipite à l’hôpital.



Le début était prometteur. Malgré les signes, je n’avais pas vu venir « ce » triangle amoureux-là, et j’ai songé que, contre toute attente, ce n’était pas si mal, qu’il offrait peut-être au manga un moyen de tirer un peu son épingle du jeu.



Et puis c’est parti en quenouille… La fausse relation, déjà, ce n’est pas un thème que j’apprécie, mais quand en plus les sept plus ou moins beaux gosses ont débarqué (oui, sept d’un coup, sur lesquels six ne servent strictement à rien), j’ai compris que ce n’était vraiment pas la peine de me bercer d’illusions.



Et bien sûr, le septième, c’est le rival de Banri, qui se met en tête de lui piquer sa copine, « parce que ». Enfin non, il a une raison, mais tellement stupide et superficielle qu’on en retiendra le seul vrai motif : c’est un shojo, et dans les shojos, ce « rebondissement » est presque incontournable.



Le point positif, c’est que Kokoa dévoile enfin une once de caractère, elle se montre moins passive, moins docile, mais c’est trop léger pour remonter le niveau de ce tome. Ses amies sont presque inexistantes, et Kotetsu… C’est sans doute le seul personnage que j’apprécie sincèrement, nonobstant quoi il est également négligeable.



Quant au passé de Banri… Sortez les violons et les mouchoirs, je crois que la mangaka veut nous émouvoir, mais ça sent tellement le pathos forcé que ça m’a laissée de marbre.



J’écrivais dans ma précédente chronique que poursuivre cette œuvre ne serait pas un pensum, qu’elle n’était ni bonne ni mauvaise, juste vue et revue, mais je me fourvoyais. En l’espace de quelques chapitres, Un baiser à la vanille a enchaîné tout ce qui tend à m’agacer dans un shojo. Comme le dirait si bien Guenièvre, on n’est pas sortis du sable !
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Voilà le dernier tome. Banri a fait son choix. Maintenant ils n'ont plus qu à vivre leur vie... mais est ce si facile... il y à toujours quelqu'un pour les en empêcher... ce voyage réglera t il le soucis?



Ce dernier tome est aussi doux et sucré qu'un baiser a la vanille ! On arrive à la conclusion et ça laisse une petit goût doux amer. Personnage attachant qui méritent cette lecture.

Alors que Kokoa vit le jour le plus beau de sa vie... tout est bouleversé. Il vz falloir apprendre à vivre sans l être aimé... et lui alors parviendra t il a refermer la porte de son cœurs?



Ce tome est tout aussi passionnant mais il a peut être un petit quelque chose en moins. Je n'arrive pas expliquer ce sentiment.

Yotsuya a intégré l'école de Kokoa et Banri mais il a du oublié contre quel adversaire il se battait.

Banri décidé de prendre les choses en main... mais tout ne se passe pas comme prévu.



Les sentiments évoluent de plus en plus. Kokoa et Banri ont du mal à assumer leur désir. Cette nuit a Akone va t elle changé les choses?



Je n'ai rien à dire de plus que les tomes précédents. Cest un régale !

On continue les aventures de Kokoa et Banri. Ils sont toujours au stage de judo et le feu d'artifice approche. Dans l ombre Aki tente de faire avancer les choses...



Toujours d'aussi beau graphisme,

l'évolution des sentiments est un chemin semé d'embûches pour Banri qui ne se comprend pas. J'ai beaucoup aimé voir l'avancée de Yotsuya... même si elle est énorme comme un paquebot... mais Kokoa reste somme toute toute innocente.

Pas convaincue...



Oui, cette romance, ces sentiments, c'est mignon, très mignon même. Mais hélas, le côté vu et revu, fait que cela ne prends pas sur moi.



Pourtant l'auteur se donne du mal, et clairement la fin du tome impose l’addiction et l'envie de lire la suite, mais la mode frère/soeur me lasse et hélas je ne poursuivrais pas.



Il y a pourtant un potentiel, alors si ce manga vous tente, je dirais pourquoi pas !



Bonne lecture à tous.

l n’y a rien à redire à du classique quand c’est bien fait. Point trop de niaiseries, un développement logique des relations entre les personnages (...) ce premier tome est une réussite dans son genre.
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Dans ce manga, l’histoire se met doucement en place se concentrant sur la romance entre les deux personnages principaux. L’auteur change cependant brusquement de direction en faisant des deux héros un couple et en relançant l’intrigue par le biais de deux nouveaux personnages qui vont consécutivement se mettre en travers de ce couple et chercher à les séparer.



Il est bien dommage que l’auteur n’ait pas gardé la trame de départ ou tenter de rebondir par la suite avec une intrigue plus originale. La double personnalité de Yû et ses nombreuses tentatives pour conquérir Ririka donnaient l’attrait principal de cette histoire. Une fois cette étape passée, la pâle tentative de l’auteur pour redonner de l’intérêt à l’histoire n’aura pour effet que de rebuter le lecteur à poursuivre sa lecteur. Les clichés s’enchaînent et l’histoire finit brutalement sur une fin des plus classiques.



Un manga qui attirera donc ceux qui aiment la romance mais recherchent une histoire qui sort de l’ordinaire mais qui en décevra peut-être certains à partir du troisième tome.
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Une suite assez mouvementée par plusieurs nouveaux personnages qui viennent perturber notre petit couple. Nous avons déjà une première révélation qui va exposer notre couple aux yeux des autres, donc Yû et Ririka ne peuvent plus garder leur couple secret. Mais qui va aussi montre Yû sous un autre jour aux autres, comme quoi la jalousie et le marquage de territoire n’apportent pas toujours que du positif. Mais il y a surtout une personne, je sens qu’elle va apporter beaucoup de problèmes. Nous la découvrons au moment où Ririka décide de connaître un peu plus Yû et le fait par la découverte de ce qu’il aime faire. Elle va s’apercevoir qu’il y a d’autres personnes qui le connaissent bien, mais il y a surtout une autre fille. Qui va troubler Ririka et mettre le doute dans sa tête, même si Yû va essayer d’y mettre fin, je sens qu’on n’en a pas fini avec ce nouveau personnage. Qui ponctue bien la fin d’ailleurs, vu que ses paroles sont assez intrigantes et ne présagent rien de bon.





En conclusion, j’adore de plus en plus cette série, moi qui pensais qu’elle serait toute mimi et toute simple, mais l’auteur a su apporter des personnages qui révèlent un côté assez méchant ou de mauvais augure que j’aime beaucoup. J’ai vraiment hâte de lire la suite des aventures en espérant de ne pas me tromper sur la suite que je m’imagine. Et j’avoue que de ce fait, cela me terrorise un peu, j’ai peur que l’auteur ne joue pas sur cette fameuse fille autant que je le voudrais. Mais on verra …
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J’avais vraiment hâte de découvrir ce manga et en même temps assez peureuse de le lire. Au vu du résumer nous savons déjà qu’il est d’histoire d’inceste entre une cousine et un cousin. Je pensais vraiment que l’auteur jouerait bien plus sur ce côté dérangeant, mais cela n’a pas été le cas. Après je ne pense pas que cela me gêne beaucoup, même si je sais que je bloque forcément un peu quand l’auteur nous le rappel au cours de notre lecture. Du coup, on finit par l’oublier et par ne plus y faire attention. J’aime beaucoup les personnes et je trouve qu’ils évoluent énormément pour un premier tome, enfin ce n’est pas tellement de l’évolution, c’est plus du changement. En personnages principaux, nous avons Ririka qui est fille assez franche et avec un peu de caractère, enfin ce n’est pas forcément le bon mot, mais elle ne se laisse pas faire. Et de l’autre côté nous avons Yû qui passe pour un garçon pleurnichard et peureux avec des grosses tendances timides. Ririka a toujours pris sa défense et le couve comme une mère poule. Mais on va très vite voir que ce jeune homme qui montre une facette timide et pleurnicharde ne l’est pas du tout. Il est même tout le contraire, ce qui va beaucoup bouleverser et dérouter notre Ririka. Mais Yû a décidé d’assumer ses sentiments et de les avouer. Sur ce coup, j’avoue que j’aime beaucoup ce changement de personnalité. Après j’aime beaucoup les dessins, les personnages sont vraiment expressifs et adorables. Ce premier tome nous permet de poser une base assez sympa vu que l’on avance dans notre histoire, mais en même temps il nous permet de découvrir le passé de nos deux personnages principaux et de voir le lien particulier qui les relie.



En conclusion, il se lit vraiment très vite et il est vraiment sympa. Ce n’est pas loin d’un coup de cœur pour ma part. Les dessins sont vraiment mignons, ce qui fait que l’on s’attache très vite aux personnages. L’histoire peut paraître simplette, vu que le fond sera sûrement une romance, mais j’ai l’impression qu’il sera bien moins cucul la praline que les shôjos habituels qui me passent entre mes mains, après je demande à voir comment cela va évoluer. J’ai donc vraiment hâte d’avoir ce deuxième tome en main pour retrouver Riri et Yû.
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Yotsuya ne recule devant rien pour voler la petite amie de Banri dans ce quatrième tome d’Un baiser à la vanille, allant jusqu’à faire du chantage à celle-ci. Son odieux stratagème se retourne cependant contre lui quand il amène les deux tourtereaux à se retrouver seuls… pour toute la nuit.



Il aurait pu y avoir du mieux. Aurait. Parce qu’une fois de plus, la mangaka vise à côté. Le premier chapitre expédie en deux temps trois mouvements l’intrigue du triangle amoureux, avec un Banri qui surgit pile au bon moment pour embarquer (littéralement) Kokoa. Quant à savoir comment il a deviné ce que Yotsuya mijotait, quand et à quelle heure, je vous renvoie à ma chronique précédente. On va dire qu’il a dû sentir une perturbation dans la Force ou que Dumbledore lui a envoyé un hibou…



On passe ensuite très vite à autre chose, plus exactement à LA chose. Et… Mouais, je ne m’attendais pas à des scènes aussi osées (enfin, ça reste soft, mais moins que dans la plupart des shojos auxquels je suis habituée), portées par une Kokoa qui a confondu champagne et jus de fruits. J’ai déjà écrit que c’était une gourdasse ? Vu qu’elle l’est deux fois plutôt qu’une, autant le répéter.



En découle une plus ou moins course poursuite avec le frère de la jeune fille (oui, elle a un frère, je l’avais complètement oublié, si tant est qu’il ait été mentionné), et un Banri soucieux de prendre ses « responsabilités » (d’un autre temps) après la nuit qu’ils ont passée ensemble.



Au regard de tout ça, vous devez vous demander en quoi ça aurait pu être mieux, alors que le scénario que je vous dépeins là est presque plus calamiteux que jamais. Eh bien, il y avait tout de même des idées intéressantes, et Banri arrivait par moments à être sincèrement touchant dans son amour pour Kokoa et ses difficultés à l’exprimer.



Et surtout, l’avant-dernier rebondissement promettait. Ça, c’était pertinent, plus poussé et judicieux qu’un énième triangle sans suspense où l’on sait d’entrée avec qui la protagoniste va finir.



Alors qu’est-ce qu’on fait, à la suite de fiançailles précipitées ? On se pose et on discute de nos problèmes ? On se fait confiance ? On communique ? On se soutient mutuellement ? Oh, j’ai mieux ! Je te largue comme une merde par SMS le jour de la réception sans t’expliquer le pourquoi du comment, qu’est-ce que tu en penses ?



Enfin bon, ce n’est pas comme si Kokoa était la SEULE personne à qui Banri s’était confié sur son passé, ses traumatismes d’enfance et ses sentiments actuels (notamment à l’égard d’Aki), ce qui la rendrait par conséquent susceptible d’entendre, de comprendre et de respecter sa décision. Naaaan, fallait rajouter du drama. Du drama facile et stupide, doublé de cruauté gratuite à l’égard de cette pauvre Kokoa.



Décidément, tout ce que je déteste dans les shojos, ce manga l’a fait, et chaque fois que je pense qu’il ne peut pas tomber plus bas, il creuse encore. J’ai presque une hâte masochiste de découvrir jusqu’à quel point il va réussir à s’enfoncer. Presque…
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Le stage de karaté se poursuit dans ce troisième tome d’Un baiser à la vanille. Yotsuya a jeté son dévolu sur Kokoa, qui n’est pas vraiment consciente des sentiments qu’elle lui inspire. En revanche, elle s’aperçoit que cette situation agace Banri, et se désole de ne pas réussir à se rapprocher de lui.



C’est toujours aussi consternant. L’auteur essaye de faire la part belle à ses sept Apollon, mais ils sont trop nombreux, trop peu développés, et s’il y a des lecteurs pour s’intéresser à eux, eh bien je vous tire mon chapeau ! Moi, tout ce que j’en retiendrai, c’est que j’ai même réussi à perdre Kotetsu dans le lot.



Les protagonistes forment de leur côté le pire triangle amoureux possible : le taciturne jaloux mais pas capable d’exprimer clairement ce qu’il ressent (Banri), la gourdasse qui ne voit pas plus loin que le bout de son nez (Kokoa), et le type qui, pour la séduire, n’est pas loin de la violer à moitié (Yotsuya). Du grand romantisme, tout ça…



Quant à l’intrigue, il n’y en a pas. Pas vraiment. C’est juste une succession de rebondissements éculés plus ou moins liés entre eux (plus ou moins, parce que la mangaka se contente de caser ses personnages là où elle a envie de les caser, sans jamais se casser la tête).



J’écrivais dans ma première critique que vous pouviez lire ce shojo si vous n’en aviez pas déjà dévoré des dizaines, mais permettez-moi de rétropédaler et de vous recommander vivement de l’éviter s’il n’est pas trop tard !
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