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Critiques de Sir Arthur Conan Doyle (2331)
Sherlock Holmes : Une étude en rouge (Ecrit d..

Londres - 1880 - Le corps d'un homme est retrouvé dans une maison abandonnée, un mot Ranke écrit en lettres de sang sur le mur, aucune trace de ce qui a provoqué la mort de cet homme. Il fallait bien un détective de haut rang pour résoudre ce type d'énigme alors on fait appel à Sherlock Holmes pour la résoudre avec pour la première fois le Dr James Watson à ses côtés avec lequel il partage désormais une location (pour des raisons financières) et qui va le suivre pour comprendre la manière dont il procède dans ses déductions afin de connaître le coupable tout en rédigeant un journal sur leurs activités.



Je ne vais pas vous raconter la manière dont le célèbre détective va trouver la clé du mystère car c'est un court roman et cela vous ôterait tout le plaisir de lecture mais sachez que le narrateur, le Docteur Watson, commence par narrer son itinéraire personnel mais également dans quelles circonstances il fit la connaissance de cet étrange homme qui, dès les premiers instants, l'a intrigué par sa manière de connaître beaucoup d'éléments de la vie de ses interlocuteurs par une simple observation de leurs physionomies, attitudes etc....



J'avais en ma possession Une étude en rouge qui est la première enquête menée par le célèbre duo ce qui m'a permis de connaître comment ils se sont rencontrés, associés mais également les formations de chacun sans oublier la présence des deux policiers : Lestrade et Gregson qui seront les dignes représentants, aux yeux de Sherlock Holmes, des méthodes d'enquêtes traditionnelles et pas toujours appropriées à son goût :



"J'ai bien peur, Rance, que vous n'ayez jamais d'avancement dans la police. Votre tête, vous devriez vous en servir, ça n'est pas exclusivement une garniture. (p41)"



Il y a bien longtemps que j'avais ouvert un roman de Arthur Conan Doyle mais lorsqu'un film, série est diffusé sur ce personnage je ne me refuse pas ce plaisir non seulement pour retrouver l'ambiance "so british" qui parfume le récit mais également par la complexité psychologique du personnage de Sherlock Holmes et la manière dont il résout les enquêtes dont le mérite revient à son créateur, Arthur Conan Doyle qui l'a pourvu d'une intelligence exceptionnelle dans bien des domaines et qui ne s'encombre pas de connaissances inutiles (comme il l'avoue lui-même).



Car finalement, au-delà du mystère, c'est la personnalité de Sherlock Holmes qui m'a le plus intéressée : comment il arrive à cerner ceux qu'ils rencontrent souvent au premier coup d'œil mais également les indices sur les lieux du crime, le pourquoi du comment des circonstances.



Je ne vais pas vous faire languir plus longtemps et vous avouer (oui je suis coupable) que j'ai pris plaisir à lire ce court roman avec ma foi une surprise en pleine lecture, car après avoir exposé la rencontre et les circonstances du meurtre, le récit bascule dans une autre histoire se déroulant aux Etats-Unis en 1847 et qui relate comment Jean Ferrier devint le père adoptif d'une enfant, Lucie, qu'il éleva par la suite après s'être installé dans une ferme sur les terres des mormons.



Deux histoires pour le prix d'une mais évidemment les deux sont liées vous l'avez compris mais c'est l'occasion pour Arthur Conan Doyle (1859-1930) de faire connaître au lecteur cette congrégation (il faut signaler que ce roman fut publié en 1888) avec ses lois et ses règles pour finalement déboucher sur l'histoire d'une vengeance franchissant les océans et les années (sans omettre d'y ajouter une histoire d'amour bien entendu). L'auteur ayant une formation de médecin (ce que j'ignorai) je comprends mieux la manière dont il a construit ses personnages principaux utilisant la science, la connaissance des poisons mais également la médecine mais sur ce dernier point l'association avec le Dr Watson va être une aide précieuse (mais si Sherlock n'accepte que rarement de l'aide et les connaissances d'autrui).



Le plaisir est à différents niveaux : relation entre les deux hommes aux caractères très différents mais qui s'accordent bien même si j'ai trouvé Sherlock hautain (voire sarcastique), secret, n'hésitant pas à rabaisser ceux qui l'entourent et ne possédant pas sa science. Il fallait un caractère comme celui de Watson plus affable, calme et tolérant pour ne pas en prendre ombrage et l'on sent de sa part un sentiment oscillant entre admiration et interrogations vis-à-vis de son co-locataire mais qui va lui apporter le piment qui manquait à sa vie d'ancien médecin militaire désargenté à la vie bien monotone.



J'ai lu que Arthur Conan Doyle avait publié beaucoup de nouvelles ce qui explique la brièveté du roman. L'écriture est efficace, rapide avec un peu plus de détails quand l'action se déroule chez les mormons et la résolution de l'affaire avec les explications tient en quelques pages. Court, efficace, avec quelques grains d'humour, quelques détails scientifiques.



Aimant la littérature anglaise et ses ambiances, je n'ai pas boudé mon plaisir, je l'ai lu dans le train lors d'un voyage et les kilomètres ont défilé sans que je m'en aperçoive car Sherlock, malgré ses manières parfois peu courtoises, a su maintenir le suspens (et puis comme tout cabot il sait retenir l'attention de son entourage) même si l'énigme en elle-même, est assez évidente dès que nous avons connaissance de certains éléments.



Lecture idéale pour un moment de détente entre d'autres lectures et qui m'a rappelé le plaisir que j'éprouvais il y a longtemps à la lecture des romans d'Agatha Christie, le dépaysement que j'y éprouvais, la manière dont les personnages se mettaient en place et dont l'auteure glissait des indices que je ne voyais pas toujours mais dont je ressortais éblouie par la créativité de sa créatrice et la capacité qu'ils'elle  avait à mêler enquêtes, psychologie et parfois, comme ici, faits historiques et sociétaux.



J'ai aimé mais c'était le premier d'une longue série sur cet enquêteur, une ébauche qui prendra plus de consistance, de densité et de complexité je pense au fur et à mesure des publications. J'avoue que cela m'a donné envie de m'y replonger de temps en temps, de m'installer confortablement dans le salon du 221, Baker Street à Londres et d'écouter les deux comparses résoudre les meurtres utilisant les qualités d'un personnage qui lui-même est une énigme mais aussi la confrontation entre les deux protagonistes si différents.
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Sherlock Holmes : Une étude en rouge (Ecrit d..

Tout le monde connaît Sherlock Holmes, mais combien ont lu ses aventures ?

Dans "Une étude en rouge", le mythe se met en place : rencontre avec le Dr Watson, cohabitation, caractérisation des personnages, exposé de la méthode basée sur la déduction...



L'intrigue en elle-même est basique et le récit "policier" est coupé en deux par une longue tirade expliquant l'origine de la vengeance qui a conduit aux meurtres sur lesquels enquête Holmes. Cette partie constitue surtout une charge virulente contre les mormons et ce qui est présenté comme leur hypocrisie morale. Cette insertion détone plutôt et rappelle les passages feuilletonnesques des oeuvres de Jules Verne ou Gustave le Rouge.



Mais, si l'histoire n'atteint pas des sommets, elle ouvre la porte à tout le roman policier à venir, avec l'apparition du détective, intrépide, mystérieux, savant dans ce qui relève aujourd'hui de la police scientifique, souvent sarcastique, imprévisible, volontiers hautain...

Watson est un excellent faire-valoir et l'idée de faire rapporter ces aventures par un tiers fictionnel est une trouvaille de génie au point qu'on en vient encore aujourd'hui à s'interroger sur la réalité des personnages.

Le récit n'est pas dénué d'humour, ce qui ne gâte rien.



Je dois pourtant avouer que je ne suis pas un fan irréductible de Sherlock Holmes et de sa méthode que je trouve biaisée. Avec Holmes, il faut supporter la lecture passive et accepter de le suivre dans son raisonnement à rebours.

Il faut se laisser guider par cette démarche analytique qui consiste à partir de la fin d'une série d'événements, pour en inférer tout le reste. Holmes constate le crime, farfouille, réfléchit...puis nous livre les clefs qu'il a utilisées pour l'élucider.

Or, il est le seul à connaître les indices (il a vu des traces de pas d'une certaine profondeur, pu mesurer la foulée, il a reconnu un cigare à sa cendre, il a senti une odeur…). le lecteur lui, n'ayant jamais accès à ces informations, ne peut pas participer.



Mais avec l'irruption du héros de Conan Doyle, plus rien ne sera comme avant.

Un livre imparfait, mais fondateur.
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Sherlock Holmes : Une étude en rouge (Ecrit d..

Comme beaucoup de gens, j'ai commencé, par "le chien de baskerville", le deuxième ou le troisième tome des Sherlock Holmes.

Je l'avais trouvé un peu décevant, moi qui était habitué à lire des Agatha Christie où la solution est déroutante. Je découvrais une autre manière d'écrire un roman policier. En effet, le coupable apparaissait au fur et à mesure qu'on avançait dans l'histoire. Bref, après l'avoir lu, je ne me suis pas plus intéressé que ça à continuer les Sherlock Holmes. Mais j'ai quand même fini par le prendre, et le résultat a été plutôt concluant.

En 1878, Mr John Watson, sortant de la guerre d'Afghanistan, tombe sur un ami qui se met à lui parler d'un homme se plaignant qu'il vient de découvrir un superbe appartement au 221b, Baker Street, mais que, malheureusement, il est trop cher pour lui. Wtson, intéressé, va le voir et lui propose d'être son colocataire pour cet appartement. Il s'apperçoit très rapidement que son adjoint n'est pas des plus ordinaires.

Ce nouvel ami, un certain Mr Sherlock Holmes, est en effet doté d'un sens de la déduction énorme. Watson met longtemps avant de découvrir que c'est un détective privé.

Un jour, Sherlock reçoit une lettre de la police. Un homme, Mr Drebber, a été assassiné dans une sombre maison inhabitée, mais le plus étrange est que des traces de sang ornent le parquet, bien que la victime ne porte aucune blessure. En moins d'une heure, alors que les policiers n'ont trouvé en plusieurs jours que le mot Rache (vengeance en allemand) sur un mur, Sherlock connaît la taille et le poids du meurtrier, la marque de cigarettes qu'il utilise et la longueur de ses ongles. Un jeu d'enfant, dit-il. Il poursuit l'enquête chez lui et parvient sans difficulté à pincer le tueur. Place à la deuxième partie.



Elle se déroule dans le Nevada et raconte pourquoi le meurtrier a tué Drebber. Bien qu'elle soit un peu longue, le mystère s'enracine à ce moment. On comprend qu'est-ce qui a poussé le tueur, la façon dont il a procédé (un meurtre qui se déroule entre l'impulsion du moment et la préparation).



Quand le meurtrier est attrapé, on ne lance pas de "Ce n'est pas possible !" ou on ne tombe pas tout simplement dans les pommes sous le choc. Pourquoi ? Tout simplement parce qu'on ne connaissait pas le meurtrier avant. Mais c'est quand même un livre que je vous recommande, bien que ce ne soit pas la crème des romans policiers.
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Sherlock Holmes : Une étude en rouge (Ecrit d..

Merci aux éditions RBA... le deuxième volume des Aventures de Sherlock Holmes, qui est en fait le premier publié à l'origine... le grand classique lus par les crimilalistes proffessionnelles... où la méthode de Holmes directement inspiré de celle du Dr Bell proffesseur de Sir Arthur Conan Doyle est expliqué... et où nous est raconté sa rencontre avec Watson... de quoi mieux comprendre vraiment le premier épisode de la Série Sherlock... qui remodernise et change un peu l'histoire sans en changer l'esprit.... Merci pace que oui... on aime bien avoir un livre, bien beau... et en plus c''est une copie de l'original... même à 11 euros pour ce deuxième volume cela fait quand même plaisir...

L'accompagne un petit livret (comme pour le Chien des Baskerville) où l'on a deux pages su le livre, deux pages sur la médecine au service de l'enquête et deux pages sur une attaque sur un train d'or avec les noms des inspecteurs de Scotland Yard qui avaient enquêté dessus... formidable...
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Sherlock Holmes : Une étude en rouge (Ecrit d..

J'ai lu du 14/01/2022 au 18/01/2022.



Je m'étais fixée pour 2022 comme résolution livresque de lire et découvrir des œuvres de Conan Doyle mettant en scène le plus célèbre des détectives : Sherlock Holmes et son partenaire, le docteur Watson. Dès lors, j'ai voulu commencer par la première œuvre où ils sont présents, le commencement.

Je suis tombée immédiatement sous le charme de ce premier roman. J'ai apprécié la plume de Conan Doyle car il a une certaine légèreté et humour (avec du sarcasme, de l'ironie) qui fonctionnent et contrebalancent à merveille avec l'ambiance plus lugubre liée aux meurtres, crimes en tout genre. C'est une manière d'attirer le lecteur et de vouloir lire la suite. Qui dit roman policier, dit enquête. Sur ce point-là, j'étais totalement satisfaite car tout me semblait farfelu au départ - pourtant je suis habituée avec les séries policières et d'autres romans policiers que j'ai de plus en plus de mal à être surprise - mais le moment de résolution montre que tout est logique? J'apprécie donc beaucoup car tout repose sur la déduction et la logique.

Quant aux personnages emblématiques, je suis agréablement surprise car on se fait une certaine vision d'eux mais les découvrir comment ils sont réellement m'a permis de me rendre compte que j'aurais dû lire bien plus tôt l'univers de Conan Doyle. Nous avons un détective intéressant avec un sacré caractère et le docteur Watson est intéressant. Il faut savoir qu'ils viennent tout juste d'être colocataires, ce qui explique pourquoi leur relation n'est pas aussi forte au départ puisque l'un voit l'autre comme un phénomène. De plus, j'ai trouvé ça parfait d'avoir l'histoire à travers les yeux de Watson car cela permet de montrer que Sherlock Holmes est impressionnant.

En fait, il n'y a qu'un truc que je n'ai pas apprécié dans cette œuvre. Nous passons du chapitre 8 jusqu'au chapitre 13 sous une autre histoire sur la genèse du mobile avec les mormons, etc. C'est intéressant pour comprendre l'enquête mais je m'attendais à avoir que du Sherlock Holmes, c'est pourquoi la scission de l'intrigue m'a un peu perturbée surtout que c'était brutale comme rupture rythmique.



Pour conclure, j'ai adoré cette première œuvre et je n'ai qu'une hâte : lire la prochaine œuvre.



Ma note : 9/10

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Sherlock Holmes : Une étude en rouge (Ecrit d..

Conan Doyle, "Une étude en rouge" 160 pages

J'avais très envie de lire ce roman, qui est le premier tome consacré aux aventures de Sherlock Holmes. Je me demandais comment Sherlock et le Docteur Watson s'étaient rencontrés. Ma curiosité a été récompensée !

C'est un roman très surprenant, car soudain, on quitte Londres pour se retrouver plusieurs décennies auparavant en plein Nevada ! On dirait presque un roman d'aventures imbriqué dans un roman policier. C'est une structure qui m'a un peu déstabilisée, même si, au final, j'ai bien aimé ce roman.

Résumé éditeur "Au n°3 de Lauriston Gardens, près de Londres, un homme est trouvé mort. A-t-il été assassiné ? Si la pièce est maculée de sang, son corps ne présente aucune blessure. Sur le mur, une mystérieuse inscription a été griffonnée à la hâte. Vingt ans plus tôt, dans les gorges du Nevada, Jean Ferrier a été exécuté par des mormons sanguinaires tandis que sa fille, Lucie, a été séquestrée. Quel est le lien entre ces deux événements ? Un fil rouge que seul Sherlock Holmes est capable de dérouler. Dans cette intrigue tout en subtilité, le docteur Watson rencontre, pour la première fois, son maître..."

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Sherlock Holmes : Une étude en rouge (Ecrit d..

"Pour résoudre un problème de cette nature, le principal est de savoir raisonner à rebours."

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A Londres, Sherlock Holmes est appelé à se rendre sur les lieux d'un possible homicide. Dans cette affaire, la police, représentée par Gregson et Lestrade, est désemparée et a besoin de l'avis "officieux" du détective "amateur". Accompagné du docteur Watson, ce dernier va relever assez d'indices pour aiguiller Scotland Yard sur une piste capitale.

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Les enquêtes de Sherlock Holmes sont rapportées par le docteur Watson. Dans Une étude en rouge, nous apprenons comment les deux célèbres personnages se sont rencontrés. La présentation de Holmes est brève mais captivante. En quelques mots, nous avons une idée assez précise des principaux traits du détective. Un portrait semble-t-il assez juste, même si l'on ressent clairement l'admiration de Watson pour son ami.

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Les agents Gregson et Lestrade, quant à eux, ne sont pas présentés sous un profil valorisant. Si Sherlock Holmes admet volontiers qu'ils sont "le haut du panier" de Scotland Yard, il ajoute tout de même que ça "ne veut pas dire qu'ils valent grand-chose". Cela dit, on ne lui tiendra pas rigueur de ces propos, sachant que les deux limiers veulent le beurre et l'argent du beurre. Holmes résout mais Scotland Yard en retire tous les honneurs. Dès lors, Watson s'attache à rédiger les mémoires de son ami, ne comprenant pas pourquoi ce dernier devrait oeuvrer dans l'ombre.

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J'ai été assez étonnée par la construction du roman, scindée en deux grandes parties bien distinctes. La première est consacrée à l'enquête en elle-même, de la découverte du crime à sa résolution, avec l'arrestation du meurtrier. Puis suivant un concept original, la seconde est consacrée à l'histoire du coupable, et par là-même, à l'explication du motif. Durant les premières lignes, je n'ai pas bien saisi l'origine de cette histoire, qui m'emmenait dans des contrées désertiques du nord-ouest des Etats-Unis. Cependant tout est lié, et j'ai finalement grandement apprécié cette immersion dans le passé. Je dirais même que je me suis attachée aux protagonistes de cette partie du récit.

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Je reste admirative de la qualité de la narration et de la précision des faits scientifiques, par des procédés qui à l'époque, devaient en être à leurs prémices. L'écriture est fluide et facile à appréhender. Un roman d'une autre époque, et pourtant très contemporain par bien des aspects.

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Une étude en rouge annonce l'entrée en littérature d'un personnage mythique, intemporel et précurseur, dont la personnalité, encore aujourd'hui, est source d'inspiration pour de nombreux auteurs et cinéastes.

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Ma chronique complète est sur le blog.
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Sherlock Holmes : Une étude en rouge (Ecrit d..

Certainement un de mes premiers coups de coeur, le début de ma passion pour le roman policier alors que j'avais une dizaine d'années.

Cette relecture moultes décennies plus tard fût un très bon moment de lecture. J'avais oublié l'essentiel et ce n'est qu'au dernier tiers, lors d'un retour en arrière au fin fond du Far West, que j'ai recollé les morceaux et reconstitué l'intrigue.

Enquête très intéressante mais particulièrement mémorable car c'est la première, la rencontre entre Holmes et Watson, le début de leur amitié et de leur collaboration.

J'aime beaucoup relire les œuvres de Conan Doyle et suis à chaque fois impressionnée par la qualité du texte qui n'a pas du tout mal vieilli.

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Sherlock Holmes : Une étude en rouge (Ecrit d..

Voici la toute première aventure de Sherlock Holmes et le Docteur Watson... la genèse de l'œuvre. Celle où la rencontre entre les deux protagonistes se fait. Je crois qu'il est intéressant, lorsqu'on entame une ''série'' de commencer par la première et je suis ravie de l'avoir débuté par le début. Les capacités de déduction de Holmes sont phénoménales, ça je le savais, mais c'est agréable de suivre son raisonnement. Ici, en plus de nous fournir une belle intrigue, Doyle m'a fait une petite leçon d'histoire de la religion mormone et son déplacement vers Salt Lake City. J'aime beaucoup cet alliage policier et histoire. Bref, j'ai découvert avec grand intérêt un très beau personnage de la littérature anglaise ! Vivement d'autres aventures.
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Sherlock Holmes : Une étude en rouge (Ecrit d..

Le début des enquêtes de Sherlock Holmes ! C'est dans cet épisode qu'il rencontre le docteur Watson et commence à nous impressionner avec ses incroyables déductions. C'est toujours spécial d'assister à la naissance d'un mythe et c'est avec émotion que j'ai relu ce classique dont je ne me souvenais pas du tout, normal après une cinquantaine d'années. . . Toujours est-il que j'ai dévoré cette histoire dont une bonne partie se déroule dans l'ouest américain; étonnant !



Il y a tellement de séries et de films portant sur Sherlock, qui le dénature plus ou moins selon les cas, que j'étais curieux de voir si l'original pâlirait devant ses réincarnations modernes. Hé bien non, le charme opère à plein, rien n'est désuet ici. Autant Holmes que Watson sont rapidement bien campés, le lien avec Lestrade aussi, la dynamique du trio installée et le ton à la fois austère et sympathique apparaît déjà. Ce personnage est un grand classique et a fait un nombre incalculable d'émules. Qu'il soit encore appréciable plus d'un siècle après sa création en dit long sur la qualité de l'œuvre. Depuis quelques années je relis tranquillement les aventures d'Arsène Lupin et j'ai bien l'intention d'en faire autant avec celles de Sherlock. Dans un cas comme dans l'autre on ne s'ennuie pas !
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Sherlock Holmes : Une étude en rouge (Ecrit d..

Je continue à explorer l'univers de Sherlock Holmes avec énormément de plaisir et de jubilation, ici je vais vous parler du tout premier récit de Conan Doyle, "Une étude en rouge", qui va nous parler de la toute première rencontre D'Holmes et Watson, un régal !

Etrangement, et contrairement à mes habituelles convictions, je pense qu'il est plus intéressant de connaître déjà le duo pour apprécier au mieux cette rencontre et ce même si le respect de la chronologie pourrait faire penser le contraire, j'ai trouvé cette rencontre tout à fait jubilatoire.

J'ai aussi aimé cette toute première enquête que j'ai trouvé brillante, et j'ai surtout aimé l'ensemble de l'intrigue et ses deux parties, la première à Londres et la seconde en Amérique. Un scénario solide et inventif, une intrigue carrée, je comprends que ce premier essai ait été transformé par la suite avec le bonheur que l'on sait.

J'ai pour l'instant apprécié toutes mes lectures autour de Sherlock Holmes, j'adore cet univers sans réserve.
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Sherlock Holmes : Une étude en rouge (Ecrit d..

Tout le monde connaît Sherlock Holmes. C'est un fait. Comme lorsqu'on parle des Agatha Christie, on parle des Sherlock Holmes.

Mais Holmes n'est pas l'auteur, c'est le héros. Bravo à Sir Arthur Conan Doyle qui est parvenu, à son détriment, à créer un personnage si iconique qu'il s'efface devant ce génie inventé.

Cette "étude en rouge" nous raconte la rencontre de deux hommes Holmes et Watson et de leur première enquête commune. Une belle introduction où Watson est notre vecteur pour en apprendre plus.

Lorsque Sherlock lui explique ses raisonnements, c'est à nous qu'il s'adresse, ce qui nous immerge dans le récit avec la plus grande habileté.

Mon seul regret est d'avoir vu la fameuse série de la BBC qui dévoile dans son premier épisode plusieurs mystères qui n'en sont plus pendant la lecture.

bravo Sir, je vais continuer à suivre les aventures de votre détective consultant.
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Sherlock Holmes : Une étude en rouge (Ecrit d..

ma deuxième rencontre avec le célèbre Sherlock Holmes !



J’avais déjà lu un recueil de courtes histoires de Sherlock Holmes et j’avoue que je n’avais… Pas vraiment aimé. Les énigmes portaient sur des sujets pas très intéressants et vraiment pas palpitants et je crois que ce n’était même pas raconté par le Dr Watson. Bref, je n’avais pas trouvé ça nul mais je m’étais ennuyée et je n’en gardait pas un bon souvenir. Mais j’ai voulu donner sa chance à Etude en rouge et j’ai adoré !



Comme c’est le premier Sherlock Holmes, nous rencontrons ce dernier en même temps que le Dr Watson et c’est un grand plaisir. On apprends à connaître les deux hommes et j’ai hâte de lire un autre volume pour les retrouver !



L’écriture de l’auteur ne m’a pas parut datée et je l’ai trouvée très entraînante. Le crime élucidé par Sherlock est génial à suivre, surtout avec les yeux de Watson qui le regarde avec des yeux incrédules et admiratifs. Le livre est divisé en trois parties, une première partie où Sherlock Holmes élucide toute l’histoire, une partie où l’on voit l’historie de l’assassin et ce qui l’a poussé à commettre ce meurtre et ensuite la fin de l’histoire de Sherlock Holmes et du Dr Watson. C’est très court mais totalement immersif.



Bref, Etude en rouge est un roman policier extrêmement agréable à lire, où l’on fait la connaissance de Sherlock Holmes et de son acolyte le Dr Watson en même temps qu’eux mêmes se rencontrent. L’intrigue est très bien menée et j’ai hâte de lire d’autres histoires de ces deux personnages !
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Sherlock Holmes : Une étude en rouge (Ecrit d..

Dans ce tome ci nous découvrons la rencontre entre Sherlock et Watson ainsi que ses méthodes de travail ce qui était fort plaisant à lire. La première partie du roman concerne le déroulement de l'enquête ainsi que sa résolution, c'est à dire l'arrestation du coupable. En revanche nous n'avons pas toutes les informations (y compris les motifs de la dite arrestation) et il faut le dire cette partie coupe assez brutalement. Puis la deuxième partie commence et je n'ai rien compris car on se retrouve parmi les mormons. Cette partie nous permet de découvrir comment l'assassin en est arrivé là et j'ai beaucoup aimé ce retour dans le passé, j'étais vraiment à fond dedans. J'avoue avoir été énormément investie et j'ai éprouvé de la sympathie pour les personnages. Et enfin pour terminer nous avons la conclusion de Sherlock Holmes qui est toujours un pur régal à découvrir. Je suis une fois de plus conquise par ma lecture et j'ai hâte de lire les autres Sherlock de la collection. Honnêtement je ne peux que recommander !

Note : 10/10
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Sherlock Holmes : Une étude en rouge (Ecrit d..

Première enquête du duo Holmes-Watson, qui ne devait pas vraiment être un duo pour Conan Doyle...



Watson revient de la guerre en Afghanistan. Convalescent, il cherche un logement pas trop cher. Un ami lui parle d'un original qui fait des expériences médico-chimico-physico-(il)légales dans son laboratoire. Watson et Holmes se rencontrent et optent pour le 221B Baker street. C'est emballé pesé en très peu de pages. Car l'essentiel pour Conan Doyle est ailleurs. J'y viens.



Ensuite, on a quelques pages sur ce qui va devenir la marque de fabrique de Conan Doyle, et les prémisses de la police scientifique: les déductions et la pensée analytique de Holmes.



Puis survient le double meurtre de deux ressortissants américains. Le premier empoisonné dans une maison abandonnée, le second poignardé dans la chambre de la pension où il demeurait avant de partir pour Liverpool. Holmes proclame qu'il voit clair dans ce double meurtre. Fin de la première partie, assez courte.



Début de la deuxième partie qui projette le lecteur en Utah, où une caravane de mormons recueille un homme (John Ferrier) et une jeune fille (Lucy) en plein désert, où ils seraient morts de soif et de faim, assurément. N'écoutant que leur bon coeur, les mormons monnaient leur aide contre une conversion à leur foi... De sacrés gaillards, ma foi !



A Salt Lake city qui se construit peu à peu, John Ferrier fait fortune au sein de la communauté, mais ne se marie pas. Il élève Lucy, devenue sa fille adoptive. Les pressions mormones sont de plus en plus vives pour que Ferrier soit polygame, ce qu'il refuse, et ensuite pour qu'il marie Lucy à un fils d'un des deux plus hauts dignitaires de la communauté. Or, Lucy aime Jefferson Hope, un "gentil", c-à-d un extérieur à la communauté. John Ferrier n'a qu'une possibilité : fuir avec Lucy et Hope. Hélas ils sont repris, Ferrier est assassiné, Lucy est obligée d'épouser un homme qu'elle n'aime pas, elle meurt peu après. Hope jure de se venger, il suit Stangerson et Drebber en Angleterre, où ces deux péquenots pensent être en sécurité (ils ont peur de Hope...). Fin de la deuxième partie.



Cette partie est longue, le style est plus travaillé que dans la première partie. C'est le corps du court roman. On est à l'origine dans du pur roman d'aventures. Pour l'anecdote, Conan Doyle emprunte le propos à R.L. Stevenson (qu'il apprécie). Il veut faire de Hope le personnage central du roman. Se mêlent également des influences de E.A. Poe (Auguste Dupin) ou de Gaboriau (influencé lui-même par Poe).



La troisième partie est très courte. On a droit (petit pataquès) de nouveau aux mêmes déductions et pérégrinations analytiques de Holmes. Redite assez étrange, d'ailleurs. Clap de fin.



Conan Doyle mettra un moment à fourguer son roman. Il en vend les droits (selon Wikipedia) contre 25 livres sterling de l'époque. Ce n'est pas un mauvais deal, mais ce n'est pas une somme fabuleuse non plus. Le roman mettra ensuite 1 an à être publié. On ne peut pas en vouloir à l'éditeur... On se demande qui est le personnage principal. Holmes, Watson, Hope... sans oublier Gregson et Lestrade. Watson, outré par le fait que les lauriers reviennent à deux policiers qui n'ont rien fait, proclame haut et fort, face à un Holmes magnanime, qu'il va faire éclater la vérité... les carnets du Docteur Watson sont nés.



Au final, cela manque d'équiilibre, comme si Conan Doyle était devenu le prisonnier de Holmes (calqué sur un professeur d'université qu'il a fréquenté avec R.L. Stevenson)... comme si ce dernier avait pris le pas sur Hope. Simenon a dit un jour que le personnage principal échappait souvent à son auteur... Ici, Holmes n'est clairement pas encore "fini" ou défini. C'est un original, mais pas encore le misantrhrope imbu de lui-même que l'on aura par la suite. Mais tous les ingrédients sont là, et bien là, et Conan Doyle saura le reconnaître. Plus étrange, on découvre un Conan Doyle se dressant contre la communauté mormone. Il écrira plus tard un roman sur le Congo où il dénoncera les exactions de Léopold II, devenu roi des Belges. Ici, il dresse un portrait des mormons qui conduirait presque le lecteur à absoudre Hope pour son double crime.
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Sherlock Holmes : Une étude en rouge (Ecrit d..

Il s’agit du premier titre du plus célèbre des enquêteurs anglais : sherlock holmes. On assiste donc à la première rencontre avec le Docteur Watson. Celui-ci raconte cette première enquête à la première personne avec ce style anglais que j’apprécie tout particulièrement.



On assiste donc à une enquête avec un déroulé qui m’a agréablement surpris. Ça pourrait certes être un peu tiré par les cheveux mais les détails sur lesquels notre enquêteur s’arrête sont assez fascinant, je dois dire. L’histoire est donc originale, la fin insoupçonnable.



Mon premier roman sur Sherlock était « Le chien des baskerville ». Je l’avais apprécié sur le moment mais avec du recul, j’ai l’impression que ce roman m’avait déçu dans le sens où le charme anglais me semblait un peu absent de ce roman. Mais ce n’est peut-être qu’un souvenir tronqué. En tout cas, cette nouvelle lecture m’a convaincue de lire l’intégrale de Sherlock. Encore une résolution que je vais avoir du mal à tenir …

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Sherlock Holmes : Une étude en rouge (Ecrit d..

Une étude en rouge narre la première rencontre entre Sherlock et Watson et ainsi la première enquête entre les deux et que dire si ce n'est que c'est une réussite !



L'histoire avait été librement adapté par la série TV Sherlock et c'est avec plaisir de redécouvrir certains moment notamment la rencontre entre les deux.



L'enquête en elle-même parle de deux morts suspectes et reliées par le mot "RACHE". Nous allons donc suivre la résolution de l'enquête au travers les yeux de Watson découvrant petit à petit les impressionnantes déductions de son colocataire.



Une enquête classique, entrecoupé d'un long flashback qui arrive maladroitement à mon sens mais une fois accepté, je trouve que le roman est une belle réussite. Le flashback est très intéressant, l'enquête est surtout intéressante pour le cadre. Comme d'habitude la lecture est fluide et c'est un grand plaisir de retrouver Sherlock par Conan Doyle qui propose plus d'émotion avec sa série principale qu'avec le Monde Perdu !
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Sherlock Holmes : Une étude en rouge (Ecrit d..

Un étrange récit que ce premier roman de Conan Doyle.

Première rencontre entre Sherlock et le Dr Watson. Premières excentricités, première enquête, retracées, comme ce sera souvent le cas, par le Dr Watson. Jusque là, que du très classique et du très bon pour qui aime le genre.

Et puis, cette histoire dans l'histoire qui nous transporte littéralement au fin fond des États-Unis, en pleine nature hostile. Le récit premier est coupé, tranché net, ce qui est assez perturbant. Bien sûr, cette histoire fera sans doute sens mais comment ?

J'ai beaucoup aimé ce roman d'introduction. J'ai beaucoup aimé la disruption. Une étrange affaire. Un peu tirée par les cheveux me direz-vous ? Peut-être mais un plaisir à lire !
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Sherlock Holmes : Une étude en rouge (Ecrit d..

Sherlock Holmes, tout le monde connaît. Mais tout le monde n’a pas lu ses aventures ! Et bien j’étais de ceux-là. De films en jeux de rôle, de dessins animés en émissions de télé, je croyais bien connaître le fameux héros d’Arthur Conan Doyle. Et bien pas du tout !!



Sherlock Holmes, ce sont 4 romans parsemés de plus de 50 nouvelles, qui s’égrènent au fil du XIX siècle s’achevant. Et pour bien comprendre qui est Sherlock, qui est Watson, et comment tout cela commence, il faut évidemment commencer par le commencement : Une Etude en Rouge.

Nous voilà donc plongés dans le Londres des années 1880. Watson arrive des Indes, Holmes débute sa carrière de détective et les deux protagonistes se rencontrent à la faveur d’une recherche de colocataire commune ! Surprenant, mais c’est ainsi que débute l’histoire. C’est Watson qui nous conte le récit. Et qui en profite pour mettre en évidence le talent hors norme de Holmes pour l’analyse et la déduction. Elémentaire pour un détective, certes. Mais là, c’est hors norme !



Cette première énigme meurtrière est donc l’occasion de poser les choses, d’introduire les personnages, de cadrer le décors. La méthode de Conan Doyle est néanmoins assez surprenante. Une première partie déroule les faits, les indices, nous pousse à supposer un scénario jusqu’à ce que Sherlock Holmes dévoile le coupable. Une seconde partie nous plonge dans le passé afin de comprendre la genèse de l’affaire. Et enfin, la conclusion révèle une solution qui n’en est que plus limpide.



Avec Conan Doyle, la description est permanente et les dialogues vont à l’essentiel. Et puis ce premier opus des aventures de Sherlock Holmes donne envie de rester dans ce Londres parfois sombre et mystérieux qui rappelle inévitablement l’épopée sanglante de Jack l’Eventreur. Une bonne « découverte » que cette « Etude en Rouge » !
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Sherlock Holmes : Une étude en rouge (Ecrit d..

Pour changer de Jules Verne et écouter des romans ne nécessitant pas une grande concentration, j’ai choisi d’écouter l’œuvre de Conan Doyle dans l’ordre chronologique de parution car cela permet de comprendre l’évolution des personnages.



Ainsi dans « une étude en rouge » on apprend qui sont Sherlock Holmes et le Dr Watson, et comment ils font connaissance. C’est finalement un roman très moderne puisqu’ils font de la colocation avant l’heure. En effet tous les deux sont désargentés. Watson est un soldat rentrant de l’Afghanistan (et oui déjà ou encore suivant comment on se place). Il est malade et sans le sou. Une de ses connaissances va le présenter à Sherlock Holmes. Et le reste du roman est l’occasion de découvrir le détective et ses méthodes. Pour le reste l’énigme est un double meurtre avec des racines très profondes et très anciennes. Cela va être l’occasion de découvrir les mormons, la découverte de l’Ouest Américain.



J’ai deux interrogations sur ce roman.



Sachant que Rache veut dire vengeance, ce mot qui doit mener les enquêteurs vers les politiques, est finalement un bon indice. Enfin je n’ai pas compris l’intérêt de faire du criminel, un mourant, surtout sachant qu’il se débat comme un beau diable quelques pages auparavant. C’est peu crédible.

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