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4.25/5 (sur 589 notes)

Nationalité : Canada
Biographie :

Sylvie G. (Grey) est une romancière.

D’abord intervenante auprès des jeunes en difficulté, c'est armée de ses connaissances dans ce domaine qu'elle réussit à créer des personnages aussi attachants.

Son lectorat fidèle reconnaîtra toujours les intrigues, la romance et un brin d'humour qui donnent tout ce parfum à ses romans.

Parmi les livres publiés durant ces dernières années, on découvre des comédies romantiques, des romances à saveur policière et des intrigues psychologiques.

On trouve ses livres sous les pseudonymes Sylvie G. ou Sylvie Grey.

son site : http://www.sylvieg.ca/
page Facebook : https://www.facebook.com/sylviegpageofficielle/
Instagram : https://www.instagram.com/sylviegpageofficielle/?hl=fr
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Bibliographie de Sylvie G.   (32)Voir plus

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Citations et extraits (160) Voir plus Ajouter une citation
-C'est un peu idiot et je ne suis pas certain que tu vas comprendre, commence-t-il en se redressant.

-Essaie toujours.

-J'avais l'impression qu'une partie de toi ne me détestait pas autant que ce que tu me démontrais.

La vérité, c'est que c'était mon souhait. J'ai pensé que la meilleure façon de le savoir, c'était d'arrêter d'agir comme si on était des ennemis, et ce, peu importe ce que tu allais faire. Quand je t'ai embrassée, j'ai ressenti que je ne m'était pas trompé, alors j'ai exprimé tout haut ce que j'aurais dû penser seulement. Je sais que ça semble ridicule,mais j'ai tendance à être impulsif. Les paroles sont sorties sans prévenir. C'était une sorte de réjouissance de voir que tu ne m'avais pas repoussé... mais finalement, tu m'as asséné un coup de poing. Alors j'ai vite arrêté de me réjouir.

J'éclate de dire.

-Si tu ne l'avais pas fait, j'aurais pu t'expliquer que c'était ma façon de dire que j'étais content, mais...on dirait que tu es un peu impulsive toi aussi.
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— Qu’est-ce que c’est que cette histoire ? Je ne veux pas de votre argent.

— Alors qu’est-ce que vous me voulez ?

— C’est vous qui êtes venue me trouver, rétorque-t-il aussi bêtement que moi.

— Je ne suis pas ici pour vous ! Comment aurais-je pu savoir que je vous verrais ? Vous croyez que je vous ai suivi ? J’avais un rendez-vous, dis-je en montrant ma main bandée en guise de preuve.

— Oh ! Une entorse ? devine-t-il.

— Apparemment.

— Comment est-ce arrivé ?

— Coup de poing.

— Sac d’entraînement ? suppose-t-il, lui aussi.

— Non, un nez plus solide que je le pensais.
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— Un choc! Tu veux rire? Le mot est faible. Un choc, c’est quand tu te cognes le coude sur le coin de la table. Je dirais plutôt que, ce que je ressens, c’est l’anéantissement de mon monde. Vous osez dire que vous occasionnez un choc quand ce que vous créez, ce n’est rien de moins que l’apocalypse. Vous prenez le globe terrestre de ma vie et vous le lancez du haut de la galaxie. Je suis en chute libre. Avec un peu de chance, je vais atterrir sur Mars – qui n’est pas encore habitable, soit dit en passant –, mais ça ne fait rien. Ne vous en faites pas pour moi! Allez-y, soyez égoïstes et vivez votre divorce avec joie!
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Charlie est en train de partager son dîner avec un écureuil quand elle entend des cris de gens affolés. Elle se lève, tourne la tête à gauche et à droite pour voir d’où vient le chaos, mais n’aperçoit rien. Elle emballe le restant de son sandwich et scrute l’horizon durant quelques minutes. Elle aperçoit alors un rassemblement de personnes. Elle a envie d’aller vérifier ce qui se passe, mais se ravise en consultant sa montre. Elle doit retourner au boulot. Elle se dirige vers son établissement, mais ne peut s’empêcher de jeter un coup d’œil de temps à autre. Elle s’apprête à accélérer le pas quand elle distingue la silhouette de Christopher qui se fraye un chemin à travers la foule. Il suit un homme qui a les mains derrière le dos. Visiblement, il vient d’arrêter un malfaiteur. Elle entend le policier parler, mais elle ne peut capter ce qu’il dit. Selon les mouvements de ses mains, il semble chasser les curieux. Charlie revient sur ses pas pour observer la scène. L’agent et le truand marchent dans sa direction, si bien qu’elle peut voir que le type est récalcitrant. Du moins, c’est ce que le visage mécontent de Christopher lui donne comme impression. Maintenant très près, elle peut entendre le criminel insulter Chris, ce qui fait rire ce dernier. Ça n’étonne pas du tout la jeune femme. Elle remarque que l’arcade sourcilière du policier est ensanglantée. Christopher repère alors la travailleuse sociale, debout devant son banc, tenant son sandwich à la main.

- Charlie! s’exclame Chris en souriant. Qu’est-ce que tu fais ici?

- J’essaie de trouver un coin tranquille pour manger, mais tu es venu me déranger, répond-elle en levant son dîner vers lui tout en lui faisant un clin d’œil.

Le truand sourit et Christopher lui décoche un regard mauvais.

- En fait, c’est lui qui est venu te déranger. Moi, j’étais en route pour t’inviter à dîner, mais mon ami a cru que c’était une bonne idée de partir avec le contenu de la caisse du bar laitier du coin.

Le type menotté marmonne une insulte entre ses dents.

- Moi aussi je t’aime, crétin, rétorque Christopher à son intention.

- Est-ce vraiment nécessaire? le gronde Charlie.

- C’est lui qui a commencé, se défend Chris comme un petit garçon pris en défaut.

Charlie s’approche de lui, une serviette de table à la main, pour éponger le sang qui dégouline maintenant sur son visage. Le prévenu, qui les observe du coin de l’œil, gigote tant que Christopher a du mal à le maintenir.

- Allez, tu dois y aller, je pense qu’il s’impatiente.

- Il a changé mes plans, alors il attendra tout le temps nécessaire.

- De toute façon, j’ai déjà mangé et je dois retourner au travail.

- Tu serais venue casser la croûte avec moi si j’étais arrivé à temps?

- Non! ment-elle.

- Pourquoi? Tu es encore fâchée contre moi?

À ces mots, le type menotté se retire de la grippe du policier et se met à courir. Chris ne met que quelques secondes à le rattraper. Il le fait basculer face au sol et appuie son pied sur ses omoplates pour l’empêcher de relever la tête.

- Hé! Tu n’as pas le droit de faire ça! lui lance Charlie.

- Bien sûr que j’ai le droit; il n’avait qu’à ne pas se sauver. Est-ce que tu as l’impression que j’utilise une force excessive? Regarde, j’utilise un seul pied, dit Christopher en montrant ses deux mains libres.

Charlie se mord l’intérieur de la joue pour ne pas rire quand elle lui tend le restant de son sandwich.

- Tu as faim?

- Je suis affamé!

Évidemment! songe Charlie. Elle n’a jamais connu quelqu’un qui mange autant. Le policier déballe le panini et s’accroupit pour s’asseoir sur le détenu qui est allongé au sol. Installé sur le dos du type menotté, Christopher mord dans son goûter.

- Chris!

Charlie lui fait de gros yeux, bien qu’elle trouve sa nonchalance plutôt cocasse.

- Quoi? demande-t-il avec un bout de pain qui pendouille de sa bouche.
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Assise dans mon bureau, les deux pieds qui reposent sur le bord de ma fenêtre, je mâchouille mon stylo en écoutant mon meilleur ami me faire la morale. Le but de mon appel était d’évacuer une logorrhée de lamentations sur ma situation professionnelle, mais comme toujours Kaël remet la faute sur ma vie personnelle. C’est vrai que l’aspect social de mon existence a été lourdement négligé dans les dernières années, mais c’est justement en raison de mon travail.

Comme je suis journaliste judiciaire pour La Presse, on pourrait croire que l’actualité mouvementée m’offre une variété de sujets intéressants. Or ma patronne, Trish la bitch, comme mes collègues et moi la surnommons tout bas, s’amuse à me contraindre aux dossiers politiques. Il m’arrive de couvrir un procès, un meurtre ou une surdose, mais le plus clair de mon temps est comblé par des histoires lassantes de politiciens corrompus qui se lancent des insultes à micros ouverts ou fermés, selon que les élections sont proches ou non.

Au début, c’était stimulant, mais après trois années je connais les rouages de notre gouvernement au point d’en prédire les coups. D’ailleurs, j’écris régulièrement mes articles avant que surviennent les événements et j’ajuste quelques détails quand on reçoit officiellement la nouvelle. Il se trouve qu’après toutes ces années à fréquenter les lobbyistes du milieu je sais, souvent avant que ça se produise, ce qui fera la manchette. Je pourrais carrément devenir diseuse de bonne aventure dans mes temps libres, si seulement je ne bossais pas soixante heures par semaine.

Et c’est là que le bât blesse. Mon ami Kaël pense que je devrais profiter plus de la vie – c’est sa façon polie de dire que j’ai besoin d’un homme dans mon lit – et travailler moins. On s’entend sur ce dernier point. Il a aussi raison de prétendre qu’il ne se passe pas grand-chose dans ma chambre à coucher. Rien, en vérité. C’est pourquoi je crois que si je changeais d’emploi les conditions seraient plus propices à des rencontres avec la gent masculine. C’est ça, ma préoccupation actuelle, mon boulot est ennuyant et trop prenant pour la satisfaction qu’il m’apporte.

— Kaël, ma vie sexuelle n’est peut-être pas aussi excitante que la tienne, mais elle me convient pour le moment, dis-je en lâchant mon crayon pour attraper ma tasse de café.

— La vie de religieuse te convient pour le moment. Vraiment?

— Disons plutôt que je n’ai pas besoin d’un nouvel amant chaque soir. C’est mon emploi qui me donne envie de m’ouvrir les veines, pas le sexe.

Et je le pense !

Je répète sans arrêt à Kaël que je ne veux pas m’engager à court terme parce que je ne pourrais pas m’investir sérieusement. Je vois mal quand je trouverais l’occasion, car, si la rédaction de mes articles ne me demande que très peu de temps, les heures passées dans les conférences et les cocktails, à l’affût d’une histoire croustillante, elles, s’accumulent. D’ailleurs, à un certain moment, Kaël l’obsédé proposait que je couche avec mes informateurs. « Joins l’utile à l’agréable, Amy. En plus d’avoir des scoops, tu libérerais tes frustrations. » Il ne faut pas avoir sous les yeux le portrait des hommes que je côtoie pour suggérer une chose semblable ! Les vieux croûtons à cravate qui m’entourent au quotidien sont loin des fantasmes qui occupent mes nuits. C’est une façon de parler, parce que, dans les faits,quand la nuit arrive, je plonge mon visage dans l’oreiller et je dors.
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-Tu es ridicule, tu sais? Ils t'aiment tous les deux, poursuit-il.

-Pff! Je sais que mon père, dans son for intérieur, très très loin enfoui, doit avoir une étincelle d'amour restante, mais tarzan, lui, me déteste tellement que ça me fait peur.

-Tu racontes n'importe quoi. Vous êtes follement attirés l'un vers l'autre et vous jouez à faire semblant.

Je tourne la tête pour dévisager Mirko comme je ne l'ai jamais fait de ma vie.Je cherche la ms propos, mais il n'y en a pas.

-Ne fais pas comme si tu ignorais ce que je veux dire, ajoute-t-il pendant que je continue d'écarquiller les yeux au point où j'ai l'impression que mes sourcils vont tomber de ma tête.Tu le sais très bien qu'il n'a d'yeux que pour toi.

-Là, Mirko, tu dérapes. Vraiment.

-Toi aussi, tu n'arrêtes pas de le suivre des yeux.

-QUOI! La seule raison pour laquelle je le regarde, c'est pour voir les coups arriver. Ce gars-là m'a planté un couteau entre les cuisses pour me fabriquer un short, il aurait aussi bien pu m'ouvrir les entrailles.

-Pff!
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— Qu’est-ce que tu fais avec un Glock 19 ?

— Donc c’est bien à toi ?

— Tu pointes un pistolet vers moi et tu prétends que c’est le mien ? commente-t-il en retroussant le nez.

— Bien sûr que c’est à toi. Sinon comment peux-tu savoir de quelle arme il s’agit ?

Il soupire en tournant légèrement les paumes et balance la tête, l’air courroucé par ma déduction.

— Parce que je connais les armes ! se défend-il avec émotion, son intonation suggérant que ma question est stupide.

— Ah bon ! Y a-t-il une raison particulière de ton intérêt pour les pistolets de ce genre ? dis-je en le faisant tourner de chaque côté pour l’observer.

Isaak se déplace à gauche et à droite en fonction du mouvement que j’effectue avec l’objet dangereux.

— Ça ne peut pas plutôt être parce que tu en as besoin pour… je ne sais pas trop… ton travail ? dis-je d’un ton accusateur en marchant de long en large, pareillement à ces agents qui interrogent des prévenus.

— Je suis photographe, Amélia, réitère Isaak en s’avançant vers moi.

J’ai l’étrange réflexe de pointer l’arme vers lui pour l’empêcher d’approcher. Ses yeux s’agrandissent de deux centimètres. Puis, en un battement de cils, je me retrouve allongée sur le lit, sous Isaak, qui tient le pistolet qu’il m’a subtilisé. D’un mouvement agile, d’une seule main, il retire les munitions du manche de l’arme et le catapulte sur l’autre lit.

— Arrête tes conneries ! grogne-t-il. Peut-on avoir une discussion sans que tu pointes un gun vers moi ? Tu ne parais pas savoir t’en servir, et ça me stresse.

— Tu as mis K.-O. trois hommes armés en claquant des doigts et, moi, je te stresse ? Où as-tu appris à te défendre ?

— Je pratique le kick-boxing pour garder la forme, répond-il.

— Ce pistolet n’était pas dans le plafond hier. Quand l’as-tu placé là ?

— Mais qu’est-ce que tu fiches à regarder dans le plafond ? Mon téléphone, mon sac et maintenant les tuiles de la salle de bain. Si la tendance se maintient, tu finiras par ouvrir les murs. Me diras-tu enfin ce que tu cherches ?

Je réalise d’un coup qu’Isaak, toujours allongé sur moi, n’est vêtu que d’un boxer alors que je suis nue sous ma mince sortie de bain qui s’est légèrement détachée. J’ai soudain très chaud.

— Je ne sais pas exactement, finis-je par admettre. Ne le prends pas mal, mais tu n’as pas l’allure… Tu as…

— J’ai l’air malhonnête ? tente-t-il de comprendre.
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— Tu n’as qu’à prononcer Maya, son poste est déjà programmé, m’informe Edward en appuyant une troisième fois sur le bouton en me souriant.

— Dictez votre commande vocale.

— Maya.

— Je n’ai pas saisi votre commande.

— Tu dois parler plus fort, précise Edward.

— Dictez votre commande vocale.

Je reprends d’une voix plus assurée.

— Je n’ai pas saisi votre commande.

Je soupire pendant qu’Edward appuie sur le bouton pour la cinquième fois.

— Dictez votre commande vocale.

— Maya, dis-je sur un ton sec et fort.

— Je n’ai pas saisi votre commande.

— C’est quoi, son problème ?

— Tu dois parler assez fort, mais naturellement.

Edward me questionne du regard pour vérifier si je suis prête. Je confirme d’un mouvement de tête.

— Dictez votre commande vocale.

Je me penche près du haut-parleur et je répète le nom de manière posée, calme, mais claire.

— Je n’ai pas saisi votre commande.

Découragée, je me tourne vers Edward. Il se retient de rire. Il pose ses yeux dans les miens pour confirmer que je suis prête à me lancer une autre fois.

— Dictez votre commande vocale.

— MAYA.

— Je n’ai pas saisi votre commande.

Trop faible, trop loin, trop fort…

Je soupire d’exaspération.

— Dictez votre commande vocale.

— Maya, dis-je sensuellement.

Edward pouffe de rire avant que la voix parle.

— Je n’ai pas saisi votre commande.

— Oh ! Ferme-la !

Edward continue de rire, alors que moi je regarde vers l’extérieur en faisant la moue. Edward enfonce le bouton du dispositif.

— Dictez votre commande vocale.

— Maya, dit-il d’une voix neutre.

— Votre appel est en cours.

— LA GARCE !

— Maëlie, calme-toi, ce n’est qu’un ordi, rigole Edward.
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Chers participants, je vous souhaite officiellement la bienvenue à Escape, le jeu qui vous donne soixante minutes pour vous évader. Si vous réussissez, vous vivrez; si vous échouez, vous mourrez!
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Sourire aux lèvres, Noah O’Brien, l’avocat que je déteste le plus dans la ville de Montréal, se tient près de notre table, une main négligemment entrée dans sa poche de pantalon taillés ur mesure. Ella se redresse, cambre les reins et décide de se faire sécher les dents. Je me doute que Noah est le fantasme de bien des femmes. Avec ses cheveux noirs comme la nuit et ses yeux d’un bleu électrique, il parvient à en séduire plusieurs,c’est certain. Oui, si on ne s’attarde qu’au physique, c’est vrai que ce type accroche l’œil, mais merde qu’il est chiant. C’est un fils de riche qui a eu tout cuit dans le bec et se fiche de ceux, comme moi, qui ont eu à bosser pour obtenir ce qu’ils ont. Noah O’Brien et moi sommes les deux avocats favoris en lice pour décrocher le mandat d’un gros client. Olivier Massa est le genre de magnat des affaires qui passe sa vie à se retrouver au mauvais endroit au mauvais moment. Du moins, c’est sa principale défense. Chaque année, il dépense une petite fortune en frais juridiques pour des litiges reliés à sa société,mais également pour quelques faux pas personnels.— Maître O’Brien, dis-je aussi hypocritement que lui, mais avec moins d’enthousiasme.— Vous travaillez ensemble ? s’enquiert Ella, qui s’apprête à s’envoler tant elle bat des cils.— Non, nous n’avons pas encore eu ce privilège, s’amuse-t-il d’une voix plus grave que ce que je me rappelle.
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