Sylvie Gobeil

Le commentaire de Lynda : COUP DE COEUR!



Un roman historique qui se démarque par son détail et son contenu juste et précis. Nous découvrons les familles riches qui ont contribué à faire de Montréal une ville importante, telle que Molson, Redpath, Allan et bien d’autres. Par curiosité, j’ai fait mes petites recherches pour constater que le nom des personnages Allan était réel et non-fictif, ils ont bien contribué à l'évolution de la ville en construisant hôtel, Banque et bateau. Nous allons suivre la famille Allan sur trois générations. Cette histoire débute en 1826, en Écosse, nous allons suivre le parcours de Hugh, enfant bien-aimé de Jean et Alexander Allan. Celui-ci, ayant beaucoup d’ambition voit déjà son garçon Hugh suivre ses traces et un jour prendre la relève de son importante compagnie maritime l'Allan Shipping Line. Pour parvenir à réaliser ceci, il prend la décision d’envoyer Hugh étudier au Canada, même si sa femme n’est pas d’accord, à cette époque la femme n’avait pas le droit à son opinion. Tout se déroule très rapidement, naissances, mariages, décès aucune longueur, le rythme est rapide. En 1944, Hugh va épouser Matilda âgé de 16 ans alors que lui en a 34. Un départ difficile pour elle qui n’est pas en amour avec son mari, mais vous aurez vite deviné, qu’elle a changé son fusil d’épaule puisqu’il y a eu 12 enfants issus de cette union. Les affaires prospèrent, Hugh est très heureux, l’argent n’est pas un problème, mais sa femme perd de son enthousiasme. Il fait bâtir une maison énorme à Montréal qu’il va nommer le château de Ravenscrag qui veut dire la colline du corbeau. Malgré cela, Matilda se sent bien seule car Hugh est tellement absorbé par son travail qu’il en oublie d’être présent pour sa femme et ses enfants. D’une génération à l’autre, on s’aperçoit que l’hérédité caractérielle est bien évidente du côté des Allan. Ceci n’est que le début d’une belle histoire enrichissante de Montréal. Une histoire captivante, on vogue d’un chapitre à l’autre sans se douter qu’une vague peut surgir sournoisement et laisser un voile de tristesse sur la vie des Allan. Ce premier tome se termine en 1956, je suis curieuse de découvrir ce que l’auteur réserve à Lady Allan et Sir Hugh Montagu, je vais patienter jusqu'à la sortie du deuxième tome pour découvrir leur avenir.
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Le commentaire de Lynda : ♥ Coup de coeur ♥

Quel gros coup de cœur pour cette lecture, qui m’a accroché très solidement, et ce, dès le départ.

Florence, qui vit avec son père et ses sœurs, a trop d’ambition pour se contenter de la vie dans ce petit village. Elle décide donc d’aller rejoindre son frère Willie, qui lui, habite déjà New York, bien sûr avec l’accord de celui-ci. En fait, il accepte de la faire venir pour l’aider dans son magasin, mais Florence ne restera pas là bien longtemps.

Elle va se faire engager dans un salon de beauté où elle va apprendre tous les rudiments de la beauté pour femmes.

Mais encore là, Florence n’arrêtera pas là, comme elle a bien appris et rapidement, elle décide de se partir en affaires elle-même en se cherchant une associée. Et oui, vous avez deviné, ça ne durera pas non plus, les 2 femmes associées ayant toutes les deux un caractère très fort, ne s’entendent pas vraiment et Florence va racheter les parts de son associée, c'est ce qu'elle voulait de toutes façons.

Et voilà, c’est parti, elle refait la décoration du salon au complet, et change également de nom et Elizabeth Arden est née, c’est ce nom qui fera son chemin dans le monde des cosmétiques, et des produits surtout pour les femmes.

Mais cette histoire en soi, m’aura appris également beaucoup de choses, tout d’abord sur le monde des cosmétiques, comment les femmes qui y avaient recours étaient considérées par la société, à tel point que bien souvent elles se cachaient pour fréquenter ces salons de beauté.

Et puis l’auteure nous parle également des suffragettes, un autre sujet qui m’a captivée.

Maintenant, parlons de la femme, de Florence-Elizabeth, bien sûr, elle avait de l’ambition plus que n’importe qui mais pour arriver à ses fins, ce ne sera pas facile, et bien sûr, il y aura des combats et des sacrifices, on peut même dire qu’elle est tout simplement passé à côté de sa vie personnelle pour atteindre son but.

Une femme très forte, ambitieuse, que rien n’arrête, elle obtiendra ce qu’elle veut et elle trouvera sa place parmi les noms célèbres des marques de cosmétiques.

J’ai adoré, du tout début jusqu’à la toute fin, Sylvie Gobeil, nous présente avec exactitude les faits, un gros travail de recherches, j’en suis certaine. Sa plume nous entraîne à travers l’histoire que l’on ne peut pas lâcher une fois commencée.

Un personnage central, très fort, avec des grandes qualités, mais ces mêmes qualités auraient pu lui nuire.

Je vous recommande ce roman historique, et je vous souhaite un gros coup de cœur, comme celui que je viens de vivre. Rapidement le deuxième tome que je retrouve cette grande dame!
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Le commentaire de Lynda : ♥ Coup de coeur ♥

Le premier tome avait été un gros coup de cœur, je peux en dire autant pour le deuxième tome. Quelle superbe lecture, je suis entrée à plein dans le deuxième tome, et j’ai tout simplement été emportée par l’histoire, qui se lit très rapidement malgré le nombre de pages.

Dans ce deuxième tome, Florence Nightingale Graham, deviendra Elizabeth Arden, c’est d’ailleurs sous ce nom, qu’elle a bâti son empire, qu’elle s’est fait connaître à travers le monde. Mais il ne faut pas oublier que nous sommes en 1934, l’ombre de la 2e guerre mondiale plane sur la planète.

Après la trahison dont elle a été victime, elle se relève et va foncer. Elle ne déroge pas à son but, à son objectif. Très bien entourée dans son entourage, sur ses sœurs et une nièce, en plus d’une équipe fidèle et solide, elle va de l’avant, personne ne pourra la stopper.

Elle ouvrira des salons de beauté de par le monde, elle fera connaître son nom mondialement.

Mais à travers tout ça, il y a la guerre, qui arrive, d’ailleurs, c’est un des sujets que l’auteure a su nous partager. En plus de nous parler de tout ce qui entoure cette guerre, les camps de concentration, l’attaque de Pearl Harbor, tous des sujets très noirs de cette époque historique malheureusement très tristes.

Mais à travers ça, ce qui se démarque, c’est le but d’Elizabeth Arden, la reine des cosmétiques à travers le monde, qui a su gagner sa place très solidement, et ce, malgré sa grande rivalité avec Helena Rubinstein, elle ne s’est jamais avouée vaincue.

Le parcours de cette femme vient nous chercher et nous ne pouvons faire autrement que d’admirer cette grande dame qui avait pour passion, les chevaux, oui c’était sa passion envers et contre tous.

Vous ai-je dit que cette lecture fut un coup de cœur monumental. Sylvie Gobeil, de par son talent nous a montré les dessous de cette grande dame, son courage, sa détermination, sa résilience, et ce, envers et contre tous.

Je vous recommande cette duologie pour faire connaissance avec cette grande femme qui a marqué l’histoire des femmes surtout et qui a revécu le temps de ces 2 tomes à travers la plume de la talentueuse Sylvie Gobeil.
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Quel beau début pour cette trilogie, une histoire qui m'a ravi, le côté historique très intéressant, et les personnages, vraiment bien.

Marie-Josèphe, mère de famille et épouse de Charles-Paul Denys, est un personnage que l'on n'oublie pas. Très forte de caractère, impétueuse, elle a un peu de difficulté avec la fameuse soumission envers la gente masculine, tel que son mari, ce qui cause des étincelles.

Trois enfants viendront s'ajouter à ce couple, plusieurs grossesses, mais seulement 3 ont survécu, Victoire, Antoine et Catherine.

On peut dire que Marie-Josèphe est une fille du peuple, simple, mais habituée à travailler très fort, contrairement à Charles-Paul qui lui se dit de la noblesse, avec des idées bien arrêtées, tel que d'envoyer son fils dans une école militaire, dès son jeune âge, c'est-à-dire à 12 ans, ce qui est très loin de plaire à Marie-Josèphe, qui est contre à 200%, mais le dernier mot revient à son mari, elle n'a donc rien à dire, elle doit se soumettre à la décision de son mari.

C'est toute la période de la guerre avec les Anglais, que nous allons couvrir, et les choses se compliquent un peu quand la belle Victoire tombe en amour avec un officier anglais.

Je dois dire, que je n'ai pas vraiment aimé beaucoup Charles-Paul avec ses idées de noblesse, qui dénigre les gens du peuple... Ouf à quelques reprises, je l'aurais envoyé directement en Angleterre pour se battre.

Que vous dire, le côté historique est vraiment bien développé, même si plusieurs des événements de cette guerre m'étaient connus, je peux dire que j'ai pu constater l'exactitude des faits historiques relatés par l'auteure. Elle nous offre des personnages très sympathiques, du moins dans l'ensemble. Les relations de Marie-Josèphe avec ses enfants, sont vraiment belles, et même si l'on tremble un peu pour Antoine, qui se retrouve sur les champs de bataille, on peut comprendre la maman qui s'en fait pour son fils.



Beaucoup de personnages, donc le tableau avec tous les noms de la famille que l'auteure nous fournit, est vraiment très utile.

J'ai bien hâte de poursuivre l'histoire avec les tomes suivants, et comme je les ai en main, je vais me diriger rapidement vers le tome 2.

Un coup de cœur pour ce premier tome, et je vous reparle du tome 2 très bientôt ! Je peux toutefois vous recommander cette lecture sans aucune hésitation !
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Il n'y a pas de mot pour décrire mon sentiment envers cette lecture, c'est encore plus gros qu'un coup de cœur !

Dans le premier tome, nous sommes en 1665 et on fera la connaissance de Jean Gobeil et de sa femme Jeanne.

Jean a envie de partir pour la Nouvelle-France, et comme Jeanne l'aime plus que tout, elle le suivra avec les enfants pour cette nouvelle vie.

La traversée jusqu'au Nouveau Pays, prendra 9 semaines, et croyez moi, ce n'était pas un bateau de croisière, loin de là. La vie n'a pas été facile à bord, maladie, tempête, mais aussi des amitiés qui se créent, des regrets, de l'ennui déjà des personnes qu'on a laissé en France.

Une fois au Québec, encore là ce ne sera pas parti facile, l'installation est synonyme de grosses labeurs, autant pour l'homme que pour la femme, qui elle, également, se retrouve enceinte à tous les deux ans. La vie est dure, pas habitués aux températures froides de la Nouvelle-France, le moral s'en ressent, mais la vie continue avec ses hauts et ses bas, avec l'arrivée des nouveaux enfants, il y aura d'ailleurs plusieurs filles avant que Jean connaisse enfin le bonheur d'avoir un fils.

Les personnages sont très attachants, Jeanne, je l'ai sentie comme une amie, avec qui j'aurais aimé jasé, Jean lui de son côté, un excellent mari et un travailleur sans fatigue, ce qu'il a à faire, il le fait. Ce couple s'aime plus que tout, et Jeanne est prête à beaucoup de sacrifices et beaucoup de courage pour encourager son homme dans ses idées. En avançant dans la lecture, on s'attache à tout le monde, Jeanne, Jean, les enfants, Marie, Catherine, Angélique, et tous les autres. J'ai eu froid avec eux sur le pont de glace, j'ai pleuré avec eux quand un malheur frappait, j'ai dansé et ri avec eux quand ils faisaient la fête, en fait, j'ai adopté ces personnes comme s'ils étaient maintenant de ma famille.

Impensable de réaliser le travail énorme de Sylvie Gobeil pour la rédaction de cette trilogie, parce que non seulement, elle nous offre une histoire sublime, mais en même temps elle nous rappelle les faits historiques de cette époque. Je ne vous cacherais pas que j'ai versé quelques larmes à certains moments dans ma lecture, et j'étais trop triste de les laisser, mais par chance, je vais poursuivre immédiatement avec le 2e tome... Et je vous en reparle !
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Nous avons quitté le premier tome en présence de Lady Marguerite Allan et son mari Montagu et, pour ma part, j’étais curieuse de connaître la suite. Pour ce tome-ci, nous débutons en 1956 alors que lady Allan s’ouvre à sa bonne Mary, en lui racontant une portion de sa vie. Nous retournons donc en 1915 où la guerre fait des ravages, c'est d'ailleurs cette guerre qui a laissé le plus sa marque, ce fut le conflit le plus sanglant de l’histoire canadienne. Lady Allan accompagnée de ses filles Gwendolyne et Anna sont sur le paquebot Lusitania, quand celui-ci fait naufrage, peu de survivants, mais Lady Allan fait partie de ceux-ci. Dévastée, qu’on ne retrouve pas ses filles, elle s'isole et vit son deuil difficilement. Heureusement, il lui reste deux enfants, soit Martha et Hugh. Martha, voulant faire sa part en ce temps de guerre, va s’enrôler dans l’armée comme infirmière et mettre de côté son projet d'étudier en théâtre. Tandis que Hugh 20 ans, a le même objectif que sa sœur, il veut sauver l’honneur et défendre sa patrie. Lady Marguerite, même si elle est complètement anéantie par tout ce qui arrive, va trouver le moyen de faire sa part pendant que son mari travaille sur la cause du régime de pension de guerre. Hugh, n'en pouvant plus d'être dans les fossés à se cacher de l'ennemi, change de situation pour devenir pilote d'avion, il reste à démentir qu’il ne fera pas parti du club des vingt. Martha, ayant une santé plutôt fragile, va elle aussi devoir abandonner son métier d'infirmière. Drame, décès multiples, blessures et souffrances font partis de l’histoire, mais l'auteur nous rend l'histoire tellement intéressante qu'on ne veut plus la lâcher. De plus, celle-ci est basée sur des faits vécus. Nous allons découvrir encore une fois que l'argent donne beaucoup de privilèges et de pouvoir aux gens riches, un phénomène que l'on retrouve encore aujourd'hui. Un roman qui nous touche droit au cœur, des émotions qui bouleversent et qui rendent les personnages très attachants. Une belle histoire à découvrir sous la merveilleuse plume de Sylvie Gobeil.
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Le commentaire de Lynda : COUP DE COEUR!



Les 3 tomes de cette série auront été un coup de cœur, je ne pourrais pas vous dire quelle tome a frappé le plus fort, c'est définitivement un gros coup de cœur que cette trilogie.



Les années ont filés, les années s'ajoutent à tous les personnages, affectant certains plus que d'autres, tel que tante Marie-Anne, qui n'est plus toute jeune. Elle;qui hébergeait pas mal de monde, décide vendre la grande maison pour des raisons financières, le clan se retrouve donc assez dispersée. Alors que Victoire opte pour la campagne, Catherine, elle se sera la grande ville, avec sa cousine.



Et à propos d'Antoine, il est toujours à l'étranger dans différentes missions, mais il n'est pas heureux, il ne rêve que de son Canada, du froid, de la neige, mais surtout de ses sœurs.



Et Victoire, quelle décision prendra-t-elle à propos de l'Irlandais Edward Campbell, dont les yeux pétillent pour la belle Victoire, se laissera-t-elle gagner ou continuera-t-elle d'attendre Jean-Daniel?



Antoine, lui m'a fait vivre tout plein d'émotions, seul, loin des siens, d'ailleurs il aura passé une grande partie de sa vie ainsi.



Que vous dire sans trop vendre l'histoire, oui les années passent, ce qui veut dire également que plusieurs sont partis pour le grand voyage.



D'ailleurs un des personnages, Charlotte, qui aura été au service des Denys, a pris une grande place dans la vie de chacun, et dans la notre aussi. On a vieilli ensemble, on a assisté à des événements asses tristes, d'autres qui étaient plus heureux.



La fin m'attriste, parce que je sais que je dois maintenant les quitter, en refermant ce dernier tome. Une trilogie à lire sans hésitation, c'est pratiquement un cours d'histoire que nous offre Sylvie Gobeil, et j'ai apprécié, aimé et aussi découvert plein de choses. Oui cette histoire est romancée, mais qu'une partie l'est, le reste ce sont des faits réels de l'histoire de cette famille.



Sylvie Gobeil a une plume, que je pourrais dire magique, elle arrive par ses mots, à nous insérer directement au milieu de tous ces gens, que se soit ici, ou en France, ou encore aux Îles où Antoine est cantonné, on est là avec tout ce monde, et j'ai adoré. L'auteure nous accroche solidement avec cette histoire, et quand on referme le livre, on se dit, que c'est toute une famille que les Denys de Saint-Simon.
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Le tome 1 avait été un coup de cœur, il en est de même avec le deuxième tome.

Les choses ont changés beaucoup depuis le décès de Marie-Joseph et de son mari. Les enfants, devenus presque adultes, sont pris en main par Marie-Anne. Mais les choses et les temps ont bien changé.

Les temps sont difficiles, maintenant qu'ils sont sous la juridiction britannique, même si ça ne fait pas vraiment plaisir à tout le monde.

On reçoit des nouvelles également d'Antoine, ayant perdu la bataille, les armées française se doivent de retourner en France sous ordre du roi.

Victoire est de retour sous le toit de Marie-Anne, avec sa fille, et toujours en amour avec son officier, qui a dû retourner dans son pays.

Pendant ce temps, un pensionnaire assez impressionnant, un officier écossais, Edward Campbell viendra habiter chez la tante Marie-Anne qui va l'héberger pour un temps et celle-ci voudrait bien que Victoire éprouve les même sentiments que le nouveau pensionnaire, qui lui est déjà sous le charrme de Victoire, mais ce n'est pas le cas, son cœur est toujours pris par Jean-Daniel, même si celui-ci ne donne pratiquement pas de nouvelles à Victoire. Se laissera-t-elle tenter par l'amour d'Edward ?

Du coup, on suit également les faits et gestes des autres personnages tel qu'Antoine entre autres. Tout le monde est en plein milieu d'une crise qui se retrouve sous la tutelle de l'Angleterre.

On parle également beaucoup des Acadiens, qui furent déportés. Un beau complément à l'histoire que j'ai étudié, et qui a apporté certaines précisions, sur ces événements historiques, tel que la déportation des Acadiens.

En bref, je ne vais pas tout vous raconter, vous devrez le lire. Bien sûr pour moi, c'est encore un coup de cœur pour ce deuxième tome. Les personnages sont vrais, sincères, certains sont touchants, d'autres un peu moins. C'est une partie de notre histoire que partage, avec nous, l'auteure Sylvie Gobeil, et je peux aussi affirmer, qu'elle a dû faire un travail de recherche énorme, parce que le tout est empreint de la véracité d'un nombre élevé de faits historiques réels. De quoi nous remémorer l'histoire du Québec que nous avons appris. Que demander de plus pour un coup de cœur, des personnages que l'on aime, une histoire prenante et qui provoque beaucoup d'émotions. Merci à Sylvie Gobeil pour ce 2e tome, qui lui aussi est un coup de cœur !
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