S.D. Perry

Encore un très bon Resident Evil que ce Code Veronica. J'avais eu un peu de mal à accrocher avec le précédent, mais là, j'ai tout de suite été dans le bain et c'est en compagnie de Claire Redfield que l'on évolue dans cette aventure.

L'on va retrouver une ambiance un peu identique au tout premier roman, avec ce manoir qu'il faut arpenter et surtout ces ^pièces truffer de pièges et d'énigmes.

Claire est un personnage très intéressant au nivaux es romans. Encore jeune, elle a un véritable potentiel et lorsqu'elle se trouve avec son frère Chris, ils forment un duo imbattable.

L'action et l'horreur sont également au rendez-vous, car que serait Resident Evil sans des monstres créés génétiquement ou des fous furieux qui vous en veulent à mort ?

Un plaisir toujours aussi intense, à réserver aux fans du genre ou du jeu vidéo.
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Claire et Chris Redfield sont dans retour dans une nouvelle aventure tiré du jeu éponyme. Bon, autant le dire de suite, ce n'est pas l'opus qui m'a le plus marqué. Je ne sais pas si c'est dû au jeu vidéo qui n'était pas exceptionnel ou à la novélisation qui n'est pas optimale mais cette lecture n'est pas l'une des meilleures pour cette saga.

Je ne pourrais pas comparer avec le jeu et franchement, le roman ne m'en a pas donné envie. Pourtant, j'aimais bien ces personnages... Mais bon, on ne peut pas adhérer à la totalité d'une saga non plus ! Ça arrive.

Malgré la bonne retranscription de l'univers du jeu, j'ai un souvenir assez moyen de ce sixième opus.

J'ai adoré le jeu RE ZÉRO et c'est avec un pincement au cœur que je termine cet opus en roman. Comme toujours SD PERRY arrive à extraire parfaitement les données du jeu sous forme de roman sans trop entrer dans les détails inutiles. J'avais vraiment l'impression de rejouer aux côtés de Billy et Rebecca. Merci encore SD PERRY ! Juste une petite erreur de la maison d'édition (juste toute petite erreur ^^) le tome devrait être numéroté 0 et non 7 car il s'agit d'un tome se plaçant avant "la conspiration d'Umbrella". Mais bon mise à part cela, j'ai ADORE cette novélisation !!!

Dernier tome de la série de novellisation des jeux vidéos et comme les précédents c'est une réussite.

Quelques coquilles dans le roman mais l'on pardonnera aisément à l'auteur.

Par contre une belle erreur de mise en page de la part de Milady sur la fin de l'histoire.



Sinon, un roman à réserver aux fans du genre et surtout à ceux qui connaissent et aiment la licence Resident Evil.



Un joli divertissement comme je les aime entre deux lectures plus "sérieuses".
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Avant d'exposer ma critique, il faut savoir que je n'ai pas joué à "Resident Evil 0", je ne connaissais donc pas le scénario et ne peux donc pas comparer l'ouvrage avec le jeu. Ainsi, j'ignore s'il y a des erreurs scénaristiques...



"Resident Evil Zero Hour" est une préquelle au premier tome rédigé par Stephani Danelle Perry ("La conspiration d'Umbrella"). Il met en avant divers événements se situant quelques heures avant l'intervention de l'équipe Alpha de S.T.A.R.S. dans le Manoir Spencer. Ici, on suit l'équipe Bravo qui, au lieu d'aller à Racoon City, est en fait la première équipe à débarquer sur le terrain d'Umbrella Corp... En effet, leur hélicoptère a dû se poser en urgence à cause d'un éclair qui a grillé toutes les commandes. Par miracle, tous les membres de l'équipe sont en vie... Pendant que l'un d'entre eux tente d'évaluer les dégâts et/ou de réparer ce qu'il peut, les autres soldats décident d'explorer les lieux. Ce qu'ils trouvent est effrayant : un transport militaire accidenté avec, apparemment, un fugitif condamné à mort en cavale, un train étrange avec de nombreux cadavres à l'intérieur, ... Mais surtout, des créatures tout droit sorties de l'enfer !



Les deux protagonistes de ce volume 7 sont Billy, alias le lieutenant William Coen, et Rebecca Chambers. Un système de narration alternée permet de passer d'un personnage à un autre et de comprendre comment chacun perçoit les événements. J'apprécie ce système car il permet de mieux s'attacher aux personnages. Ces derniers ont une personnalité captivante et assez bien exploîtée. Très vite, on apprend que Billy est le passager "dangereux" condamné à mort, mais qu'il est bien plus que cela... Il est surtout un ancien militaire au passé trouble. Plus tard (vers la moitié du roman), il révélera pourquoi il a été arrêté et condamné à mort... Son récit est assez intéressant. Quant à Rebecca, elle est une jeune recrue, une bleue, qui essaye de montrer que malgré son âge, elle n'est pas une "petite fille". Elle sait se débrouiller, elle a du cran et ne recule devant rien...

Leur rencontre dans le train est assez classique, mais j'ai apprécié l'humour dont chacun a fait preuve. En effet, les deux héros n'hésitent pas à s'envoyer quelques piques ou à se tester. Si au début une certaine méfiance se tient entre eux, elle s'estompe peu à peu au fil des rencontres monstrueuses auxquelles ils vont devoir assister. L'évolution de leur relation est touchante. Comme dans les autres tomes, l'auteure a su transmettre l'émotion de chacun.



Grâce à cet opus, le lecteur va pouvoir comprendre qui a inventé le Virus T, pourquoi et comment. En effet, S. D. Perry va nous plonger au coeur d'une vieille histoire de vengeance : les co-fondateurs d'Umbrella, Albert Wesker, William Birkin et James Marcus, ont de lourds secrets qui vont exploser au grand jour... D'autres révélations permettront également d'également savoir comment l'équipe Bravo a disparu. le lecteur découvrira également un bestiaire assez varié. En plus des zombies ou des chiens, d'autres créatures abominables vont également faire leur apparition, notamment les sangsues. Il y a d'autres monstres que je ne connaissais pas forcément, mais dont la description m'a conquise. Je ne vous en dis pas plus. En tout cas, sachez que l'on plonge aisément dans l'ambiance et l'univers effrayant de cet ouvrage.



Bon, il faut avouer que globalement les Resident Evil sont toujours rédigés de la même façon :

Une équipe bien entraînée débarque dans un lieu infesté de zombies ou autres créatures mutantes. Ce groupe doit survivre en combattant des hordes de revenants ou de gros monstres (exemple ici : le boss scorpion dans le train) et en résolvant des énigmes. On notera une présence féminine jolie, mais pas cruche et qui sait se battre, mais aussi un méchant tapis dans l'ombre qui ne se révèle qu'à la fin. Ce même méchant qui est en fait un gros boss à combattre à plusieurs reprises à cause de mutations... Mais tout se termine avec un happy end.

Il n'y a donc pas de réelles surprises scénaristiques, cependant cela ne me dérange pas. L'histoire se lit bien, c'est fluide, simple et dynamique. S. D. Perry sait très bien décrire les scènes d'action (qui sont vraiment nombreuses). Elle sait aussi donner un certain dégoût au lecteur grâce à ses descriptions de monstres ou les métamorphoses... Parfois, on distingue quelques détails glauques ou sanglants, mais rien de bien méchant pour le genre "Horreur" (il y a d'autres ouvrages qui sont bien plus gores tels que ceux de Graham Masterton). Cela reste donc assez soft.



J'ai été très satisfaite de ce septième tome dont la trame et la plume de l'auteure est prenante. C'est une histoire simple avec de nombreux "déjà-vus", mais qu'importe. J'apprécie l'univers des Resident Evil et c'est un régal de (re)plonger dedans. De plus, j'ai passé un très bon moment et j'ai eu envie de regarder quelques vidéos du jeu. Les passionnés ou les adeptes de la saga seront certainement ravis de cette lecture. E.C.

Ultime épisode de la saga, enfin...en ce qui concerne S.D. Perry et ses novélisations. Probablement que son contrat s'est terminé avec ce "Zero Hour" qui n'est ni plus ni moins que la novélisation du jeu "Resident Evil Zero".



C'est donc un retour aux origines puisque l'intrigue nous entraîne bien avant les évènement se déroulant dans le Manoir Spencer. Nous retrouvons Rebecca Chambers (j'avais bien dit que le premier tome n'était pas sa première aventure !^^) qui sera donc la première à entrer dans ce mon horrible d'expériences secrètes.



Bon, la qualité est très critiquable et au final, je ne retiendrais que trois tomes dans cette saga : le premier, le troisième et le cinquième !



C'est bête pourtant, mais je m'étais beaucoup attaché à tous ces personnages que son Léon, Chris, Claire, Jill et cie. Je trouve dommage de leur dire adieux ainsi alors que les jeux poursuivent l'aventure... Les romans étaient bien pratique mais en même temps, cette saga, aura-t-elle jamais une fin ? En ce qui concerne les romans, oui ! Pour le reste...

C'est avec ce volume numéro 7 que la saga des novellisations du célèbre jeu Resident evil s'arrête. L'aventure de ce récit se déroule juste avant l'histoire du 1er volume, c'est à dire le 23 et 24 juillet 1998 au moment du crash de l'hélicoptère de l'équipe Bravo des S.T.A.R.S. envoyé pour enquêter sur une série de meurtres avec traces de cannibalisme sur le corps. Nous savons enfin ce qui est arrivé juste avant l'arrivée de l'équipe Alpha en suivant le personnage de Rebecca Chambers. Aventure agréable à lire avec tous les ingrédients habituelles de la série.

Je suis plutôt déçue pas ce tome. On repart totalement en arrière, juste avant le tome 1, avec l'équipe Alpha des STARS qui se crache. Du coup, que ce soit au niveau des lieux, des monstres, et même de l'intrigue en général, on a plutôt un goût de déjà vu qui devient lassant. Ne comptez donc pas sur une avancée au niveau de l'intrigue principale et du combat contre Umbrella !
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Sans être une lecture désagréable, Section 31: Cloak est un peu frustrante, dotée d'un début prometteur qui finit en queue de poisson. Une histoire de conspiration, de comploteurs prêts à devenir meurtriers pour protéger leur secret, et dissimulés au sein même de Starfleet, un roman qui commence par une folle course poursuite de l'Entreprise pour sauver un autre vaisseau, pour ne trouver à son bord que cadavres et mystère.... Oui, vraiment, ça commençait pas mal.

Hélas, passé ces premiers chapitres, cela perd de son mordant. J'ai même regretté l'intrigue secondaire avec McCoy, pourtant mon personnage préféré de l'univers Star Trek , intrigue qui utilise des pages qui auraient peut -être pu permettre d'en dire plus sur cette mystérieuse section, et qui n'a rien de décisif elle se termine sur une coïncidence ridicule qui laisse notre bon docteur exactement dans la même position qu'à la page 1 et n'a donc servi strictement à rien. Kirk découvre bien quelque chose, mais tous ces cadavres semblent bien beaucoup pour un si petit secret, et on en garde l'impression, et lui aussi, qu'il n'a trouvé que la pointe de l'iceberg...et puis paf, ça s'arrête là!

La Section 31 fait l'objet au sein des romans Star Trek de sa propre mini série, 4 romans, chacun se situant dans une des époques différentes. Peut-être que si on lit les 4, c'est moins frustrant, Picard sachant découvrir ce que Kirk subodore à peine dans cet épisode, je ne sais pas, je ne lirai pas les autres faute d'avoir vu les autres séries.

Je crois que je vais me limiter aux romans qui se situent fermement dans l'époque de Star trek The Original Serie et me méfier de ceux qui lient ainsi les époques!