AccueilMes livresAjouter des livres
Découvrir
LivresAuteursLecteursCritiquesCitationsListesQuizGroupesQuestionsPrix BabelioRencontresLe Carnet

3.52/5 (sur 2230 notes)

Nationalité : Italie
Né(e) à : Reggio Calabria , le 27/08/1978
Biographie :

Rosella Postorino est une auteure italienne.

Elle reçoit le prix Campiello, le prix Pozzale Luigi Russo, le prix Rapallo et le prix Vigevano Lucio Mastronardi en 2018 pour son roman "La goûteuse d'Hitler". Il s'agit de son seul texte traduit en français à l'heure actuelle.

Elle vit à Rome.

Ajouter des informations
Bibliographie de Rosella Postorino   (3)Voir plus

étiquettes
Videos et interviews (19) Voir plusAjouter une vidéo
Vidéo de

Entretien mené par Camille Thomine Dans le cadre du festival Italissimo 2024 Après le succès de la goûteuse d'Hitler, dans son nouveau roman Et moi, je me contentais de t'aimer, finaliste du Prix Strega en 2023, Rosella Postorino propose une histoire d'amour et de guerre à la fois épique et intime. Sarajevo, printemps 1992, Omar, âgé de 10 ans, fuit les atrocités du conflit en compagnie de Nadia et de son frère, ils prennent un bus humanitaire en direction de l'Italie et d'une famille d'accueil. Entre épreuves et promesses, l'amour originel survivra-t-il à l'exil et à la guerre ? Dans ce roman d'une incroyable puissance romanesque, Rosella Postorino offre une magnifique évocation de l'innocence et de la perte au coeur d'une période tumultueuse de l'histoire contemporaine. À lire – Rosella Postorino, Et moi, je me contentais de t'aimer, trad. de l'italien par Romane Lafore, Albin Michel, 2023. Lumière par Hannah Droulin Son par Alain Garceau Direction technique par Guillaume Parra Captation par Marilyn Mugot

+ Lire la suite

Citations et extraits (303) Voir plus Ajouter une citation
De toute façon il (Hitler) dit aussi qu'il ne supporte pas la cruauté des abattoirs.

(le cuisinier d'Hitler expliquant pourquoi il ne mangeait pas de viande).
Commenter  J’apprécie          569
Je triche un peu, j'utilise les citations juste pour envoyer un message à tous mes ami(e)s. Voilà, je suis fatiguée, je crois que je n'ai plus rien à apporter à ce site, et donc hormis la critique de "Krummavisur" que j'ai reçu en MC privilégiée, je vais me retirer de Babelio. C'était une super expérience qui a duré près de 8 ans, je ne vous oublierai pas.
Bonnes lectures à tou(te)s !
Commenter  J’apprécie          4054
Hitler proscrivait la viande et, à la radio, incitait ses compatriotes à manger du pot-au-feu de légumes au moins une fois par semaine. Il devait penser qu'il était facile de trouver des légumes en ville pendant la guerre. Ou bien, ça ne le regardait pas : un Allemand ne meurt pas de faim ou, s'il meurt de faim, c'est un mauvais Allemand.
Commenter  J’apprécie          330
"Quand vous perdez une personne, la douleur est pour vous, qui ne la verrez plus, n'entendrez plus sa voix, qui sans elle, pensez-vous, ne résisterez pas. La douleur est égoïste : c'est ce qui me mettait en colère."
Commenter  J’apprécie          330
Rosella Postorino
Nous étions amants. Il est naïf de chercher une raison pour laquelle on devient amants.
Commenter  J’apprécie          310
Tout travail du reste implique des compromis. Tout travail est un esclavage : besoin d'avoir un rôle dans le monde, d'être guidé dans une direction précise pour se soustraire au risque de déraillement, à la marginalité.
Commenter  J’apprécie          280
De son côté, le Führer aussi luttait contre les résidus de sa digestion. C’était un souci qui rongeait Krümel : le régime alimentaire qu’il avait défini pour son chef était des plus sains, et pourtant ce dernier marchait au Mutaflor. La prescription venait du professeur Morell, mais ces derniers temps, même lui, le médecin personnel d’Hitler, était pris de court. Il tergiversait en lui donnait des pilules contre les flatulences : son patient en absorbait jusqu’à seize par jour. Hitler avait imaginé un système élaboré pour se protéger d’un empoisonnement et en attendant il s’intoxiquait.
Commenter  J’apprécie          270
Nel buio le parole erano innocenti, ma non inoffensive.
Dans le noir les paroles étaient innocentes mais pas inoffensives.
Commenter  J’apprécie          270
«  La pitié universelle n’existe pas, seule existe la compassion pour le destin d’un être humain. Le vieux rabbin qui prie les mains sur la poitrine parce qu’il a compris qu’il va mourir.
La Juive si belle qui va être défigurée .
La Russe qui a entouré ton bassin de ses jambes et t’a donné un court instant la sensation d’être protégé. »
Commenter  J’apprécie          230
"On peut distinguer les rires : le gros rire d'Augustine, les soubresauts d'hilarité de Leni, la trompette nasale d'Elfriede, le rire en cascade d'Ulla. Mais pas les larmes, quand nous pleurons nous sommes tous égaux, c'est le même son pour tout le monde."
Commenter  J’apprécie          220

Acheter les livres de cet auteur sur
Fnac
Amazon
Decitre
Cultura
Rakuten

Lecteurs de Rosella Postorino (3256)Voir plus

Quiz Voir plus

La gouteuse d'hitler.

Comment se nomme la personnage principale (goûteuse) ?

Madeleine
Rosa
Lili

7 questions
24 lecteurs ont répondu
Thème : La goûteuse d'Hitler de Rosella PostorinoCréer un quiz sur cet auteur
¤¤

{* *} .._..