S.D. Perry

Ce quatrième tome de Miss Perry, constitue un inédit à la série mettant en lumière David Trapp et son équipe (y compris Léon S Kennedy et Claire Redfield) infiltrant une succursale de la société White Umbrella dans l'Utah. Très franchement, on s'ennuie vite. D'une part le scénario est peu orignal et manque singulièrement de rythme, d'autre part, les vilaines créature sont d'avantage issues de la SF que du bestiaire (pourtant fourni) de Biohazard. Dommage car les trois premiers volumes m'avaient vraiment passionné. Avec l'espoir de pouvoir lire les derniers tome faisant référence à Resident Evil Code Veronica, Resident Evil Nemesis et Resident Evil 0.

Ce troisième tome est dans la même veine que les deux premiers. Peu attrayant pour ceux qui ne connaissent pas la licence de jeux vidéos, ce volet sera par contre un bonheur pour les fans des versions avec manettes (comme moi).

Dans cet opus, on a la joie de faire connaissance avec Leon, Ada et Claire et aussi les plus beaux monstres qu'on peut ensuite croiser.

Un livre a réserver uniquement pour les amateurs de la première heure.
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Tant j'étais sceptique pour le premier, tant cette novélisation est vraiment sympathique. L'auteur a su avec brio retracer les temps forts du mémorable Resident Evil 2. J'ai replongé avec délice dans cet opus auquel je n'avais pas joué depuis des années. Quel bonheur de retrouver Leon, Claire et Sherry, devenus des personnages emblématique de cette série.

Un inédit à la série videoludique fort intéressant basé sur le personnage de Rebecca. Une agréable surprise... Ce scénario pourrait donner lieu à un nouvel opus dans la série de Capcom... (mention spéciale au nouveau bestiaire imaginé par l'auteur)

Si vous n'êtes pas fan de cette merveille vidéoludique qu'est Biohazard, passez votre chemin ! Pour les autres, tout y est : les zombies, les hunters, le serpent géant, Black Tiger, Neptune ou encore Tyrant... sans oublier les nombreuses énigmes tordues du manoir Spenser. L'auteur a même poussé le bouchon en évoquant l'incontournable économie de munitions qui a taraudé bien des joueurs. Revêtant d'avantage les traits d'un guide romancé du jeu que d'une oeuvre horrifique, ce livre n'en reste pas moins sympathique et intéressant ! En route pour le tome 2 !

Il est vrai que ce roman s'adresse essentiellement aux fans du jeu vidéo. Car soyons honnête, si vous ne connaissez pas l'univers, ce livre n'est pas pour vous.



Fan de Resident Evil depuis la première heure, j'ai eu un très grand plaisir de retrouver mes personnages préférés dans ce roman. Tout au long de ma lecture, je pouvais voir le jeu vidéo ce dérouler sous mes yeux. Et c'est tout ce que je voulais. Que se roman puisse me re-transporter dans l'univers de Resident. C'est un pari gagné et j'en suis plus que ravie.



Donc pour les fans je dis "OUI", pour les autres : allez-y avec indulgence, mais ne vous attendez pas à un chef d'oeuvre.
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Le fait que ce soit un inédit à la saga du jeu vidéo ne me dérange pas car je ne connais que le premier volet.

L'histoire simpliste est agréable. Nous nous retrouvons dans l'Utah dans un complexe souterrain où les membres des S.T.A.R.S doivent récupérer un livre contenant des codes utilisés pour programmer les processeurs centraux de la White Umbrella corporation et devront affronter des créatures féroces.

Je retrouve avec plaisir le personnage de Leon Kennedy, héros apparu dans le 3ème tome.

Je suis juste un peu déçue car les fameux zombies, ces sacrés mort-vivant ou un individu infecté d'un virus nuisible à certaines parties du cerveau, manquent cruellement à cette histoire.

Je n'ai joué qu'au premier volé du célèbre jeu vidéo Resident evil mais je me suis attachée aux personnages au point de me lancer dans cette saga réédité par Milady car les anciens livres (fleuve noir) devenaient introuvables. C'est avec grand plaisir que j'ai lu ce tome qui retrace bien l'histoire du jeu. J'ai d'ailleurs continuer la saga avec ardeur et actuellement j'en suis au 4ème tome. A ce jour j'attend le 5 avec impatience.

Ce quatrième tome issu de la licence culte de Capcom a de quoi décontenancer. Tout d'abord, la mise en place de l'intrigue, si elle n'est pas déplaisante à suivre, est tout de même beaucoup trop longue. Et le choix de ne pas utiliser la figure principale de Resident Evil, les fameux zombies, fera certainement grincer des dents. Et pourtant, le deuxième moitié du livre réussi à nous emporter dans le récit, grâce à une situation de l'action très maline, et un antagoniste réussi. Un roman facile à lire, parfait pour nous accompagner pendant un trajet.
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Je suis une très grande fan de l’univers « Resident Evil » depuis les premières sorties des jeux vidéos qui remonte donc en 1996 sur Playstation One. Et oui, j’étais à peine âgée de 9 ans !

J’avais découvert les romans en 2002 qui étaient publiés à l’époque chez « Fleuve noire ». C’est donc avec un immense plaisir de pouvoir lire de nouveau ces romans qui me rappellent mon adolescence.



Le regard que j’ai aujourd’hui sur ce roman reste indubitablement le même, cela prouve que je n’ai pas vraiment changé ! Je reste cette fan inconditionnelle du jeu vidéo et l’auteure a très bien su retranscrire l’environnement, la tension du premier opus.

Elle a évidemment pu travailler un peu plus la personnalité de nos héros, bien que la personnalité d’Albert Wesker me déçoit beaucoup dans le roman. Dans le jeu, c’est un homme totalement dépourvu d’émotions. La seule qualité qu’on retrouve est son intelligence et la manipulation.

On découvre également de nombreux clins d’œil au jeu vidéo, comme avec la fameuse machine à écrire dans le hall du manoir Spencer qui nous permettait de sauvegarder notre partie. L’environnement et les énigmes sont également expliqués par un architecte fou. En même temps il vaut mieux, car que dirons-nous d’un plafond qui vient vous écraser ? Ou encore des clés et des blasons cachés dans des coins inimaginables ?

Bref tout le long de l’histoire, j’avais l’impression de me retrouver dans le jeu avec mon petit personnage. Bien que par moment, il manque des éléments comme les fameuses abeilles…

La plupart des monstres sont évidemment présents : Zombies, Chiens, les Hunter, les Chimères, les serpents, le Yawn, les corbeaux, la fameuse plante et évidemment Tyran !

Bien que le combat de fin, où nous avons l’impression que ça dure une éternité est vite expédiée dans le roman.



Niveau écriture, l’auteure reste simple dans le choix des mots, un peu trop par moment. Mais il se lit très vite, car évidemment l’histoire est bourrée d’action et ne laisse aucun moment de répit. Par contre, un reproche que je pourrais faire, c’est que la partie du manoir est beaucoup trop longue, alors que dans le jeu, nous apprenons beaucoup de choses en fouillant le laboratoire d’Umbrella. Hors ici dans le roman, ce sont juste de vagues informations. Dommage.



En conclusion, c’est un bon roman qui résume très bien le jeu vidéo avec quelques petits clins d’œil à l’histoire originale. Évidemment, le jeu vidéo reste meilleur mais ce roman est très agréable à lire et fera revivre toutes les émotions aux fans qui ont tenu leur manette pour jouer à ce jeu.




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Je suis vraiment partagée en ce qui concerne ce livre. Si le but était de me redonner envie de jouer c'est fait. Là dessus rien à redire. Le problème est que j'ai vraiment eu l'impression de lire le jeu. Vous me direz : c'est normal ! C'est tirez du jeu. Et je suis d'accord mais tout de même un minimum d'effort et d'effet littéraire serait appréciable. Je me suis pas ennuyée mais presque. Lorsque je posais le livre je ne le reprenais pas avec plaisir. Cependant je ne connaissais pas du tout l'histoire donc j'étais contente de la connaitre sans jouer. Mais j'aurai apprécié que l'auteur fasse l'effort de nous donner un livre un peu moins "jeu vidéo". Le côté d'aller chercher le blason de l'aigle qui est dans cette salle dont il faut aller chercher la clé mais pour cette clé il faut avoir une autre clé et battre tel monstre....Si vous avez vu ou lu Les 12 travaux d'Astérix (voir vidéo) vous aurez compris ce que je veux dire.

Quand on joue au jeu on n'a pas cette sensation de tourner en rond pour rien. Enfin personnellement je ne l'ai pas. Mais dans un livre ça passe mal. Il fallait, à mon avis, un peu plus étoffé la chose pour la rendre plus crédible. Pendant presque tout le livre j'avais en tête le Laisser Passer A38 (cf vidéo).

Ne soyons pas que négatif. Si tel était le cas j'aurai mis une note en dessous de la moyenne. J'ai pris du plaisir à découvrir les personnages de Chris, Jill et surtout Wesker. Je les connaissais bien évidemment grâce aux jeux (bon dans une certaine mesure aux films) mais c'est un plaisir de les découvrir. Bref à lire uniquement pour les fans car du point de vue littéraire c'est pas génial.
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Une super histoire de zombies à prendre pour ce qu'elle est : une histoire de zombie sans prise de tête. Néanmoins j'ai passé un super moment de lecture, ce livre a été dévoré en moins de temps qu'il ne faut pour le dire et j'ai adoré ! On s'attache rapidement aux personnages, on frissonne un peu ... Génial pour passer une bonne soirée sous la couette !

Un très bon 2nd tome ! L'histoire se précise, on en apprend plus sur les scientifiques à l'origine du virus. J'ai hâte de lire la suite...
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Une très bonne histoire pour les fans du jeu. On connait évidemment l'histoire mais c'est un plaisir de la redécouvrir. Le deuxième volet est encore meilleur que le précédent. A ne pas manquer !
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Sans être une lecture désagréable, Section 31: Cloak est un peu frustrante, dotée d'un début prometteur qui finit en queue de poisson. Une histoire de conspiration, de comploteurs prêts à devenir meurtriers pour protéger leur secret, et dissimulés au sein même de Starfleet, un roman qui commence par une folle course poursuite de l'Entreprise pour sauver un autre vaisseau, pour ne trouver à son bord que cadavres et mystère.... Oui, vraiment, ça commençait pas mal.

Hélas, passé ces premiers chapitres, cela perd de son mordant. J'ai même regretté l'intrigue secondaire avec McCoy, pourtant mon personnage préféré de l'univers Star Trek , intrigue qui utilise des pages qui auraient peut -être pu permettre d'en dire plus sur cette mystérieuse section, et qui n'a rien de décisif elle se termine sur une coïncidence ridicule qui laisse notre bon docteur exactement dans la même position qu'à la page 1 et n'a donc servi strictement à rien. Kirk découvre bien quelque chose, mais tous ces cadavres semblent bien beaucoup pour un si petit secret, et on en garde l'impression, et lui aussi, qu'il n'a trouvé que la pointe de l'iceberg...et puis paf, ça s'arrête là!

La Section 31 fait l'objet au sein des romans Star Trek de sa propre mini série, 4 romans, chacun se situant dans une des époques différentes. Peut-être que si on lit les 4, c'est moins frustrant, Picard sachant découvrir ce que Kirk subodore à peine dans cet épisode, je ne sais pas, je ne lirai pas les autres faute d'avoir vu les autres séries.

Je crois que je vais me limiter aux romans qui se situent fermement dans l'époque de Star trek The Original Serie et me méfier de ceux qui lient ainsi les époques!

A Racooncity,la socitié Umbrella se lance dans des expérimentations illégales.

Les S.T.A.R.S sont engager pour enquété sur un manoir abandonné utilisé par Umbrella,mais il ne savent pas que se qu'il vous découvrir va peut étre les tuer.



Une adaptation du jeu vidéo"Résident Evil",un livre qui dés le début nous mets rapidement dans l'ambiance ,bien décris .Je le conseille .

Cette novélisation du premier jeu de résident evil est très fidèle au scénario du jeu. L'auteure reprend le moindre détails qui a toute son importance dans le jeu. J'ai adoré voir mes personnages de jeu vidéo penser et parler ! On peut également mieux cerner leurs personnalité.

Pour le style d'écriture, le récit est à la troisième personne du singulier mais nous suivons les points de vues des personnages principaux. Ainsi quand ils se retrouvent séparés on sait se que chaque personnages devient. Ainsi l'intrigue permet d'avance rapidement.

Pour ceux et celles qui n'ont pas joué au jeu vidéo, peuvent peut être trouver ce roman sans aucune importance. Mais je pense qu'ils serait intéressant de connaître leur point de vue. Donc pour les fans de zombie à lire ! Pour les fans du jeu vidéo à lire aussi ! Et pour les autres donc à découvrir !

Meilleur que le premier mais...



A l'issue de la conspiration d'Umbrella, le manoir maudit est détruit. Les STARS sont décrédibilisés et noyautés par l'entreprise pharmaceutique.

Les rescapés, et notamment Rebecca Chambers (le génie de 18 ans, mignonne et biochimiste de l'équipe bravo du premier opus), trouvent un renfort STARS dans le Maine où, à Caliban Cove, Umbrella semble avoir perdu à nouveau le contrôle d'un labo virus-T. Ils vont y retourner chercher des preuves de l'implication criminelle de l'entreprise. Et là encore, zombies et énigmes à résoudre les attendent.



Un second tome, qui ne développe pas cette fois-ci un scenario de jeu, plus travaillé et plus abouti. L'auteure y incorpore quelques explications qui donnent une caution scientifique bienvenue après le désert initial. Malheureusement, le tout manque encore de consistance.

La partie, je résous des énigmes pour avancer dans ma « quête », histoire de coller à l'esprit jeu vidéo ne rend toujours pas. L'équipe qui débarque la fleur au fusil, sans protection, dans un labo contaminé par un vilain petit virus, et cela ne loupera pas, il y aura de la contamination. Ben tiens... (pourtant, d'habitude, c'est au cinéma que les héros se baladent tête nue, pour des raisons d'image, dans un environnement vicié...).

Côté militaire toujours absent, mais plus d'humour.



Bref, c'est mieux, mais il y a encore du travail. Un tome 3 (la cité des morts) qui se basera, sur le tome 2 du jeu prendra-t-il un peu de muscle ?

Ridicule.

Resident Evil ou Biohazard en Vo japonaise. Un monument. Apparu en 1996 sur console de jeu, de l'action, de la réflexion et de la survie en environnement zombie et autres monstres divers. A l'heure actuelle, plus d'une dizaine de jeux tous supports, plusieurs films et dessins animés et près de 20 livres.

Cette série, écrite par SD (pour Stephani Danelle, oui c'est une fille) Perry reprend les scénario des jeux vidéos.



Raccoon City en juillet 1998. Plusieurs meurtres barbares inexpliqués ont été commis avec morsures humaines et animales. Une boucherie localisée dans une forêt au centre de laquelle se trouve un énorme manoir à l'abandon, propriété de Umbrella, compagnie pharmaceutique, unique et énorme moteur de la prospérité économique de Raccoon.

Les STARS (Special Tactics And Rescue Squads), organisation privée spécialisée dans l'antiterrorisme, la prise d'otage, le piratage informatique, créée par d'anciens du FBI ou de la CIA, collaborant avec le gouvernement ect ect... est appelée à la rescousse.

Et voilà nos équipes Alpha et Bravo, mais surtout Jill Valentine et Chris Redfield (les héros du jeu) coincés dans ce manoir aux proies à toutes sortes de zombies et créatures malfaisantes et dangereuses.



D'après les internautes, c'est la copie presque conforme du premier jeu Resident Evil. Et c'est là que le bât blesse. On a effectivement l'impression d'être dans un jeu vidéo, mais sans le visuel et les frissons qui vont avec.

Un manoir plein de zombies, de pièges, d'objets à récupérer pour ouvrir les portes, de collègues morts à différents stades du jeu, euh du livre, pour permettre la récupération de leurs munitions, c'est très joli à jouer, mais absolument pas crédible à lire, en tout cas ici.

Le côté action militaire est très mal restitué. Le scénario est anémique (dans un background aussi sympa de Resident Evil, c'est dommage), les descriptions très moyennes (les zombies ne font même pas peur, c'est le comble) et une impression de grand guignol mal ficelé, pas crédible pour deux ronds qui se dégage de tout ça.



Même l'héroïne n'y croit pas en disant : « Un rêve ? Un cauchemar, oui. Des plantes tueuses, des serpents géants, des mort-vivants... manquent plus que les soucoupes volantes et pourquoi pas un dinosaure ».

Alors fans du jeu vidéo, nostalgiques de leur playstation oui, les autres, ben vous aurez été prévenus...

Resident Evil dévoile son dénouement palpitant : un final apocalyptique digne de son modèle cinématographique. Pénétrez au cœur même de l’enfer peuplé de créatures malfaisantes...
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