AccueilMes livresAjouter des livres
Découvrir
LivresAuteursLecteursCritiquesCitationsListesQuizGroupesQuestionsPrix BabelioRencontresLe Carnet
Citations de Robert James Waller (129)


Plus tard, il lui dirait que, de manière indéfinissable, la regarder retirer ses bottes ce jour-là avait été un des moments les plus sensuels de sa vie. Pourquoi ? Cela n'avait pas d'importance. Ce n'était pas comme ça qu'il approchait la vie. "L'analyse détruit l'unité. Certaines choses, les choses magiques, ont besoin d'être vues comme un tout. Si on les fragmente, elles disparaissent."
C'était ce qu'il avait dit.
Commenter  J’apprécie          00
Tu avais raison. C'est ce que tu sens, tu sens le voyage. Tu es dans cette fissure où l'illusion rencontre la réalité, là-bas sur la route et la route c'est toi (p130)
Commenter  J’apprécie          40
Les gens du comté de Madison aimaient à dire, pour lutter contre leur propre sentiment d'infériorité culturelle : "C'est un bon endroit pour élever des enfants." Et elle avait toujours envie de leur répondre : "Mais est-ce un bon endroit pour élever des adultes ?"(p74)
Commenter  J’apprécie          20
Et me voilà tournant autour de cette autre personne à l'intérieur de moi. Bien que je croie avoir été plus juste en disant, le jour où nous nous sommes séparés, que nous avions créé tous les deux une troisième personne, laquelle désormais m'accompagne (p34)
Commenter  J’apprécie          10
Que dire d'un livre dont l'adaptation cinématographique par et avec l'excellent Clint Eastwood vous renverse d'émotion ? Qui parmi ceux qui ont vu ce film a oublié la scène où la pluie s'abattant sur la ville, l'héroïne est soumise au si douloureux choix de laisser filer, ou pas, cette camionnette...
Si le film est inoubliable, on ne saura en dire autant du livre. On pourra cependant ranger ce dernier au rang des très belles histoires, jamais mièvre ni trop sucré (et pourtant le sujet est propice à celà). Enfin, il a su inspirer un tel film et nous fait revivre à sa lecture le transport amoureux de Francesca. En celà il est un très bon livre.
Commenter  J’apprécie          45
Elle aimait tellement être contre lui. Elle aurait voulu que ce moment ne s'arrête jamais. Ecouter des vieilles chansons, danser, sentir son corps contre le sien, encore et toujours. Elle était redevenue une femme. Il y avait un espace où danser à nouveau. Lentement, inexorablement, elle rentrait chez elle, dans un endroit où elle n'était jamais allée.
Commenter  J’apprécie          10
Il avança vers elle et lui tendit un bouquet de fleurs sauvage, des marguerites jaunes. « Merci. » pour la visite guidée. » Il sourit doucement. « Je reviendrai à l’aube demain pour faire mes photos. » A nouveau, elle sentit quelque chose monter en elle. Des fleurs ; Personne ne lui offrait de fleurs, même pour les grandes occasions.
Commenter  J’apprécie          20
« Ses yeux la regardaient bien en face, elle sentit quelque chose monter en elle, Les yeux, la voix, le visage, les cheveux argentés, la manière naturelle dont bougeait son corps, une manière troublante, attirante qui éveille une mémoire ancienne. Une mémoire qui vous envahit comme un chuchotement à l’instant précis où le sommeil vient, quand les barrières sont tombées. Une manière qui combine autrement les molécules entre mâle et femelle, quelle qu’en soit l’espèce. »
Commenter  J’apprécie          40
Dans les contrées indifférentes de vos cœurs, vous trouverez peut-être même, comme Francesca Johnson, un espace où danser à nouveau.
Commenter  J’apprécie          00
La routine est une chose, la peur du changement en est une autre.
Commenter  J’apprécie          160
Les matins brumeux ou les après-midi quand le soleil se reflète sur l'eau du nord-ouest, j'essaie d'imaginer où tu en es dans ta vie, ou ce que tu es en train de faire pendant que je pense à toi.
Commenter  J’apprécie          00
Voilà pourquoi je suis sur cette planète, maintenant, Francesca. Pas pour voyager ou faire des photos, mais pour t'aimer. Je le sais aujourd'hui. Je suis tombé du cercle d'un lieu très haut, très grand, il y a longtemps, des années avant de vivre cette vie. Et pendant toutes ces années, je tombais vers toi.
Commenter  J’apprécie          10
J'ai une chose à dire, une chose seulement; je ne l'ai jamais dite à personne, et je te demande de t'en souvenir: dans un univers d'ambiguïtés, ce genre de certitude ne vous est donné qu'une fois, et jamais plus, quel que soit le nombre de vies qu'on traverse.
Commenter  J’apprécie          00
Aveuglée par les larmes, la pluie et le brouillard, elle pouvait à peine apercevoir l'inscription d'un rouge passé sur la portière: "Kincaid photographe - Bellingham - Washington."

Il avait descendu sa vitre pour avoir une meilleure visibilité en prenant son virage. Il atteignit le tournant et elle pouvait voir ses cheveux voleter tandis qu'il commençait à accélérer le long le la 92, roulant vers l'ouest, remontant sa vitre en conduisant.

"Oh, mon Dieu - Dieu tout-puissant ... non !"
Commenter  J’apprécie          00
Si vous souhaitez un autre dîner à l'heure où " les phalènes s' envolent ", passez ce soir après avoir terminé votre travail, quand vous voulez.
Commenter  J’apprécie          20
Plus tard, il lui dirait que, de manière indéfinissable, la regarder retirer ses bottes ce jour-là avait été un des moments les plus sensuels de sa vie. Pourquoi ? Cela n'avait pas d'importance. Ce n'était pas comme ça qu'il approchait la vie. "L'analyse détruit l'unité. Certaines choses, les choses magiques, ont besoin d'être vues comme un tout. Si on les fragmente, elles disparaissent.
Commenter  J’apprécie          00
Elle aimait tellement être contre lui. Elle aurait voulu que ce moment ne s' arrête jamais. Écouter des vielles chansons, danser, sentir son corps contre le sien, encore et toujours. Elle était redevenue une femme. Il y avait un espace où danser à nouveau. Lentement, inexorablement, elle rentrait chez elle, dans un endroit où elle n'était jamais allée.
Commenter  J’apprécie          00
Comme deux oiseaux solitaires survolent les grandes prairies portés par les voies célestes, toutes ces années et toutes ces vies nous sommes allés l'un vers l'autre.
Commenter  J’apprécie          00
Je ne sais pas si tu es en moi ou si je suis en toi, ou si tu m'appartiens. Une chose est sûre, je ne veux pas te posséder. Je pense que nous sommes tous les deux à l'intérieur d'un autre être que nous avons créé et qui s'appelle "nous".
p.109
Commenter  J’apprécie          60
Je ne voulais pas être possédée, je n'en avais pas besoin et je sais que tu n'en avais pas l'intention, mais c'est arrivé. Je ne suis plus assise sur l'herbe à côté de toi. Je suis en toi, prisonnière et heureuse de l'être
P.109
Commenter  J’apprécie          20



Acheter les livres de cet auteur sur
Fnac
Amazon
Decitre
Cultura
Rakuten

Lecteurs de Robert James Waller (1268)Voir plus

Quiz Voir plus

Jouons avec David Cronenberg

Dead Zone est un film fantastique de David Cronenberg sorti en 1983, avec Christopher Walken. Il s'agit de l'adaptation du roman du même nom de :

Graham Masterton
Stephen King
Anne Rice

8 questions
25 lecteurs ont répondu
Thèmes : cinema , cinéastes , metteur en scène , realisateur , acteur , adapté au cinéma , adaptation , hollywood , littérature , fantastique , horreurCréer un quiz sur cet auteur

{* *}