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Citations de Tara Sue Me (82)


Une soumise doit toujours être franche avec son dominant, c’est une des règles de base.
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Vous ne pouvez pas savoir la force que l’on peut tirer de la soumission. Un dominant exercé le comprend, il la préserve et la cultive.
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Il fallait juste qu’elle rencontre l’homme capable de révéler la femme qui sommeillait en elle.
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On ne commence pas quelque chose si on ne peut pas le terminer.
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Il faut parfois être capable de sacrifices.
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Ah, les hommes ! Il vous suffit d’un smoking pour être classe, alors que nous, les femmes, nous devons nous occuper de nos cheveux, nous maquiller, enfiler des collants sans abîmer notre manucure, et j’en passe…
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En fait, c’est comme une démangeaison, presque une souffrance. Et quand tu es avec le bon dominant et qu’il appuie là où ça fait mal…
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Dans l’incertitude, mieux valait supposer qu’une femme avait une sexualité vanille jusqu’à preuve du contraire.
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Les gens que nous aimerions fuir comme la peste semblent s’accrocher comme des sangsues.
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Pourquoi les hommes offrent-ils des fleurs à une femme ? Selon Sasha, la meilleure amie et associée de Julie, il n’y avait pas trente-six raisons : pour la mettre dans leur lit ou pour l’y remettre.
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Pourquoi les hommes offrent-ils des fleurs à une femme ? Selon Sasha, la meilleure amie et associée de Julie, il n’y avait pas trente-six raisons : pour la mettre dans leur lit ou pour l’y remettre. Julie n’était pas tout à fait d’accord, mais une fois que Sasha avait une idée en tête, elle n’en démordait pas.

Le carillon de Petal Pushers, la boutique de fleurs dont elles étaient propriétaires, égrena quelques notes. Julie loucha vers les deux clients qui venaient d’entrer avant de reprendre la discussion interrompue.

— Tu as vu ? souffla-t-elle à son amie. Ça m’étonnerait qu’il essaie de la mettre dans son lit, celle-là.

Sasha, qui passait commande dans l’arrière-boutique pour renouveler le stock de la semaine suivante, leva le nez de l’écran de son ordinateur. Le « il » en question était un homme de haute taille, les traits virils, comme sculptés au burin, les cheveux châtain clair. Vêtue d’une pelisse blanche adaptée à l’hiver rigoureux de Wilmington, dans le Delaware – elle devait probablement valoir plus cher que le salaire annuel de Julie – la femme âgée qui l’accompagnait, ne ressemblait pas à la bombe qu’on exhibe fièrement à son bras.
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— Mademoiselle King, monsieur West va vous recevoir, annonça l’hôtesse d’accueil.
Je me levai en me demandant pour la vingt-cinquième fois ce que je fabriquais ici et allai ouvrir la porte du bureau, raison pour laquelle j’avais traversé la moitié de la ville. De l’autre côté, se trouvait mon fantasme le plus sombre qui allait devenir réalité dès que j’aurais franchi le seuil.
Je tournai la poignée sans trembler, ce dont je n’étais pas peu fière, et pénétrai dans la pièce.
Première étape accomplie.
Nathaniel West était assis derrière un grand bureau en acajou et pianotait sur son ordinateur. Il ne leva pas la tête ni ne ralentit la cadence. À croire que j’étais invisible. Je baissai les yeux, au cas où.
J’attendis sans bouger un cil, le visage tourné vers le sol, les bras le long du corps, les pieds écartés de la largeur de mes épaules.
Dehors, le soleil s’était couché, et la lampe posée sur le bureau projetait une lumière tamisée.
Combien de temps s’était écoulé ? Dix minutes ? Vingt ?
Il travaillait toujours sur son ordinateur.
Je me mis à compter ma respiration. Mon cœur qui battait comme un fou à mon arrivée commençait enfin à se calmer.
Dix autres minutes passèrent.
Ou peut-être trente.
Il s’arrêta de taper sur son clavier.
— Abigaïl King, dit-il.
Je sursautai légèrement sans relever la tête.
Deuxième étape accomplie.
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Je savourai la délicieuse sensation de ses bras autour de moi.

— Tu as le temps ? reprit-elle. Je peux prendre une petite demi-heure, si ça ne t’ennuie pas de déjeuner dans la salle de repos.

— Avec plaisir. En fait, c’est ce que j’avais prévu. Il y en a suffisamment pour deux.

Je glissai la main dans le sac et en tirai une rose jaune pâle que je tendis à sa collègue.

— Pour vous, Martha, avec mes remerciements.

Elle me jeta un regard surpris et enfouit son nez dans la rose.

— Je ne me rappelle pas la dernière fois qu’un homme m’a offert une fleur. Merci beaucoup, monsieur West.

— C’est super-gentil de ta part, commenta Abby pendant que nous sortions de la salle de lecture. Elle va être sur un petit nuage toute la journée.

— C’était le moins que je pouvais faire. Je n’aurais jamais déposé la rose sur ton bureau, le premier mercredi où j’étais venu te voir, si elle ne m’avait pas surpris avec. À ce propos…

Je fouillai dans le sac et lui tendis une fleur couleur crème avec une touche de rose au bord des pétales.

— Voilà pour toi.

Sa bouche s’arrondit de surprise, puis un sourire malicieux étira ses lèvres.

— Merci, noble seigneur, même si je crois que vous venez de donner un témoignage de votre affection à ma chef aussi.
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Tu as du mal à exprimer tes sentiments à haute voix, je le sais. Alors j’ai pensé qu’il serait plus facile de les coucher par écrit.

J’aimerais que tu utilises ce carnet pour y noter tes angoisses, tes doutes, tes peines, ainsi que tes joies, tes espoirs et tes rêves. Tu t’en serviras avant tout pour y relater les différentes étapes de ton parcours de soumise, que tu pourras émailler d’allusions à notre vie quotidienne, si le cœur t’en dit.

Voici quelques indications pour commencer. L’essentiel est la franchise. Je ne te tiendrai jamais rigueur de ce que tu auras consigné dans ce journal. Tu m’as tant donné. Je suis certain que ceci ne fera pas exception
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Ce collier incarne le pouvoir que j’exerce sur vous, déclama-t-il. Le porter signifie m’obéir aveuglément et satisfaire tous mes caprices. Toute rébellion sera immédiatement punie. Pour ma part, je vous traiterai avec respect et veillerai autant à votre bien-être physique et mental qu’à votre épanouissement par la soumission. Le voulez-vous ?
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Il était une dame douce et aimable
Qui ravit mon cœur comme aucune autre
Je ne fis que l’entrevoir
Et pourtant, je l’aimerai jusqu’à ma mort

Ses gestes, sa démarche, ses sourires,
Son esprit, sa voix ont séduit mon cœur,
Je ne sais pourquoi,
Et pourtant, je l’aimerai jusqu’à ma mort

Cupidon s’envole à tire d’ailes
Le pays de mon aimée et mon amour changent
Mais dût-elle changer la terre ou le ciel
Je l’aimerai jusqu’à ma mort
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— J’ai été maladroit. Voyons si je peux me rattraper. Je veux me réveiller à côté de toi le matin, lorsque tes cheveux sont en bataille et que tu es de mauvais poil avant ton café. Je veux te retrouver le soir pour que tu me racontes ta journée pendant que nous préparons le repas ensemble. Et je te veux la nuit près de moi parce que j’adore m’endormir dans tes bras.
Alors, tu veux bien venir vivre avec moi ? conclut-il, ses lèvres caressant les miennes.

La gorge sèche, j’étais incapable de prononcer une parole
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Car je dois aimer puisque je vis.
Et la vie est ce que vous m’offrez.
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Viens doucement, paradis terrestre !
Les lèvres qui ne sont point accoutumées à toi,
Sucent, timide, tes jasmins,
Ainsi l’abeille pâmée, Atteignant tard sa fleur,
Bourdonne autour de la chambre,
Compte ses nectars – entre,
Et se perd dans les parfums 
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J’avalai une grande goulée d’air, puis posai délicatement mes lèvres sur les siennes.
Bon sang !Impossible de contenir la joie qui enflait en moi. Notre fragile coquille humaine était inapte à contenir de telles émotions
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