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Citations de Sandrine Roy (57)


Ce pervers avait il osé tenter d'enlever Eli? Inconcevable! Jamais il n'aurait pu ordonner de la torturer puis de la violer! Alors qui? et surtout, pourquoi?
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Un auteur qui n'a pas de mots, c'est embarrassant (...)
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Une année s’était écoulée. Il neigeait sans interruption depuis dix jours. À l’extérieur, le silence était lourd, toute activité humaine ayant cessé à cause des intempéries. Selon les autochtones, habitués aux hivers rigoureux, cela faisait plusieurs décennies qu’il n’avait pas neigé autant.
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Assise par-terre dans la salle de séjour, la famille formait une ronde bien étrange, chacun de ses membres attaché à l'autre par des foulards liés aux poignets.
Personne ne bronchait et pour cause : leur persécuteur avait commencé par trancher la gorge de la plus grande des filles sans sommation, froidement, comme on se débarrasse d'une mouche agaçante.
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Il pouvait se détendre, baisser la garde, même si c'était difficile pour lui qui avait été contraint de se forger une armure psychologique. La méfiance faisait partie de lui depuis si longtemps...
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- Et pas de petit copain, répéta-t-elle en le défiant du regard.
- J'ai bien compris cette partie-là, dit Lynwood. Alors je suis quoi pour toi, du coup ?
Eli garda la silence un moment, réfléchissant à ce qu'elle allait répondre. Elle savait ce qu'il voulait lui faire dire, ses yeux gris n'avaient aucun secret, elle y lisait aussi clairement que dans un livre qu'elle aurait écrit.
- Vous êtes bien plus que ça, et vous le savez très bien.
Bien sûr qu'il le savait. Mais le lui entendre dire n'avait pas de prix.
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Original, détonnant, prenant, SURprenant, captivant … Je n’ai plus de mots !
Mais alors que nous raconte "Pas de printemps pour Eli"
Alors que Lynwood vit heureux avec Eli dans les Pyrénées, il apprend que son père est décédé et doit retourner au Texas. Une fois sur place, le couple s'aperçoit que des truands font pression sur James, le frère de Lynwood, qui doit juger un trafiquant de drogue.
Sandrine a mis le paquet ! J’ai carrément dévoré ce Romar, Polar, Roman Policier, je ne sais plus , ce que je sais c’est que je me suis éclatée en le lisant. J'avais déjà adore le premier tome de cette série ! Même mieux, j’attends la suite avec impatience.
Pour un second roman moi je dis « Bravo » !
Franchement ne passez pas à côté ou alors tant pis pour vous !!
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Eli descendait très lentement vers la pointe sud-ouest, planant sur la Cornouailles, où le mouvement du pendule s'accéléra de façon significative. Puis brutalement, comme si un puissant aimant l'avait attiré, le pendule s'écrasa littéralement sur la ville de Truro. Ils virent le bras d'Eli entraîné avec une force extraordinaire sur ce point précis, tandis que la clé tombait sur le tapis, et que la jeune femme tournait de l'œil, s'effondrant au sol, inconsciente.
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Il s'agissait de leur grand-père, de leur père ou de leur frère ! Personne ne souhaite la mort d'un des membres de sa famille, aussi cruel soit-il.
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...Quelque part en lui, il l'avait toujours su. Un être comme Eli ne pouvait que traverser votre vie comme une comète traverse le ciel. Elle apparaît tout a coup, vous illumine de sa clarté et disparaît en vous laissant dans l'obscurité...
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Il avait compris que ce couple n'avait rien de conventionnel et plus rien ne l'étonnait. Eli avait l'air d'une petite fée sortie tout droit d'un conte fantastique, alors que Lynwood était un guerrier froid aux attitudes parfois antipathiques et au tempérament caractériel.
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Je quitte Linwood à regret...
Tout commence comme un thriller classique, mais cela n’est que pour mieux nous embarquer dans une histoire aux multiples facettes.
L’intrigue est maîtrisée de bout en bout, et Sandrine nous dévoile les ficelles de celle ci tout en douceur.
Parce que Linwood ce n’est pas seulement un thriller, mais aussi une romance et tout cela avec une touche de fantastique ou de surnalturel plutôt.
Sandrine a su lier habilement tout cela en y mêlant suspens et action.

La plume est efficace et addictive.
J’ai passé un très agréable moment de lecture, et ne saurez que vous inciter à le lire vous aussi !

Vous l’aurez donc compris, si ce n’est pas encore fait, foncez !
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Anxieux, il descendait chaque jour au sous-sol pour vérifier le niveau d'essence du générateur.
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Le quinzième jour de tempête, les lignes téléphoniques et l’électricité furent coupées. Lynwood eut l’occasion d’inaugurer l’engin, espérant que la quantité d’essence soit suffisante, il ignorait combien de temps durerait la coupure.
Il se retrouva donc complètement isolé. Même Simon ne pointa pas le bout de son nez.
 
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À la mairie, Mességué reçoit un nombre considérable de lettres anonymes de bons Français accusant l’un ou l’autre des citoyens de cacher un poulailler dans une remise ou un cochon dans une cave.
La jalousie, le désir d’échapper à l’oppresseur en collaborant, la peur : voilà ce qui motive ces dénonciations.
D’autant que depuis l’arrivée des Allemands, beaucoup de fils de paysans ont été envoyés de force au STO, en Allemagne. Quelques-uns ont pris le maquis, refusant de quitter leur pays ainsi que leur famille dans le but de travailler pour l’ennemi. Pas question ! C’est ainsi qu’à Angeville, Maurice merle – dit Mémo - et Marcel Cabrol se sont enfuis un beau matin de décembre, sans trop savoir où ils iraient, mus par des rumeurs racontant que des hommes se réunissaient dans les campagnes isolées et organisaient des actes de résistance.
Au sein du village, peu à peu les camps se sont formés d’eux-mêmes. La défiance entre les deux est de mise.
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Sandrine Roy
En tant que flic, il avait un regard assez critique sur ces livres qui fleurissaient partout dans les rayonnages des librairies. Certains auteurs ne connaissaient strictement rien au fonctionnement de la police et cela avait le don de l’agacer. Ou de le faire rire selon le degré d’ignorance. A côté de ceux-là, d’autres faisaient au contraire l’étalage d’acronymes, noyant le lecteur dans un foutoir alphabétique dont il n’avait sans doute que faire. Heureusement, il restait ceux qui vous offraient du rêve tout en vous faisant frissonner d’angoisse, ou vous embarquaient dans des enquêtes alambiquées à souhait.
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Une famille de six, dont cinq zigouillés. le père, la mère, deux ados de quatorze et quinze ans et une gamine de onze ans. Seul le petit dernier y a échappé, mais il est dans un sale état. Il est couvert de sang et va savoir de quel sang il s'agit dans ce merdier !
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Il n'y a que dans les églises que les voix se taisent tout à fait, lui chuchota t-elle. Même pendant une messe où il y a du monde. C'est bizarre, tu ne trouves pas ?
Peut être que c'est pour que tu puisses écouter ce que Dieu veut te dire.
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Une année s'était écoulée.Il neigeait sans interruption depuis 10 jours.A l'extérieur, le silence était lourd, toute activité humaine ayant cessé à cause des intempéries.Selon les autochtones habitués aux hivers rigoureux, cela faisait plusieurs décennies qu'il n'avait pas neigé autant.
Sur les conseils de Simon, Lynwood avait acheté un groupe électrogène, au cas où. Sans télévision ni internet, les jours lui parurent aussi longs que des semaines.
Anxieux, il descendait chaque jour au sous-sol pour vérifier le niveau d'essence du générateur.
Il tournait l'avant-dernière page du second volume lorsque le ronronnement du groupe électrogène cessa tout d'un coup. Fuck ! La nuit venait de tomber, il alluma une bougie et descendit au sous-sol. Plus une goutte d'essence. Le seul endroit où il pouvait en trouver, était le sous-sol de la cabane de berger de Simon. C'était la première fois qu'il faisait ce trajet la nuit.
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 Simon appréciait cette particularité des Anglo-Saxons qui consiste à remercier la personne qui les corrige lorsqu'ils font une erreur dans une langue étrangère. Faîtes de même avec un Français, celui-ci, au lieu de remercier, lancera un "oh, merde !" des plus malvenus ! 
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