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3.58/5 (sur 590 notes)

Nationalité : Japon
Né(e) à : Hamamatsu (Préfecture de Shizuoka) , le 13/05/1957
Biographie :

Kōji Suzuki est un auteur japonais de romans de science fiction.

Il est diplômé de littérature française à l'Université Keiō à Tokyo.

Après un premier roman, "Paradise" (Rakuen, 1990), qui obtient le Japan Fantasy Novel Award, "Ring" (Ringu) est le deuxième roman de Koji Suzuki, parut en 1991.

Dès sa parution, "Ring" devient un best-seller dont le succès du film (1998) tiré de ce roman gonflera d'autant plus par la suite les ventes qui monteront jusqu'à près de trois millions d'exemplaires.

En 1995 il publie "Double hélice" (Rasen/Spiral), le deuxième volet de la trilogie commencée avec "Ring" et obtient le prix Yoshikawa Eiji pour les jeunes écrivains. Il publie "La Boucle" (Rupu), le troisième volet, en 1998.
Il écrit dans un recueil de nouvelles, "Birthday" (1999), le prologue de la trilogie, avec "Ring Zero" (Ba-sudei).

Il est également l'auteur de "Sadako (S)" (2012) et des recueils de nouvelles dont "Dark Water" (Honogurai mizu no soko kara, 1996).

Le film d'horreur japonais "Dark Water" (2002) est l'adaptation de la nouvelle "L'Eau flottante" contenue dans le recueil. Il a reçu trois prix au Festival du film fantastique de Gérardmer en 2003: Grand prix du festival, prix de la Critique internationale, prix du Jury Jeunes.

Il a également écrit plusieurs essais sur le thème du rôle du père dans l'éducation des enfants.
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Source : Éditions Fleuve Noir
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Vidéo de

"Le Cercle : Rings" (2017), film d'horreur américain réalisé par F. Javier Gutiérrez, d'après l’œuvre de Kôji Suzuki. Bande-annonce VF.


Citations et extraits (68) Voir plus Ajouter une citation
Elle sent quelque chose rôder derrière elle. Certainement pas une présence humaine. Une odeur de viande en décomposition imprègne l'air ambiant..., et elle perçoit quelque chose d' inconsistant.
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À l'heure actuelle, la tuberculose n'est plus considérée comme une maladie grave, mais les romans d'avant-guerre y font souvent allusion. Thomas Mann a profité de sa tuberculose, si l'on peut dire, pour écrire son roman La montagne magique, et l'écrivain Motojiro Kajii a décrit les différentes phases de sa propre dégradation physique causée par le bacille de Koch. Mais la découverte de la streptomycine en 1944 et de l'hydrazide en 1950 firent disparaître de la littérature le thème de la tuberculose qui fut désormais traitée comme une simple maladie infectieuse.
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Pour Ando qui cumulait les responsabilités de médecin légiste à l'institut médico-légal de Tokyo avec celles de professeur de médecine légale à la faculté de médecine de l'université de K., seuls les moments durant lesquels il autopsiait des cadavres lui permettaient d'oublier la mort de son fils adoré. Ironiquement, s'occuper de cadavres inconnus le délivrait de la pensée obsédante de la mort de l'être qui lui était le plus cher.
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Un écrivain observe les gens et les paysages à travers son propre filtre et les exprime sous cet angle particulier. Il est donc bien naturel que les images qui s'élèvent dans l'esprit du lecteur diffèrent complètement du paysage réel. Il est impossible de transmettre à autrui une scène exactement telle qu'on la voit, sauf peut-être par le biais de la photo ou de la vidéo. L'écriture est un moyen d'expression qui a ses propres limites.
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Les démons apparaissent sous des formes différentes à chaque époque. On a beau essayer de s'en débarrasser, ils reviennent toujours.
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... Voyons, qu'est-ce que j'attends exactement ? Je n'ai pas peur ? Vraiment pas peur ? C'est peut-être une confrontation avec la mort que j'attends.
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Un croquis était toujours utile, pour préciser une idée, songeait-il, même quand on était sûr de ce qu'on avançait.
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L'ADN ressemblait à deux serpents enlacés se dressant vers le ciel. Des informations vitales qui ne s'interrompaient jamais, transmises de génération en génération... L'homme était pour toujours lié à deux serpents...
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Pour surveiller les comportements [des hommes], le Grand Esprit qui était aussi le père de la Nature, avait décidé de placer un œil sur la cime d'une montagne. L’œil était immense, mais à lui seul il ne pouvait pas surveiller tous les hommes en même temps, dans toutes les directions et, en cachette, certains finirent par commettre des actions qui allaient contre la volonté du Grand Esprit.
Alors, celui-ci décida d'enfouir l’œil dans le corps des hommes, pour qu'ils ne puissent jamais échapper à son regard.
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Debout sur le pont du bateau, il regarde les crêtes des vagues avec un air de condamné à mort sur le point d'être exécuté. Le dernier jour de l'échéance a fini par arriver. Il est dix heures du matin, donc il ne lui reste plus que dix heures. Depuis le moment où il a visionné la cassette dans le chalet il s'est passé une semaine.
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