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Critiques de Sir Arthur Conan Doyle (2331)
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La Figure Jaune et autres Aventures de Sher..

« Norbury »… Le train mène Holmes et Watson vers cette ville du sud de Londres pour enquêter sur une affaire annoncée « délicate ». Le client Grant Munro, un prospère marchand de houblon, pense que sa jeune épouse pourrait être victime d’un chantage manigancé par son nouveau voisin, un homme secret qu’il n’a jamais vu et qu’elle rencontre en cachette. Depuis quelques jours, malgré le caractère enjoué et aimant de sa femme, une aura de mystères l’assombrit et émousse leur relation qui était jusqu’à présent idyllique.

Chantage ou infidélité, Munro souhaite que Holmes lui donne sa vision de l’histoire.



Watson débute cette chronique en précisant qu’il a toujours voulu se montrer honnête dans ses écrits et que sur la douzaine d’enquêtes où son ami s’est montré moins brillant qu’à son habitude, celle-ci en faisait partie.

Lorsque Munro se rend au 21 Baker Street, Holmes est dans une phase d’ennui profond où toute intrigue est bonne à prendre. Ce n’est pas la banale histoire d’un adultère qui émoustillera sa curiosité, mais un fait étrange, suffisamment curieux pour attirer son attention et le faire se déplacer… En approchant de la maison de son voisin, Munro a vu un personnage terrifiant derrière l’une des fenêtres. Le terme exact qu’il emploie est : « inhumain ». L’énigme prend alors une dimension bien ténébreuse…

Je vous laisse le plaisir de découvrir le fin mot de l’histoire qui est comme toujours, étonnant sur bien des points, surtout dans cette Angleterre très conservatrice. Vous partagerez alors la surprise avec Holmes et Watson !



« – Watson, si jamais vous avez l’impression que je me fie un peu trop à mes facultés, ou que j’accorde à une affaire moins d’intérêt qu’elle ne le mérite, alors ayez la bonté de me chuchoter à l’oreille : « Norbury ! » Je vous en serai toujours infiniment reconnaissant. »



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La grande ombre

L'Europe tout entière est sous la menace de la «grande ombre» de Napoléon Ier.

Jock, nous narre son enfance, son adolescence, et comment il s'est retrouvé sur le champ de bataille de Waterloo.

La Grande Ombre est un roman historique palpitant, passionnant.
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La grande ombre

Beau roman écrit magnifiquement, empli d'humanité où ni la polémique ni le chauvinisme n'ont leur place. Au coeur de la bataille de Waterloo un jeune écossais nous raconte les horreurs et la stratégie de la bataille du côté anglais. Conan Doyle part d'une histoire de famille rurale et nous conte dans un style agréablement pur les interactions amoureuses de 3 hommes et d'une jeune fille bien peu respectable, sans jamais critiquer les caractères de chacun.
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La grande ombre

Sir Arthur Conan Doyle, le père du célèbre détective "Sherlock Holmes" ne nous livre pas là un roman historique mais nous offre un récit dans "l'Histoire".

Jock Calder, fils d'un métayer écossais et son ami Jim Horscroft sont amoureux d'Edie Calder, cousine du premier.

Mais c'est un étranger mystérieux, survenu sur la plage le jour de l'armistice signé entre la France et l'Angleterre, qui l'enlèvera vers la France à l'aube des 100 jours.

Jim, ivre de jalousie se lance à sa poursuite et se trouve en compagnie de Jock enrôlé parmi les combattants de la bataille de Waterloo...

Mis à part la description de la bataille de waterloo qui permet à l'auteur d'afficher son pacifisme, les évènements historiques ne sont dans ce récit qu'évoqués pour servir de décor à cette histoire passionnante que nous raconte avec brio Conan Doyle dans un style moderne qui n'a pas pris une ride.
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La grande ombre

Dans une ferme écossaise, le narrateur , Jock Calder; mène une vie semblable à celle de son père à son âge et à celle tant de générations avant lui. Rien ne le prédispose à quitter jamais les lieux mais même là-bas, à l'abri, la grande ombre qui plane sur l'Europe agite tous les esprits. C'est lui, Boney, Napoléon, l'Empereur français, fascinant et détesté, qui donne son titre au roman.



La grande ombre est un récit qui prend l'histoire par le petit bout de la lorgnette et de l’Écosse à Waterloo, c'est sa vie que Jock nous raconte, sa vie et comment le hasard, et aussi la soif de grandeur de sa cousine, le jetteront dans les derniers soubresauts de l'Empire. La marche de l'histoire n'est qu'un prétexte pour Conan Doyle qui nous raconte, avec brio d'ailleurs,la façon dont la vie s'écoule dans cette ferme paisible avec la menace du débarquement français dans tous les esprits. Plutôt qu'une armée, ce sera un Français en fuite, cherchant à échapper à on ne sait quoi, alors que Napoléon est enfermé à Elbe et que l'Europe pense en avoir fini avec lui... Évidemment, l'épopée napoléonienne ne s'arrête pas là et Jock nous entraînera plus loin, jusqu'à la Belgique, jusqu'à la guerre et à Paris dans un roman excellent et de grande qualité.



Si ce n'est pas pour ses romans historiques qu'Arthur Conan Doyle est le plus connu, celui ci rappelle tout de même que le père de Holmes avait moult cordes à son arc et que toute son oeuvre vaut le coup d'être découverte!





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La grande ombre

La Grande Ombre, que Conan Doyle plaçait au premier rang de son oeuvre, est une belle réussite.

S'y entremêlent avec beaucoup de charme une histoire intime et un grand souffle épique, qui conditionne de loin cette très simple existence, l'emporte soudain, la modèle puis s'éteint enfin dans la paix revenue. Le personnage principal n'a sans doute pas un grand relief, mais il sait en donner à ceux qui l'entourent, tout particulièrement ces deux figures ambiguës, séduisantes malgré tout, que sont la belle cousine et l'intrigant français. Aussi ambigus, à leur manière proche, qu'est à sa manière lointaine l'Empereur, cette ombre maléfique et admirable à la fois. Les passages qui l'évoquent sont parmi les plus beaux du roman, qui rendent avec beaucoup de force et de subtilité l'impact profond de l'aventure napoléonienne.



Il est bien dommage que ce texte soit si peu réédité, et globalement si méconnu.
Lien : http://ys-melmoth.livejourna..
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La grande ombre

He bien, là, on s'éloigne carrément de Sherlock et de toute forme d'enquête policière. Ici le père de Sherlock Holmes nous entraîne dans une Europe où une grande ombre agite les esprits, anime les rumeurs, même dans les contrées les plus éloignées comme à West Inch. La grande ombre n'est autre que celle de Napoléon, qui même en période de chute, étant retranché dans l'île d'Elbe, continue à être brandit comme un serpent mort...



C'est dans cette atmosphère que Conan Doyle nous fait vivre, à l'instar des faits historiques, une histoire d'amour, de défi, de rivalité, de dignité ou d'honneur à travers son narrateur Jock Calder qui, nous raconte avec entrain son engagement et celui de son ami Jim Horscroft dans l'armée, dont le seul but est de poursuivre une ombre liée à la grande ombre qui aurait séduit et arraché leur amour de jeunesse qui n'est autre que sa cousine Edie Calder.... Ils se livrent alors à une chasse à l'homme...



On s'y plait vraiment dans ce livre où la soif de vengeance, la fougue des cœurs brisés, de même que le retour triomphal de Napoléon aux affaires bouleversant l'histoire elle-même régulent le dynamisme du récit!





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La grande ombre

Le personnage de Sherlock Holmes a tellement vampirisé son créateur que la plus grande partie des romans et nouvelles d'Arthur Conan Doyle sont souvent relégués aux oubliettes de l'histoire.



Or justement les romans historiques de Conan Doyle sont ceux que l'auteur préféraient parmi sa production et plus particulièrement cette Grande ombre, dont il déclarait : Je le place au premier rang de mon œuvre. Et il avait raison même si d'autres romans ou recueils de nouvelles sont à placer dignement dans votre bibliothèque, dont Rodney Stone, ou la série des Exploits du Professeur Challenger dont Le monde perdu.



Cette grande ombre, c'est naturellement celle de Napoléon Bonaparte, Boney pour les Anglais, qui se profilait sur toute l'Europe mais n'a jamais pu atteindre en totalité la Grande-Bretagne. Cet homme qui avait étendu au dessus de toute l'Europe cette grande ombre, qui avait plongé les Nations dans les ténèbres...



Âgé de cinquante-cinq ans, Jock Calder, né à West Inch, placé à la frontière entre l'Ecosse et l'Angleterre, avec vue sur la Mer du Nord, se remémore son enfance et les tribulations qui en découlèrent.



Son premier exploit, involontaire, alors qu'il est en internat scolaire à Berwick, son amitié avec Jim, plus vieux que lui et qui veut devenir médecin comme son père, ses premiers émois ressentis envers sa cousine Edie. Celle-ci, d'un an plus jeune que lui, est devenue orpheline et dépense sans compter son héritage familial. Elle se montre aguicheuse, futile, et bientôt les deux amis se disputent ses faveurs.



Mais le grand tournant dans la vie de Jim se produit lorsqu'il récupère un naufragé qui vient de s'échouer à bord d'une barque. L'homme est mal en point, assoiffé, affamé, et s'il n'a pas de ressources alimentaires, il possède une sacoche garnie de pièces d'or.



Il dit s'appeler Bonaventure de Lapp, et a vécu mille vies sur les champs de bataille, ne comptant plus les combats auxquels il a été mêlé. Le visage buriné, il parait plus vieux que son âge. Un major en retraite, voisin des parents de Jock le reconnait pour l'avoir côtoyé quelques années auparavant, les armes à la main. Jock est sous le charme de Bonaventure et des exploits qu'il a réalisé. L'homme vit chez les parents de Jock et paie royalement le gîte et le couvert.



Mais insidieusement Bonaventure de Lapp va semer la zizanie entre Jock, Jim et Edie qui se montre toujours aussi aguicheuse. A nouveau la guerre, que certains, dont le major, pensaient éloignée pour des dizaines d'années, se profile à l'horizon. Boney s'est échappé de l'ile d'Elbe et des milliers de soldats se sont ralliés à sa cause et son charisme.



Alors que Bonaventure a déjà embarqué depuis quelques semaines quittant West Inch, Jim et Jock partent sur le sol belge, et participent à la bataille de Waterloo.



La suite ci-dessous :
Lien : http://leslecturesdelonclepa..
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La grande ombre

Récit romanesque articulé autour d'un triangle amoureux ou plutôt un carré finalement et raconté par un narrateur vieillissant. Un jeune homme vivant dans les landes anglaises au 19eme siècle est bientôt rejoint chez ses parents par sa cousine durant les guerres de coalition interminables contre Napoléon.



Un jeu de séduction s'engage avec elle puis avec l'ami du jeune homme qui se destine à la médecine. Elle choisira finalement de se marier avec un soldat de la grande armée qui avait rejoint, blessé, les cotes anglaises tandis que Napoléon doit s'exiler à l'ile d'Elbe. Le couple quitte discrètement l'Angleterre.



Les deux anglais décident de se venger de ce français en s'engageant lors d'une nouvelle guerre de coalition avec un vétéran habitant non loin de chez eux. L'occasion leur en sera donné à la bataille de Waterloo où on y revit un fait d'arme de la bataille : Les Highlanders en carré résistant aux charges des cuirassiers français.



L'honneur sera sauf même si il se situe plutôt du coté masculin. Souffle et grands sentiments alimentent ce court récit qui démontre de nouveau les qualités d'écriture de Conan Doyle. On y sent tout à la fois de la crainte mais aussi du respect envers la grande armée de Napoléon.
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La grande ombre

À l'heure où l'on commémore le bicentenaire de la mort de Napoléon, la lecture d'un roman historique sur l'empereur français s'est imposée. J'ai choisi le point de vue d'un auteur écossais dont les qualités de narrateur ne sont plus à démontrer. Avec "La grande ombre" publié en 1892 Arthur Conan Doyle est surprenant et cette surprise est plutôt agréable.

Tout d'abord on n'attend pas le créateur de Sherlock Holmes dans un genre historique inspiré par l'histoire de France et plus précisément par l'époque napoléonienne. Et puis, la trame principale est centrée sur une histoire d'amour car ces messieurs ne seraient pas allés se battre à Waterloo en 1815 s'ils n'étaient pas amoureux de la même jeune fille.

Jock Calder est le narrateur, il se souvient de sa jeunesse à West Inch quand sa cousine Edie éblouissait les siens par sa présence. Son rêve était de l'épouser. Pourtant elle lui préférera son ami Jim Horscroft à qui elle promet le mariage. Mais c'est sans compter sur l'arrivée impromptue d'un homme secret qui réussira à séduire la belle. C'est donc sur le terrain de bataille que se retrouveront les trois jeunes gens dont deux du côté de l'armée anglaise face à l'ennemi français.

Si cette vengeance amoureuse se situe en période de guerre avec un point d'orgue à Waterloo, l'auteur nous fait sentir l'ombre menaçante de Napoléon, omniprésente depuis le début du XIXe siècle.

Moi qui ne suis pas une adepte du genre et si j'ai trouvé que la partie la moins intéressante était la description des combats, l'habilité littéraire d'Arthur Conan Doyle m'a fait aimer ce roman y compris pour son intérêt historique.





Challenge Riquiqui 2021

Challenge Coeur d'artichaut 2021

Challenge XIXème siècle 2021

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La hachette d'argent

Sir Arthur Conan Doyle, Le père de Sherlock Holmes, a aussi déployé tout son talent dans le domaine du fantastique et même de la science fiction.

Dans ce recueil de dix nouvelles ce talentueux auteur nous fait voyager dans le temps et dans l'espace, de l'Empire romain aux 55 jours de Pékin et de l'alchimie à la réincarnation.

Conan Doyle est un nouvelliste formidable, outre ce livre indispensable il faut aussi découvrir dans la même collection et du même auteur "L'horreur des altitudes" et les nombreux contes et nouvelles insérés dans ses oeuvres complètes.
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La hachette d'argent

Dix nouvelles parfois effrayantes, mais toutes réunies par l'imagination et le mystère.
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La main brune et autres nouvelles

Cet ouvrage se compose de quatre courtes nouvelles:



•La Main Brune

•Retiré des Affaires

•Le Docteur Noir

•L'Etrange Collègue

Pour une fois, Sir Arthur Conan Doyle ne met pas en scène son célèbre détective, Sherlock Holmes. Chacune des nouvelles se concentre sur d'autres personnages, même si je trouve l'ambiance de ces histoires assez proche de celle que l'on retrouve dans les romans dont Mr Holmes est le héros.



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La main brune et autres nouvelles

La main brune d’Arthur Conan Doyle se compose de 4 nouvelles passant du récit fantastique à une enquête à la Sherlock. Ayant beaucoup apprécié 2 de ces nouvelles pour leur originalité, les 2 autres m’ont laissées indifférente. Mais s’agissant de nouvelles, la lecture en est courte et on change rapidement d’univers. Il était quand même intéressant de lire cet ouvrage ne mettant pour une fois pas en scène son célèbre détective. C’est ce qui a d’ailleurs motivé mon choix de lecture.
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La main brune et autres nouvelles

Oui, pour une fois que je lis autre chose que LE Sherlock Holmes de Conan Doyle, ça à le mérite d'être souligné.



Au départ, je pensais que ce court roman (112 pages) ne concernait que une seule aventure.



Et bien non, il y en a quatre en tout :

1. La Main brune

2. Retiré des affaires

3. Le Docteur noir

4. L’Étrange Collègue



La première a un petit côté fantastique qui ne m'a pas déplu. Je ne m'y attendais pas, persuadée d'avoir une explication logique à ce phénomène étrange. Et bien non !



Pour la deuxième, bof. Moins bien que la première, selon mon petit avis.



La troisième m'a plu parce qu'elle avait un petit côté "enquête" que n'aurait pas renié le détective de Baker Street.



La quatrième était correcte.



Pas de quoi casser trois pattes à un canard, mais de quoi passer un chouette petit moment de lecture.

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La maison vide et autres nouvelles

Rajouté à la fin une critique d'une autre édition que j'ai lu... Mauvaise politique de Babelio... qui ne nous laisse pas relire les livres et critiquer différentes édditions... ils devaient pourtant savoir que ces éditions avec compléments, présentations difféentes ou traduction... ne osnt pas toujours égal... ( on ne peut pas dire qu'ils ont d'ailleurs une attitude correcte pour la litératue adolescent... ni la littérature tibétaine pas reconnue ici... dommage depuis ce qui se passe au Tiber depuis 1950!, enfin passons)

D'abord je dirai, si vous n'avez pas encore lu le problème final, courez vite le lire... C'est assez court... Inutile de lire la maison vide, qui est la suite, tant que vous n'avez pas lu le problème final... Au début du roman nous trouvons un Watson seul, qui se passionne encore pou les affaires criminelles mais qui n'est pas aussi doué que son ami., Cette courtes nouvelles (la plupart des histoires de Sherlock Holmes sont des histoires courtes, il doit y avoir seulement 4 ou 5 longue nouvelles et roman c'est tout! Avis aux amateurs d'histoires courtes qui ne veulent pas lire des romans fleuves!!), cette histoire courte, donc il faut le savoir est une histoire qui réconcilie l'auteur avec son public après une polémique lancé par l'écriture d'un problème final.... Si l'intrigue est bien menée ce n'est donc pas la seule raison de lire la nouvelle....

Deuxième citique, suite à la lecture d'une autre édition, celle de RBA... il serait politiquement correcte que l'on puisse faire plusieurs citique et notation de plusieurs éditeurs... cetains étideuteurs.... et là c'est une critique du site Babelio, faisant plus d'effort que d'autres, et c'est le cas des Editions RBA.... merci d'acepter enfin une critique par édition, ce serait plus correcte, ainsi que de ne pas mettre ensemble des recueils aponymes d'une nouvelle, avec une édition d'une nouvelle seule... déjà signalé au site... aucun effort fait en se sens... c'est pitoyable....

Mais revenons à la version RBA.... et justement, plus que d'habitude j'ai quelques chose à dire sur cette édition... car dans le livret du suplément de 7 pages, il y a noon pas vraiment une erreur, mais franchement une caricature et une erreur de terme... certainement parce que les maisons d'éditions n'emplois bien souvent que des littéraires et pas des scientifiques...

Revenons sur ces 7 pages de suppléments : d'abord il y a les deux pages de présentation de la nouvelle éponyme , là rien à redire... là oou cela ce gâte un peu, c'est sur le discours sur l'anatomie... Non Sherlock Holmes ne s'interesse pas à l'anatomie (ouvrer un livre d'anatoomie, vous verez qu'il n'y a rien sur le médicaux légale, ni sur la physiopathologie, ni sur les poisons qui vont interrer SHerlock Holmes, ce sont des ouvrages ardus, surtout en angiologie et en neurologie... des coonnaissances pointus qui n'interressent pas nootre détective.... ce qu'il aura dans sa bibliotèque, c'est un live de physiopathologie, et un live sur les poisons... pour bien comprendre ce que l'on appelle l'autopsie externe (sans ouvrir le corps!) car Sherlock Holmes n'est qu'un privé... il n'assiste pas à des ouvertures du corps... mais peu trainer dans les morgues et se livrer, on le vois dans le premier livre l'Etude en Rouge, à quelques expéiences sur des cadavres non réclamés (surtout quand il n'y a pas de famille) mais ce sont des expériences sans ouverture du corps (notamment de coup poter à un cadavre pour voir s'il y a exchimose post mortem, et observer extérieurement ce qui se passe en surface duu corps...) dommage... et même si Holmes traite dans un ouuvrage de l'anatomie externe qui lui sert pour l'affaire La boîte en Carton... c'est encoe l'anatomie externe qui est observé pou montrer que les deux oreilles appartients à deux individus différents... POur bien comprede, lire les Livres du Dr Philippe Charlier, Médecin des Mots, Autopsie des morts célèbres ouvrez quelques cadavres les grands crimes de l'histoire.... et vous vous apercevrez, qu'en occident, on dissèque beaucoup (pas assez oui mais beaucoup) et surtout beaucoup plus qu'en Orient (la médecine Chinoise a été supérieure pendant bien longtemps sur les gens malades, beaucoup moins porté contrairement à ce que l'on dit sur des coyanaces abhérentes courantes en occident, obscurantisme clérical de loccident très courante, mais pas en Asie... mais en Asie on ne dissèque que très peu... le corps interne est très mal connu... Cependant... quandd on vois ce qu'on a infligé à Anne d'Autriche au niveau de son cancer du sein, bien force et de constaté, si cela sert beaucoup à la chirurgie sur les champs de bataille... on comprend moins bien les tumeurs qu'en Chine... même si celle -ci n'a pas d'explication scientifique... La chirurgie est très évoolué en ooccident... et même Léonard de Vinci... connaissait mieux l'anatomie interne certainement que SHerlock Holmes qui s'occupait plus de l'extéieur... Donc une petite amélioration est à doonné à ces deux pages;.. mais qui fournissent quand même bons nombrees d'informations utiles... sur les améliorations de l'époques... même si c'était plus avancé qu'ils ne le disent... et quand on lit Algues Vertes, on s'aperçoit ( et d'ailleurs le médecin Philippe Charlier le dénonce aussi) que malgré l'affaire du Téflon dénoncer par le film Dark Water, dans beaucoup d'affaire d'environnement ( et d'accident de la route et de négligeance ou d'ignorence tout cours) on ne fait pas assez d'autopsie pour y remédier... aussi oui les problèmes n'ataient pas que du temps de SHerlock Holmes, ils n'ont pas été totalement résolues.... Ensuite de nouveau, deux page sur une affaire de collier... et là même si c'est interressant, on a envi de ce dire quels rapport avec le volume... mais ce n'est pas très grâve.... c'estquandd même interressant....La 7 e page porte sur un détective que je ne connais pas, du Nom de Eam Epade... Comme quoi... RBA méritait vraiment une critique à part.... Contrairement à la politique de Babelio... parce qu'ils font énoormément d'éffort sur les connaissances intéllectuelles et pour pomouvoire d'autres livres....Un détective qui nous entraine outreatlantique, en pleine prohibition et pendant la grande dépression... un Climat focément peu connu de notre grand détective Londonien... Quand au recueil lui même... La maison vide, nous fait revenir un homme que l'on croyait mort... qui enquétait dans l'ombe sur ses ennemis, L'entrepreneur de Norwood, nous décrit une des plus complexe et sombre machination de vengeance, avec un client qui arrive alarmé chez Holmes sachant déjà que la police va survenir pour le suspecter de meurtre!. Les hommes dansants nous parle de méssage codé.... mais comme la nouvelle suivante la cycliste solitaire... on nous y parle beaucoup de condition féminine, la première nouvelle en Amérique, et la seconde en Angletere, l'école du Pieuré nous parle un peu de ferrure d'animaux (chevaux et boeuf) mais aussi des tentions dans certaines familles de la haute société, et leurs secrets de famille.... Tandis que Peter le Noir nous parle d'un dôle de fait divers... auxquel fait allusion la série SHerlock : pourquoi dans la série voit-on Bénédict Cumberbatch revenant à son logis ensanglanté avec un harpon suite à une des expériences du fameurs détective... et bien pour comprendre... il faut lire cette nouvelle... La série SHerlock est vraiment une invitation à lire... alors que la série avec Jéémy Brett, très réussi, est plus une pésentation de l'oeuvre presque telle quelle de COnan DOyle.... avec quelques changement sependant... et ne traitant pas quelques rares histoire de l'écrivain... pour les lecteus passionnés du détective.... je recommande particulièrement ces deux séries... tout en se eplongeant avec plaisir dans les livres pour repérer les allusions et les différentes .... Bonnes lectures et bons petits écrans... A se propos.... Pour comprende la pésentation d'un scandale en Bohème, intitulé un scandale à Buckingham) regarder un autre film basé sur un braquage dans la banck LLoyd à BACKER STREET.... basé sur une histoire mêlant MI5 MI6 mafia Londonienne, scandale sur la famille royale... et vous compendrez mieux pourquoi la série va si loin.... Bonne léceture et bonne télévision....
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La mémoire de la mer

Ce recueil de nouvelles est sympathique, mais sans plus.



« Le capitaine de l’Etoile Polaire » de Doyle est plaisante car l’on suit le récit du point de vue d’un jeune docteur embarqué sur un navire parti pour les mers froides du nord. On y suit les problèmes que le bateau subit, bloqué par les glaces, tandis que son capitaine montre des signes de folie et qu’une mystérieuse présence flotte autour du bâtiment.

Le côté « romance » mis en avant ne m’a pas super emballé, mais je pense que cela vient du fait que cela est resté un peu trop superficiel. Doyle aurait du plus poussé ce point qui est, je pense, la clé de cette nouvelle. Dommage.

De plus, la toute toute fin est assez surprenante, mais décevante.



« Le port fantôme » est assez originale et c’est la nouvelle que j’ai le plus aimé dans le recueil. Ce que j’ai le plus aimé, c’est la mise en avant de la relation grands-parents/petits-enfants. L’histoire de ce jeune homme est touchante, et aussi horrible dans son dénuement !





Quant à la dernière nouvelle dont le nom m’échappe (je n’ai pas le livre sous les yeux au moment où j’écris ces lignes), c’est l’histoire qui m’a le moins emballé. Évidemment, c’est une romance. Il y a de bonnes idées, mais au final j’ai trouvé le récit assez fade. Le côté fantastique est présent, mais il manque de… mystère.



Un recueil qui se lit bien, vite et qui passe bien le temps. Mais ce n’est pas, hélas, une grande référence.


Lien : http://xian-moriarty.over-bl..
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La nouvelle chronique de Sherlock Holmes

Les aventures de Sherlock Holmes gagnent,années apres annees un charme du a l'age et conservent un rythme et une originalité bienvenue.Ce livre ci rapide et rythmé se lit comme une nouvelle et les expressions devenus mythique comme "élémentaire mon cher watson"ne font qu'ajouter du plaisir a la lecture.
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La nouvelle chronique de Sherlock Holmes

J'ai beau avoir mon intégrale de Sherlock Holmes en édition numérique, je n'ai pu résister à l'attrait de cette traduction française de 1922 (peut-être la première de l'avant-dernier recueil des enquête du célèbre détective!).

Le volume broché m'attendait au fond d'une brocante, avec son prix très modique...

Bonne surprise: entre deux pages holmsiènes, j'ai trouvé -en guise de marque-page- une carte hebdomadaire de transport de la Compagnie du Métropolitain de Paris poinçonnées de ses douze trous correspondant aux six allers et retours auxquels donnaient droit ladite carte.

Le livre a donc été lu dans une de ces rames Sprague du métro, dont le hululement des moteurs emplissaient les tunnels parisiens.

Je ne puis que faire un rapprochement personnel, avec ma visite londonienne, au début de ce siècle, au musée Sherlock Holmes au 221b Baker Street... Devant l'accès à la station Baker Street du métro londonien, se trouve, d'ailleurs, le buste de Sherlock Holmes "himself".

Pierre Lafitte, avait cédé tout ou partie de sa maison d'édition à Hachette. Ce qui explique la parution de l'intégralité des Sherlock Holmes, dans le Livre de poche policier dans la deuxième moitié du vingtième siècle.... Et il est fort probable que ces bouquins aient occupés les voyages quotidiens de quelques usages de la RATP.



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La nouvelle révélation

Une question taraude l'esprit humain depuis la nuit des temps.

Quel mystère se terre derrière le voile noir de la mort ?

L'incertitude et la peur, pour écarter le désespoir, ont conçu la religion.

Ayant terminé ses études de médecine en 1882, Arthur Conan Doyle se définit lui-même comme un matérialiste déterminé, mais profondément théiste.

Et, en 1918, alors que la guerre ensanglante encore l'Europe, il pose le point final à un petit ouvrage intrigant : "la nouvelle révélation".

A l'apogée de sa gloire, le romancier se fait essayiste, de prolifique et imaginatif il devient concis et pragmatique.

Et veut se montrer convainquant.

Oui, mais voilà ... il aborde, ici, les rivages contestés du spiritisme.

Le sujet, nous dit-il, a été défendu, avant lui, par Crookes le fameux chimiste, par Wallace le rival de Darwin et par Flammarion le plus connu des astronomes ... entre autres ...

Arthur Conan Doyle, sa vie durant, va se frotter à des forces encore inexplorées par la science.

Vers 1891, il devient membre de la "Psychical Resaerch Society".

Il prétend ne pas être un crédule aveugle mais un sceptique convaincu.

Et signe, avec ce petit livre, un essai bien étayé et un plaidoyer efficace.

Ce n'est pas spolier l'épilogue d'un terrible suspens que de dire ici que "La nouvelle révélation" est celle de la survivance de l'âme après la mort.

Ce petit ouvrage, fait de philosophie et de théologie, est captivant, déroutant et inattendu.

Il comporte quelques petites incohérences.

Mais le sujet en supporterait bien de plus grosses.

De la "science illicite", Conan Doyle veut faire une perspective de recherche.

Il se propose de mettre sur la table d'étude ce qui mérite de l'être, et de jeter le reste dans la corbeille à papier.

On va me dire, bien sûr, que le père de Sherlock Holmes croyait aux fées, qu'il essaya de convaincre un Harry Houdini incrédule de ses pouvoirs surnaturels.

On ajoutera, d'une manière toute aussi sûre, qu'il est soupçonné d'avoir laissé dans son oeuvre des indices démentant ses "fantaisies".

Oui, mais voilà ... ce petit livre est intrigant et adroit ...





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