Déglinguée par les mots, les mots terribles de ceux qu'on aime, et qui n’imaginent pas à quel point ils fusillent, chacun sa vie, et que vaut la tienne, qui te laissent les yeux mouillés , osant à peine pleurer, pleurer sur quoi, sur toi, sur ce gâchis de ta vie, sur ton incapacité à aimer, et tu crèves à petit feu, lentement, (....)
(p38)