Citations de Sandrine Revel (61)
Amis auditeurs, tentons de faire une expérience ensemble. Installez-vous confortablement près de votre radio. Montez le son à votre guise, réglez vos basses ou vos aigus à votre convenance, et profitez de l’instant unique qui s’offre à vous.
-te souviens tu de nos jeux d’enfants ou nous nous amusions à serrer les poings à en faire éclater les veines
-nous voulions avoir des mains de femmes.
Mère disait toujours, on passe son enfance à vieillir et le reste de sa vie à chercher comment rester jeune.
Herbert Von Karajan : il crée un style qui montre l'avenir
Aaron Copland : Gould joue comme un compositeur. Lorsque je l'écoute jouer Bach, c'est comme si c'était Bach lui-même qui jouait.
Technicien CBC : ce n'est pas un hasard si le téléphone, la télécopie, la télévision, etc... l'attirent tellement. Il évite autant que possible de se confronter aux autres.
Tom Wolfe : Gould? C'est monsieur je-sais-tout!
Bruno Monsaingeon : Il est indéniablement un incompris.
La musique est quelque chose qui doit s'écouter en privé. Elle doit conduire l’auditeur et l’interprète a un état de contemplation.
Chacun doit vivre sa vie en ayant une direction spirituelle en tête.
"Le CDIFF est un lieu de passage, de temps perdu et retrouvé, de transformation aussi...
C'est un lieu de transit, quelque part entre un départ et une arrivée, un peu comme une gare.
Certains voyageurs savent où aller et d'autres hésitent encore, se construisent par une série d'étapes, d'avancées et de traversées.
Ces espaces proposent, imposent ou indisposent tandis que les stagiaires se posent, se juxtaposent, se superposent ou s'entreposent."
Savez vous ce que l'on dit d'une esquisse?!
Elle est la première pensée du peintre. Il faut du caractère et de la franchise pour peindre ceci.
Et si je ferme les yeux quand je joue, c'est pour ne pas voir le champ de bataille.
Je tenais pour acquis que tout le monde partageait ma passion pour les ciels nuageux. J'ai eu un choc en apprenant que certaines personnes préféraient le soleil.
- Je te connais bien, Glenn, tu es si exigeant.
- Je ne suis pas facile à vivre.
Mon ami Peter me définit en une phrase : "Reste avec moi et tiens-toi à distance." (p.23)
Il prend sa tension plusieurs fois pas jour. Il ingurgite des tas de pilules. Il craint par-dessus tout les microbes depuis l'enfance. Il évite tout contact physique et téléphonique avec quiconque semble légèrement indisposé.
Les souvenirs sont comme des bulles de savon.
Agnes Varda
J'ai eu affaire à de nombreux recruteurs qui m'ont dit des choses absolument ignobles du style: Perdez cinquante kilos,vous ne correspondez pas à l'image de marque de la société...J'avoue que quand on sort d'un entretien comme ça on a envie de se tirer une balle dans la tête. Surtout lorsqu'on a besoin de travailler parce qu'on est le seul revenu de la famille.
Comme c'est difficile de franchir le cap, de dépasser ses peurs!
La réclusion monastique me convient.
Ma vie, c'est mon travail. Je ne crois pas que mon style de vie ressemble à celui de la plupart des gens, et cela me réjouit. Les deux éléments - le style de vie et le travail - se sont fondus en un seul. Si c'est une excentricité, alors oui, je suis excentrique.
Quel plaisir de jouer devant un public qui attend secrètement la fausse note ?
Le soir vient, lent, par couches successives comme la neige qui continue de tomber.
Eh bien il te faudra apprendre à observer la nature avec attention en respectant son côté mystérieux.
Victor Hugo, un poète français, a écrit : "je ne puis regarder une feuille d'arbre sans être écrasé par l'univers."
-félicitations Tom. Vous vous forcez à voir la violence fondamentale de notre nature canadienne.
-merci monsieur Bartlett, je ne fais que peindre ce qu'elle me chuchote à l'oreille.