Sun Tzu

« Le meilleur savoir-faire n’est pas de gagner cent victoires dans cent batailles, mais plutôt de vaincre l’ennemi sans combattre »

Quand vous êtes capable, feignez l’incapacité. Quand vous agissez, feignez l’inactivité. Quand vous êtes proche, feignez l’éloignement. Quand vous êtes loin, feignez la proximité.

Celui qui n'a pas d'objectifs ne risque pas de les atteindre

Sois subtil jusqu'à l'invisible; sois mystérieux jusqu'à l'inaudible; alors tu pourras maîtriser le destin de tes adversaires.

L’invincibilité se trouve dans la défense, la possibilité de victoire dans l’attaque.
Celui qui se défend montre que sa force est inadéquate, celui qui attaque qu’elle est abondante.

Tout le succès d'une opération réside dans sa préparation.

En tuer un pour en terrifier un millier.

Celui qui excelle à résoudre les difficultés le fait avant qu'elles ne surviennent.

Tout l'art de la guerre est basé sur la duperie.

Une armée sans agents secrets est exactement comme un homme sans yeux ni oreilles.

Ne répétez pas les mêmes tactiques victorieuses, mais adaptez-vous aux circonstances chaque fois particulières.

La guerre est semblable au feu, lorsqu'elle se prolonge elle met en péril ceux qui l'on provoquée.

En conséquence, l'art de mener les troupes au combat consiste en ceci : Lorsque vous possédez la supériorité à dix contre un, encerclez l'ennemi.
A cinq contre un, attaquez le.
A deux contre un, divisez le.
Si vous êtes de force égale, vous pouvez engager le combat.
Lorsque numériquement, vous avez le dessous, soyez capable de battre en retraite.
Et si vous êtes inférieur en tous points, soyez capable de vous dérober, car une petite armée est une proie facile pour une plus puissante.

La doctrine, l'équité, l'amour pour tous ceux qui sont nos subordonnés et, pour tous les hommes en général, la science des ressources, le courage et la valeur : telles sont les qualités qui doivent caractériser celui qui est revêtu de la dignité de Général.

L'art de la guerre, c'est de soumettre l'ennemi sans combat.

Connais ton ennemi et connais-toi toi-même ; eussiez-vous cent guerres à soutenir, cent fois vous serez victorieux ( Article 3 )

Le général court cinq dangers: Téméraire, il risque d’être tué. Lâche, il risque d’être capturé. Coléreux, il risque de se laisser emporter. Chatouilleux sur l’honneur, il risque d’être humilié. Compatissant, il risque d’être tourmenté.

Si nous voulons que la gloire et les succès accompagnent nos armes , nous ne devons jamais perdre de vue : la doctrine , le temps , l’espace , le commandement , la discipline .

Ne poussez pas à bout un ennemi aux abois.

Il est d’une importance suprême dans la guerre d’attaquer la stratégie de l’ennemi.
Attaquez le plan de l’adversaire au moment où il naît. Puis rompez ses alliances. Puis attaquez son armée.
La pire des politiques consiste à attaquer les cités.