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Citations de Sylvie Cafardy (23)


Plaisanter, tout en restant respectueux, des situations parfois dramatiques que nous devons gérer nous aides à mieux les supporter. [note de Pégase-Shiatsu, hélas encourager à l'excès dans les milieux psychiatriques, ce qui poussent les gens à nier leur situation, et les conduit à la folie! Alors attention!]
"C'est vrai que, vu l'état de notre pauvre monde, ça doit leur donner du travail "là-bas" comme il dit! commente l'aide-soignante.
Si je comprend bien, ajouté-je, en fait, cette histoire de "repos éternel", c'est une anarque!
-Cela veux dire qu'on n'arrêtera donc jamais de travailler? ", demande l'infirmière, sur un ton faussement désespéré.
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4 à 10% cela veux dire aussi que, chaque fois que nous assistons à un spectacle ou une conférence dans une salle qui accueille 100 personne, il y a, avec nous, environ 4 à 10 personnes qui ont vécu une expérience de mort imminente.
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Sylvie Cafardy
Au cours d'une vie humaine, mort et souffrances sont montées en série, mais l'enseignement de leur prise en charge n'est qu'une option dans la formation des médecins et des infirmiers. Face à la mort, la seule attitude qu'on nous enseigne est la lutte. [note de Pégase-Shiatsu : tous les urgentistes et les médicaux en services psychiatriques devraient être formés à cela... hélas... ce n'est pas fait, et la lutte pour la vie empêche même d'écouter la souffrance de celui qui pourrait vivre mais subit de l'ostracisme continuelle sans raison valable.]
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La mort n’est pas seulement la fin de la vie du corps. Elle est aussi, sans doute, le commencement d’un rapport de cet être que nous sommes avec une autre dimension de l’être.
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De toute façon, il est impossible d'aborder avec lui la véritable cause de sa peur. Dès que j'essaye d'entamer une conversation, il l'oriente aussitôt sur des problèmes matériels : le téléphone ou la sonnette mal branchés, le fauteuil mal adapté... Chaque inconfort physique est mis en avant avec beaucoup d'insistance [Note de Pégase-Shiatsu : c'est normal parce que ce que ce Dr juge comme pas important, est pourtant durant de la vie du patient extrêmement important!!! Il est inadmissible que les problèmes matériels notamment de non accès à l'emplois sur de simple apriori totalement inadmissible en 2021 soit complètement occulté, pour le patient qui souffre c'est cela qui est important, et c''est en réglant cela que l'on obtient de lui qu'il se confie!! Pitoyable qu'une psychologue ignore cela!! Parce qu'un léger inconfort physique pour le chômeur qui souffre atrocement ou le mourant devient la goutte d'eau qui fait déborder le vase, cela ne devrait pas être négligé, mais au contraire vu comme une tentative du malade de tester s'il peut faire confiance ou non!! si on ne peut pas régler un petit problème matériel... comment vous faire confiance!! En Shiatsu les bons formateurs insistent essentiellement sur le confort du patient qui reçoit un massage... Parce que c'est comme cela que vous allez obtenir la bonne information verbale, et pas en interrogeant, et c'est aussi cela qui va optimiser le massage!!] des difficultés pour digérer, des plaies qui ne cicatrisent pas assez vite... Tout cela permet en fait de détourner son attention du vrai problème [note de Pégase -Shiatsu totalement faut, c'est un test puis-je vraiment avoir confiance en cette personne sur un sujet aussi sensible que la mort!! Et cela les gens des médecines naturelles le comprennent très bien... c'est à cause de cette attitude, sans arrêt de la part des gens du milieu médical, qui lui souvent refuse la bonne information ,que quand vient l'heure d'avoir de l'aide pour mourir, le patient n'accepte plus!! C'est cela l'écueil du livre!!] [...] mais en refusant de penser à la mort prochaine [Note de Pégase-Shiatsu conclusion attire de la psychologue qui refuse d'instaurer un climat de confiance!!]il s'interdit de s'y préparer et l'interdit également à ses enfants. [Note de Pégase-Shiatsu là c'est la psychologue qui commet une erreur le patient est là dans un mécanisme de protection face à un thérapeute qui refuse d'instaurer un climat de confiance en résolvant un problème simple!!! Même si normalement c'est l'infirmière de service qui aurait du le régler et ne la pas fait justement... Dans l'armée, un supérieur intervient quand son subordonné n'a pas fait son travail!!!]
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Quand je suis rentrée chez moi ce soir-là, tout le village était déjà au courant parce qu'une personne, qui travailait à l'hôpital où était ma fille, avait déjà tout raconté, à l'épicerie. [Note de Pégase- Shiatsu : totalement inadmissible.... et le secret médical? Entre cela et les envois injustifiés de la DASS à des parents dépressifs sans véritable raison, par des psychiatre, cela commence à bien faire!! et ils vont parler du sacerdoce médicale, mais entre cela, et certaines infirmières et aides-soignantes qui colportent des ragots, c'est asse pitoyable!!] Les gens me regardaient bizarrement et je ne comprenais pas pourquoi. C'est fou comme les gens ont peur quand ils savent qu''il y a quelqu'un de malade dans une famille. Ils ne savent plus comment se comporter, et ils vous laissent seuls au moment où, justement, vous auriez tant besoin de leur soutien.
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Cependant, cette nouvelle théorie sur la nature de la conscience est délicate à entendre, car elle nous fait sortir de notre cadre habituel de pensée, ce qui n'est ni confortable ni rassurant. Mais elle ouvre aussi un nouveau champs des possibles à explorer pour les chercheurs de trésors de connaissances que sont les scientifiques. Quels risque y aurait-il à se lancer dans cette nouvelle aventure? Si l'on y regarde bien, aucun, car ce changement de point de vue ne remet as en cause les connaissances acquises sur le fonctionnement du cerveau et du psychisme, bien au contraire.
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Certains, comme David Chalmers ou Christof Koch, neuroscientifique et biophysicien américain, considèrent la conscience comme une propriété fondamentale de l'univers, au même titre que l'espace et le temps : on ne peut pas expliquer l'existence de l'espace et du temps, on ne peut que la constater, c'est la même chose pour la conscience.
Si la conscience est une propriété constitutive de l'Univers, cela veut-il dire qu'elle est présente dans tout l'Univers, dans tout objet de cet Univers ?
C'est ce que pense le polytechnicien français Emmanuel Ransford, épistémologue et chercheur spécialiste en physique quantique. Pour lui, la conscience fait partie intégrante de la matière au niveau de ses constituants les plus élémentaires : les particules quantiques;
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[note de Pégase-Shiatsu : je mets cet extrait tout particulièrement pour les fans de A la croisée des mondes, pour ceux qui ne connaissent pas, dans l'adaptation HIs Dark Matérial A la croisée des mondes, la conscience est constitué dans le monde de Lira par ce que l'on appelle de la poussière (matérialisé sous forme de démon) et dans notre monde, par de la matière noire] Grâce à sa double formation de docteur en médecine et en physique, le professeur Durheil a pu établir des corrélations entre les témoignages des expérimentateurs et les étonnantes capacités de particules quantiques, ces briques élémentaires infiniment petites qui composent la matière et l'énergie de notre Univers. Ces corrélations l(ont amené à penser que la conscience pourrait être composée, elle aussi de particule quantique.
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Il est vrai que les recherches en neurosciences ont prouvé qu'il existe un lien entre les différentes fonctions de la conscience (ressentir, se souvenir, réfléchir, etc) et les groupes de neurones qui compose le cerveau. Mais la nature de ce lien est toujours inconnue. [...]
Le problème est que des observations médicales ont révélé que des malades étaient restés conscients alors que leur cerveau ne fonctionnait plus ! [...] des observations ont rapporté es cas de patients, ramenés à la vie après un arrêt cardiaque de plus d'une minute, et qui ont pu décrire sans erreur les gestes et les paroles des soignants qui tentaient de les réanimer, ce qui signifie qu'ils étaient pleinement conscients à ce moment là!
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Les lois sur la fin de vie, les formations en soin palliatifs - comme tout ce qui parle de la mort de façon générale- nous rappelle forcément la nôtre. Cela fait peur et cette peur fait fuir. C'est pourquoi multiplier les lois et les formations ne serviront à rien, tant que ceux qui sont censés les appliquer continueront d'éviter d'en prendre connaissance parce que la mort les effraie. Si l'on veut espérer quelques progrès dans la prise en charge des personnes en fin de vie, la première est de trouver un remède à la peur de la mort. [note de Pégase-SHiatsu : et là le bas blesse vraiment quand on sait que les pratitiens en médecine naturelles, surtout ceux qui ont un diplômé médical, ne se sente pas libre de s'exprimer! Parce que dans certaines médecines naturelles, soit traditionnelles, soit récente mais éostérique, le fait d'accepteer sa propre mort est encourager... non pas comme une fuite vers la mort, mais comme un hymne à la vie, bien vivre en accord avec les autres car la mort peut survenir demain... et vu que j''ai vécu pendant mes études, bien avant de m'intéresser aux médecines naturelles, un accident ou dans un tonneau, j'ai eu pas une expérience de mort imminente non, mais une acceptation de la mort dans mon tonneau vue que je ne pouvais rien faire.... et quand on comprend cela, on comprend les gens en dépréssions ou en fin de vie... ils ne peuvent rien faire pour avoir prises soit sur la vie sociale (emploi, intérêt des autres) soit sur des souffrances physiques qui les font souffrir énormément aussi psychiquement... donc puisque la vie est arrêté, a quoi bon vivre... et quand on sait que les grands sages meurent comme cela, on ne condamne pas les suicidés... On accepte ... Il ne s'agit pas d'accepter la mort quand on peut faire quelque chose, il s'agit d'accepter la mort quand on ne peut rien faire, ce n'est pas pas pareil, et cela développe tellement l'écoute des autres! Par contre, interdire un suicide se scellera par des troubles psychologiques qui peuvent pousser vers l'alcool, la drogue, ou le danger ce qui ne résous donc rien du tout! Ni la souffrance, ni l'attrait pour le suicide!]
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"Les soins palliatifs sont des soins actifs et continus pratiqués par une équipe interdisciplinaire en institution ou à domicile.
Ils visent à soulager la douleur, à apaiser la souffrance psychique, à sauvegarder la dignité de la personne malade et à soutenir son entourage. "
Article LIII0-10 du Code de la santé publique.
Comme on le voit, les soins palliatifs n'obligent nullement à interrompre les traitements curatifs.
[note de Pégase-Shiatsu : on le voit rien n'empêche de passer d'un soin curatif progressivement vers un soin palliatif pour se préparer à la mort et préparer son entourage, par une aide religieuse (prière bouddhiste, dernier sacrement chrétien), une aide médecine naturelle (méthode limitant la douleur), une aide psychologique (passeur d'âme qui discute de façon posée, calme sans émotion mais avec écoute de la mort, mais voilà on amène des clown ignares non formés qui pensent qu'à faire manger l'individu particulièrement les enfants, qui génèrent plus de souffrance qu'autre chose, avec des infirmières qui trouvent cela normale... alors actuel, c'est ou le soin curatif ou le soin palliatif, pas d'intermédiaire, et le Dr Cafardy a un discourt pour que cela change, le combat de Louise Thoin, préparant enfant en fin de vie et leur famille va dans le même sens]
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Sylvie Cafardy
Contrairement aux autres services, hospitaliers, nous ne cherchons pas à sauver nos patients. Notre seul but est de les soulager, tant sur le plan physique que physiologique, afin qu'ils puissent terminer leur vie le plus confortablement possible.
Il est vrai que la sérénité face à la mort que m'ont transmise des personnes qui avaient vécu des expériences de mort imminente, lorsque je les ai intérrogées pour ma thèse e doctorat, m'a beaucoup aidée à acepter l'issu" inévitablement fatale de l'état de santé précaire de mes patients. Et cette sérénité s'est communiquée, petit à petit, à toute mon équipe. [note de Pégase-Shiatsu : on ne peut qu'admiré cette prise de conscience d'une minorité malheureusement du milieu médical. C'est grâce à des gens comme Louise Thoin, passeuse d'âme qui aide les enfants en fin de vie ayant elle-même vécu une mort imminente que de tels choses sont possible, elle est l'auteur d'un livre pour enfant "Boule de Rêve" et a aussi écrit une autobiographie... Pourtant des bouddhistes font cela depuis l'antiquité... redécouverte de chose oublié très tôt en occident, parce qu'il faut prier pour sauver.. pas pour accompagner, et oui la divergence occident/ Asie a commencer un peu dans l'antiquité, mais surtout au Moyen Âge, bien avant que la science moderne ne soit ce qu'elle est actuellement.]
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La mort est donc, comme la naissance, une étape essentielle de notre évolution. Et comme la naissance, elle mérite que l’on en parle pour pouvoir s’y préparer.
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De nombreux témoignes reprennent, mot pour mot, les termes qu'emplois les physiciens pour décrire le fonctionnement du temps et de l'espace, de la matière et de l'énergie, au niveau de leurs constituants les plus élémentaires. Des constituants si petits que nous ne pouvons pas les voir, même avec laide des microscopes les plus puissants : les particules quantiques. Les récits d'EMI décrivent en effet avec une conformité étonnante le monde quantique et les lois si étranges que les physiciens eux mêmes ont du mal à les accepter quand ils les ont découvertes au cours du siècle dernier. Ces récits fantastiques semblent donc correspondre à une réalité ; celle du monde quantique, le monde de l'infiniment petit. [note de Pégase Shiatsu : ce lien est expliqué à travers les romans et les films : on retrouve la notion de lien entre la conscience et l'énergie des particules tout bêtement dans la guerre des étoiles, sous le non de force, dans A la croisé des mondes, la poussière, équivalente de la force de Starwars est clairement expliqué comme étant la matière noire sur laquelle planche les vrais scientifiques de nos jours, quand Lyra vient dans notre monde! Dans les médecines Naturelles on connait bien ces phénomènes, par le magnétisme, les séances à distances, et pourtant on nous prend pour des gens qui ont un grain... et là c'est un médecin qui en parle... quel dommage quel ne se soit pas renseigner plus que cela... car la pression Shiatsu, trop mal enseignée en France, est en fait une recherche de passage dans les vides de la matière, un peu comme un Karatéka fragmente une brique à main nue, en utilisant 'l'énergie'!!! Mais peut importe le nom qu'on lui donne, conscience, énergie matière noire, la force, la poussière, tout cela procède du même phénomène... et cependant l'information à du mal encore de nos jours à touchés le public. Dois je parler d'une EMI célèbre, celle de Harry Potter dans les Reliques de la mort... et là on s'aperçoit, même si ce n'est pas décrit comme telle que la magie de Harry Potter, n'est pas si loin de la Force de Starwars, même si l'auteure n'a pas développer le sujet.]
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Quand je suis rentrée chez moi ce soir-là, tout le village était déjà au courant parce qu'une personne, qui travailait à l'hôpital où était ma fille, avait déjà tout raconté, à l'épicerie. [Note de Pégase- Shiatsu : totalement inadmissible.... et le secret médical? Entre cela et les envois injustifiés de la DASS à des parents dépressifs sans véritable raison, par des psychiatre, cela commence à bien faire!! et ils vont parler du sacerdoce médicale, mais entre cela, et certaines infirmières et aides-soignantes qui colportent des ragots, c'est asse pitoyable!!] Les gens me regardaient bizarrement et je ne comprenais pas pourquoi. C'est fou comme les gens ont peur quand ils savent qu''il y a quelqu'un de malade dans une famille. Ils ne savent plus comment se comporter, et ils vous laissent seuls au moment où, justement, vous auriez tant besoin de leur soutient.
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La première chose, dans le coma, c'est que tu entends ce que les autres te disent, mais que tu n'es pas en capacité e... comment te dire... de répondre. C'est-à-dire que j'entendais le médecin de l'hôpital qui me disait : "vous m'entende, essayez d'entrer en contact avec moi : cligne d'un œil, bougez un doigt..."
Et toi, dans ton coma, tu te dis : "Mais comment je faisais avant pour bouger un doigt?"
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... scientifique se servent désormais d'un questionnaire appelé "échelle de Greyson", afin de bien identifier les EMI et de les distinguer des autres types d'expériences subjectives (hallucination ou délires) qui leur ressemblent par certains aspects.
L'étape suivante est la recherche d'une explication au phénomène étudié. Cette recherche obéit à deux règles.
La première consiste à passer en revue de façon systématique toutes les théories possibles sans exception, et à retenir en dernier la théorie qui explique le maximum d'observations.
La seconde règle, édicté par le Philosophe des sciences Karl Popper, consiste à abandonner ou modifier une théorie si une observation ne correspond pas à ce qu'elle prévoit [note de Pégase-Shiatsu et là on retrouve ce que dit avec raison le Pr Didier Raoult, et mes études supérieurs où les meilleurs scientifiques démontrent souvent l'inverse de leur théorie de départ!!!] C'est ce que l'on appelle le critère de réfutabilité, qui définit le caractère scientifique d'une théorie, ainsi que nous l'explique le célèbre physicien Stephen Hawking dans son best-seller, une brève histoire du temps :
"Toute théorie est toujours transitoire. [...] Une théorie sera variable si elle satisfait aux deux conditions suivantes ; [...] décrire avec exactitude une vaste catégorie d'observation [...] et faire des prédictions précises concernant les résultats d'observations futures. [...] Chaque fois que de nouvelles expériences viendront corroborer ces prédictions, la théorie sera conforté et notre confiance en elle s'accroitra. [...] Mais si jamais une nouvelle observation ne s'inscrit pas dans son cadre, il nous faudra l'abandonner ou la modifier."
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... Il suffit d'étudier les EMI comme n''importe quel sujet Cela paraît évident. Mais dans les faits, beaucoup qualifient( les EMI de "surnaturelle" ou de "paranormales", parce que, comme disait Guy de Maupassant, on ne leur a pas encore donné d'explication ; puis ils se réfugient derrière ces termes pour se dispenser de les étudier en prétextant : "Moi, je suis un scientifique et ce qui est "paranormal" n'est pas scientifique." Pourtant, un véritable scientifique confronté à un phénomène "surnaturel" - ou plutôt pardon, inexpliqué- devrait au contraire se sentir comme un explorateur face à une terre inconnue et se réjouie de toutes les opportunités de découverte qui se présente à lui.
En réalité, la réticence, toujours très vive, de la communauté médicale et scientifique pour étudier les EMI a deux origines principales. La première est la théorie actuellement retenue selon laquelle la conscience est un produit de l'activité cérébrale. Elle implique que la conscience ne peut se situé qu'à l'intérieur du cerveau dont elle est issue, et ne peut donc voir et entendre qu'à travers les yeux et les oreilles. Dans le cadre de cette pensée, les visions décrites par ces expérienceurs depuis un point de vue extérieurs au corps sont impossible. La deuxième raison est que les récit d'EMI donnent l'impression de faire écho aux enseignements de certaines traditions religieuses, ce qui réveille en nous, inconsciemment mais puissamment, toute la subjectivité de nos convictions philosophiques et religieuses.
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De quoi s'agit-il ?
"C'est une erreur de croire nécessairement faux ce qu'on ne comprend pas"
GANDHI
La première idée qui vient à l'esprit quand on entend une histoire pareille est : "Il a du avoir des hallucination Son cerveau manquait d'oxygène, c'est normal."
[...]
Enfin, il y a le mystère du cocker amateur de bière. Voilà un troisième cas de figure qui est l'exact opposé d'une hallucination : il s'agit d'une perception d'un objet matériel bien réel (le cocker) qui ne s'est pas faite par le biais des organes sensoriels (yeux, oreilles...). En effet, comment Gégé aurait-il pu voir ce chien avec ses yeux, alors que ceux-ci étaient fermés et tournés vers le ciel, puisqu'on lui faisait un massage cardiaque au sommet d'un château d'eau? Cet exemple est loin d'être le seul
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