Taro Nogizaka

✒ Ce premier tome de "La Tour fantôme" est un succès, on le referme avec la terrible envie d'en connaitre la suite. Une amertume qui nous pousse à connaitre la date de sortie du tome 2. Un effet qui prouve bien la qualité du manga. La noirceur de ce manga plonge le lecteur dans une ambiance qui n'est pas aussi angoissante qu'elle aurait pu l'être. Les événements tragiques surviennent toujours rapidement et l'auteur ne s'attarde pas dessus. Cette rapidité dans l'expositions des faits est un rythme qui plait ou pas. Il est indéniable que j'aurais souhaité plus de développement dans l'élaboration et la présentation du côté obscur de l'ouvrage. Les dessins sont expressifs et ont la patte de l'auteur notamment à travers les regards des personnages mais aussi dans la création de vignettes en apartés qui suffisent à comprendre ce qui est en train de se dérouler. Par ailleurs, l'auteur utilise un procédé que j'aime retrouver dans les œuvres en général, c'est la construction de portraits sociaux solides qui lient le lecteur aux personnages du début à la fin. En effet, le lecteur connait et cerne bien les personnages qu'il rencontre. Bien entendu, chacun d'entre eux a une part de mystère qui suscite la curiosité du lecteur à coup sûr. Aussi, l'auteur révèle des éléments importants du récit à son lecteur avant même que ses propres personnages n'en sachent quoi que ce soit. Cette longueur d'avance est un cadeau empoisonné car bien appréciable elle est aussi très frustrante pour la simple et bonne raison que le lecteur n'attend qu'une chose, c'est que les personnages découvrent au plus vite le pot aux roses et qui pourrait changer le court de l'histoire.

Avant de donner mon avis, je voudrais remercie Glénat et Babelio pour leur partenariat. J'avoue que j'étais assez attiré par le résumé, mais un peu de doute lors de sa réception vu que je ne suis pas du tout dans mon genre de manga. Mais comme j'aime par moment sortir du chemin, je l'ai tenté. Et j'avoue que je n'ai pas aimé, mais il y avait pas mal de petits trucs assez sympas durant ma lecture. Je commence par le graphisme du manga, que je n'ai pas vraiment aimé. Il s'apparente beaucoup à de la bande dessinée. Les traits sont bien trop marqués du coup cela fait des personnages aux visages assez durs. De plus, on a des scènes avec des personnages nus, qui en mon sens n'apporte strictement rien, où du coup, on approche un peu de la vulgarité. L'histoire est sympa dans le fond, lors de la lecture bien moins. On part un peu dans tous les sens, il y a pleins de situations, d'informations qui entre en compte, malgré le fait qu'on les assimile assez vite, je trouve que cela fait un peu fouillis. De plus, je ne sais pas trop où veut nous mener l'auteur. Par contre, il y a une bonne intrigue, des coïncidences un peu douteuses et des personnages assez énigmatiques. C'est un peu ses personnages qui ont fait que j'ai fini de lire le manga. Voilà après, je l'ai quand même lu assez rapidement malgré le fait que je n'ai pas plus accroché que cela. Mais il y a quand même de bons points.



En conclusion, certes, je n'ai pas spécialement aimé, mais il y a une bonne intrigue, de bons personnages, et bizarrement, j'aurais bien envie de découvrir la suite si j'en ai l'occasion.
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Les hôpitaux du japon sont corrompus, une jeune femme préparant une thèse, cherche également à changer tout ça. Pour se faire, elle demande l'aide de Ryutaro ex-chirurgien de génie d'une ONG. Celui-ci va devoir monter une équipe pour l'assister. Ses méthodes assez spéciales et sa façon de faire atypique, lui donne une image de rebelle de la médecine, se fiant d'avantage à son expérience qu'aux manuelles d'apprentissage, il sauve les patients qui aurait dû mourir.



Un manga très intéressant, bien que j'espère que ce ne soit pas la réalité. On apprend beaucoup sur la médecine, le personnage, décalé, donne le ton et l'aventure s'avère riche en surprise. Je pense que je vais me laisser aller à lire la suite ;)

La série "Pour le Pire" mêle habilement les genres du thriller et de la romance. Si nous étions dans un shojo, ce sixième tome serait le volume où le lecteur fait la connaissance des mères des deux jeunes mariés, découvre à quoi elles ressemblent et ce que l'une d'elle pense du mariage de son enfant. C'est presque un passage obligé dans tout shojo : la rencontre avec la belle-famille. Comme nous sommes dans un thriller, c'est surtout l'occasion de plonger dans le passé de l'accusée, de se poser des questions sur le cadre familial dans lequel elle a vécu et qui semble avoir pesé sur elle. Or dans ce tome, toute l'action et toutes les péripéties du procès sont vues à travers le point de vue d'Arata que son épouse manipule, si l'on se réfère à l'avis de tous les autres personnages. Comme le lecteur suit le point de vue interne d'un personnage probablement naïf et mené en bateau, le lecteur se retrouve également dans la position de ne jamais savoir sur quel pied danser jusqu'au cliffhanger final, qui fonctionne comme un coup de poing pour Arata, mais attise le désir d'en savoir plus sur Shinju, personnage à la fois répugnant et fascinant, pour le lecteur.
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Un thriller qui ne mettrait pas mal à l'aise son lecteur serait-il un bon thriller ? 🙂 Ce qui est intéressant, dans cette série, c'est que l'intrigue est très bien construite, mêle habilement la romance et l'intrigue policière, en nous orientant vers un dénouement que l'on devine à la hauteur. La couverture de ce huitième tome de "Pour le pire" est parfaitement adaptée à son contenu. Ne pas savoir sur quel pied danser avec le personnage féminin renforce le suspense et nous partageons le malaise ressenti par les autres personnages. Mais ce qui surprend ici est l'attitude de son mari, Arata. Depuis le premier tome, on pouvait se demander pourquoi il avait épousé une femme suspectée d'être une tueuse en série. On a depuis souvent l'impression qu'il est un benêt manipulé par son épouse. Mais il s'avère que sa personnalité est plus complexe qu'il n'y paraît au premier abord, et dans ce tome-ci, ses prises de décision font avancer l'intrigue de façon fort intéressante.
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La fin tant attendue est enfin arrivée. Logiquement et historiquement, on s'attend littéralement à ce que des têtes tombent.. celles de la royauté ! Mais c'est avec classe et on assiste à un semblant de happy ending pour Gidéon et Georges ? Il y a tout de même quelques années qui passent avant d'y atteindre. Dans l'ensemble, l'auteur a su me passionner et me motiver à lire cette série intéressante mais parfois dérangeante avec ses graphismes.

Envie d'un titre qui vous tient en haleine et vous retourne le cerveau ?

Grâce à ce manga vous trouverez votre bonheur !!!

Personnellement pour moi, ce sont tous les titres de cet auteur qui ont cet effet !!! Il a un don pour faire monter la pression et nous tenir en haleine c'est fou…

Dans ce tome, le second procès de Shinto est toujours en cours et Arata fait tout son possible pour connaitre le lieu où la tête du père de Takuto a été enterrée… Malheureusement plein de problèmes vont venir se mettre sur sa route ! de la part d'intervenants extérieurs mais aussi des choses venant de lui même… Ce n'est pas une surprise, au fil des tomes on l'a vu s'attacher à la tueuse qui l'attire autant qu'elle lui fait peur… Plus le temps avance et plus sa situation devient intenable et dans ce tome ça va devenir chaud pour lui...

J'adore cette série, la patte graphique de l'auteur est toujours aussi particulière mais fait super bien le taf et l'histoire… c'est une pépite ! C'est un des rares mangas où je n'ai aucune idée de ce qu'il pourra arriver et de comment ça va bien pouvoir finir. D'ailleurs j'arrive même pas à savoir qui est vraiment Shinju et si elle a fait les choses dont on l'accuse. Autant vous dire que du coup je suis emballée à chaque tome, moi qui aime me prendre la tête sur des mystères, je suis à fond !!! C'est super psychologique, plein de suspense, j'adore !!!!


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Après avoir lu le troisième tome, je me suis littéralement jetée sur le quatrième tome. J’étais beaucoup trop impatiente de découvrir la suite et je ne pouvais définitivement pas laissé ce tome traîner dans ma pal une seconde de plus. Et j’ai clairement bien fait! Bon dieu ce quatrième tome est clairement mon préféré pour le moment! Il était absolument génial comme je m’y attendais! C’est là que l’on voit tout de même la complexité de toute cette histoire! Et surtout à quel point l’histoire est parfaitement bien ficelé!



Dans ce quatrième tome, on retrouve donc Arata qui essaye de trouver des informations sur Shinju. Il va donc fouiller dans son passé et rencontrer les personnes qui se sont occupés d’elle dans le but d’essayer de mieux la comprendre. Et surtout découvrir qui elle semble couvrir en s’accusant de ces meurtres. On finit par se retrouver au procès se Shinju qui commence enfin. Et on finit par découvrir des choses plutôt intéressantes…



Le personnage de Shinju, je ne cesserais de le dire mais quel personnage! Elle est incroyable, on ne cesse de se demander si ce qu’elle dit est vrai ou pas. Je ne sais vraiment pas sur quel pied danser avec elle. Elle paraît si sincère mais on sait pertinemment qu’il ne faut pas croire un mot qui sort de sa bouche.. Mais en même temps, au fond de moi, j’ai une toute petite part qui me dit « et si elle était vraiment innocente au final? » Vraiment son personnage est si complexe, elle a des talents d’actrice remarquable, elle sait toujours quoi dire pour que ça tourne à son avantage. Et cette fin.. Arata à force de la côtoyer commence à apprendre à la cerner, finit par découvrir quelque chose qui va vraiment tout changer.. Et ça nous offre une fin, mon dieu, explosive!



Ce tome était incroyable du début à la fin! C’est clairement mon préféré pour le moment. Avec cette fin en apothéose, je n’ai qu’une hâte c’est d’avoir la suite entre les mains! Ça annonce une suite mouvementée, qui va changer beaucoup de choses désormais. La suite promet de beaux rebondissements et Arata n’a pas fini d’en voir avec Shinju!! Ahhhh mais comme je suis impatiente maintenant, il me faut la suite!!
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Shinju Natsume est toujours aussi convaincante en jeune mariée derrière les barreaux. Est-elle l'horrible monstre coupable des crimes dont on l'accuse ? Est-elle la victime de ses parents ? Au niveau des illustrations comme du scénario, son personnage est suffisamment mystérieux pour mener tous les autres en bateau... et les lecteurs aussi. C'est le point fort de ce manga. J'étais assez dubitative à la lecture du premier tome, parce que son mariage précipité ne tient pas vraiment debout. Mais finalement, la lecture est prenante grâce à la personnalité de l'accusée. On ne parvient ni à la détester ni à la plaindre pour l'instant. On a l'impression d'assister au spectacle d'une excellente comédienne et on veut savoir le fin mot de son histoire, connaitre les secrets qu'elle cache et voir où tout cela nous entraîne.
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En découvrant la nouvelle série publiée par Glénat , "Pour le pire", je pensais que le couple central, une fois marié, s'affronterait à domicile et que le suspense reposerait sur l'assassinat possible du marié par son épouse psychopathe. Cette piste n'est pas évincée. Il est possible que "Bozo Shonagawa" une fois mariée sorte de prison et reprenne du service, que nous assistions à ses meurtres passés et à venir dans les tomes qui vont suivre le troisième. Mais jusqu'ici, la jeune femme est restée en prison et le duel psychologique avec Arata nous fait douter de sa culpabilité. De même, Taro Nogizaka parvient à nous intéresser au sort de la prisonnière, à nous faire voir ce monstre comme une victime. En quelques scènes, on se met à ne pas apprécier la façon dont Arata Natsume joue avec les sentiments de la mariée, alors qu'il est sans doute tout simplement la proie qu'elle recherchait. Mais difficile à ce stade de l'histoire de deviner le véritable visage de Shinju... on peut émettre des hypothèses, mais ce titre est un thriller bien mené malgré un premier tome qui ne m'avait pas pleinement convaincue car il posait vite les bases du mariage essentiel à la progression de l'intrigue à venir.
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Le récit reste ici addictif, porté par son ton assez unique, par son héroïne fascinante dans son genre, et par cette manière qu'à Nogizaka de si souvent brouiller les frontières entre vérité et mensonge.
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J’avais énormément aimé le premier tome que j’avais trouvé complètement loufoque. J’ai mis du temps à sortir le second tome de ma PAL mais je l’ai enfin lu! Comme j’ai le troisième tome dans ma pal également, il était temps que je me mette à le lire tout de même. Ce second tome était aussi génial que le premier. Cette histoire est tellement loufoque et pleine de surprise. C’est rempli d’humour et c’est absolument addictif. Je ne sais pas où cette histoire va nous amener mais alors j’ai terriblement hâte de découvrir tout ça.



Dans ce second tome, l’atmosphère est bien plus pesante que dans le premier tome. Arata continue de rendre visite à Shinju en prison et surtout continue son bluff sur le fait de vouloir l’épouser. Il essaye de lui soutirer des informations mais Shinju ne compte pas tout lui livrer sur un plateau. Elle veut des contreparties et notamment un contrat de mariage signé de la main de Arata. Le jeu du chat et de la souris continue de s’intensifier…



Même si c’est tout de même glaçant et effrayant, notamment avec le personnage de Shinju, je trouve en même temps que c’est un manga assez drôle. Peut être que j’ai un humour particulier et c’est très certainement ça, mais moi vraiment j’aime trop ce manga et je le trouve vraiment très drôle. Arata me fait rire, Shinju me fait rire même si elle a un véritable tête de psychopathe quand elle s’y met. D’ailleurs, les émotions sur les visages sont tellement bien retranscrites que par moment ça nous fait froid dans le dos. Surtout quand il s’agit de Shinju au final.



C’est un personnage qui me fascine tellement. J’attend le moment où on en apprendra encore plus sur elle mais surtout sur ses meurtres. J’espère vraiment qu’on en saura plus sur l’enquête par la suite. C’est tellement intriguant, je me pose énormément de questions et j’établis tout un tas de théories autour d’elle. On nous sème quelques indices par ci par là mais au final on ne sait quoi penser d’elle. Je suis vraiment déroutée face à son personnage. On ne sait pas quoi penser d’elle, un coup elle parait si inoffensive, si gentille, on la trouve touchante et une seconde plus tard, elle nous fait peur et on la trouve vraiment dangereuse!



J’ai vraiment hâte de découvrir la suite de cette historie qui s’annonce vraiment très palpitante. Je me demande vraiment où tout ça va nous amener mais surtout voir comment la situation va évoluer. C’est une historie hyper intrigante mais surtout tellement addictif! C’est le genre de manga qui joue avec nos nerfs, qui nous angoisse au plus haut point. Une histoire véritablement haletante, on veut savoir jusque où ce petit jeu du chat et la souris va nous amener. Il me tarde vraiment de découvrir le troisième tome!
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Après La Tour fantôme et Le 3e Gédéon, que j’ai toutes les deux commencées sans me donner la peine de les continuer, Taro Nogizaka est de retour avec une nouvelle série, Pour le pire, toujours dans son style de dessin assez caractéristique.

Son scénario est lui aussi toujours aussi tarabiscoté puisqu’on y fait la connaissance d’un employé de l’aide sociale à l’enfance assez désabusé par son boulot qui décide de venir en aide à un adolescent en acceptant de rencontrer à sa place une tueuse en série. Et pour obtenir des informations, il n’y va pas par quatre chemins et la demande rapidement en mariage.



Au premier abord, je n’ai pas trop compris ce que l’auteur essayait de nous raconter. Les motivations d’Arata ne sont pas claires et je trouvais qu’il rentrait très vite dans le jeu de Shinju, présentée comme une pauvre fille paumée, voire même attendrissante quand on apprend son passé.

Je crois que c’est l’arrivée de l’avocat qui m’a fait changer d’avis parce que lui, il donne l’impression de vraiment croire sa cliente qu’il a rencontrée plus jeune. Et à partir de là on se rend compte que Shinju ne fait pas confiance à Arata et qu’elle est sans aucun doute la meurtrière que l’on nous a présentée à l’origine.

Mais qu’elle est est aussi bien plus maligne que ce qu’elle laisse paraitre et que c’est désormais à une partie d’échecs que les personnages principaux vont devoir se livrer, l’enquête menée à l’extérieur se mêlant à de nombreuses visites en prison où la tension monte rapidement, chacun essayant de voir ce que l’autre pense avant d’avancer ses pions.



Ces deux là sont d’ailleurs bien compliqué à apprécier, ils n’attirent pas la sympathie mais je pense que c’est assez typique de Taro Nogizaka puisque dans mes souvenirs de ces précédentes œuvres, c’était déjà le cas.

Du coup, il est bien compliqué de se positionner dans l’affrontement qui se profile.
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Détourner Le Silence des agneaux façon vaudeville, il fallait oser.
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J'étais très curieuse à propos de ce manga. Le résumé m'avait laissée perplexe.

Maintenant que je l'ai lu, j'ai pu me faire un réel avis dessus. Effectivement, ça a l'air plutôt original ce mariage avec une tueuse en série. On se demande vraiment jusqu'où tout ça va mener notre cher Arata. Il ne peux plus faire machine arrière maintenant. Tout du moins ça paraît très difficile. De quoi est capable exactement cette meurtrière condamnée à mort ?

J'ai beaucoup apprécié cette lecture. Ça tombe bien, le tome 2 est sorti le 5 mai !

Bonjour Extrait :

Salut tout le monde j'espère que vous allez bien ? On se retrouve aujourd'hui pour mon avis sur le tome 1 de Pour le pire. Un manga qui a réussi à attiser ma curiosité lors de ma lecture du Glenat Manga News 2 et qu'il ne vaut mieux pas se laisser attendrir par sa couverture, car celui-ci risque de vous surprendre plus d'une fois.



La suite 👇 (Bonne lecture 😊)
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Encore une fois, une nouvelle sortie qui me tentait beaucouuuuuuuuup trop! Oui oui sans exagérer elle me tentait vraiment énormément. J’avais beaucoup trop hâte de pouvoir le lire et maintenant que c’est chose faite, je ne suis absolument pas déçue! C’était beaucoup trop bien, bien que beaucoup trop court pour moi, c’est drôle, c’est même hilarant par moment. Une vraie bouffée d’air frais tant c’est drôle.



On va suivre le personnage de Arata, c’est un employé au service de l’aide à l’enfance. Il a la trentaine et n’a aucunement envie de mariage pour le moment. Sauf qu’un jour, Takuto, un des enfants qu’il suit le révélé que son père a été victime de la célèbre tueuse en série qui a sévit. Ils n’ont jamais retrouvé la tête de son père et a donc entamé une correspondance avec la tueuse qui est en prison. Le problème c’est qu’il a entamé la correspondance sous le nom d’Arata.. Et il doit aller la rencontrer au parloir! Arata décide donc d’y aller pour éloigner Takuto de cette dangereuse criminelle… Mais la rencontre va prendre un tournant auquel personne ne s’attend!



L’intrigue est tout bonnement excellente. J’ai passé un excellent moment en compagnie d’Arata. Le fait qu’il la demande en mariage est clairement à mourir de rire. Et franchement malgré le fait qu’elle soit une tueuse en série, qu’il y est cette ambiance assez glauque tout de même, c’est tellement drôle, c’est tellement frais. Une lecture pareil ça fait tellement de bien en ce moment! Je me demande où l’histoire va nous mener dans les toems suivants mais je suis déjà impatiente de découvrir tout ça.



J’ai adoré le personnage de Shinju, la tueuse. Je trouve son personnage tellement bien construit! Elle est vraiment incroyable et c’est un vrai mystère. J’espère que l’on en apprendra plus sur elle par la suite. Déjà dans ce premier tome on a une vague idée du personnage mais je sens qu’on peut encore pas mal creuser et découvrir de nouvelles choses. Je sens également que cette histoire va ne cesser de nous surprendre. Je vais suivre cette série avec grand plaisir.



Ce premier tome m’a convaincu et ce sera avec grande impatience que je vais attendre la sortie de chaque tome. Le scénario est tellement déjanté et fou que ça fait beaucoup de bien à lire. Les personnages sont super bien travaillés et hyper intéressant à suivre. Je n’ai qu’une hâte désormais c’est d’avoir la suite!
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Vous êtes en manque de séries médicales comme Urgences et Greys Anatomy, vous cherchez le même univers en manga, jetez-vous sur Team Mediacal Dragon ! Alors que je n'attendais vraiment rien de ce titre, j'ai été agréablement surprise par son ton, son sens du rythme et ses messages, je le recommande donc chaleureusement aux amateurs du genre !



C'est à un duo d'auteurs que nous devons TMD : Akira Nagai, que je ne connaissais pas, et surtout Taro Nogizaka, que j'ai beaucoup aimé dans La Tour Fantôme et moins dans Le 3e Gédéons. Ensemble, ils se sont alliés pour bâtir un seinen classique mais solide fonctionnant comme une diatribe contre le système médical et surtout hospitalier japonais, un régal !



Ryutaro Asada est un chirurgien de génie ayant travaillé dans les conditions les plus difficiles : ancien chef d’une équipe médicale faisant partie d’une ONG, il est habitué à opérer, malgré le manque d’équipements et de médicaments, dans des régions du monde ravagées par des conflits armés. Cette expérience lui a permis d’acquérir une habileté chirurgicale hors du commun qui lui permet de réussir des opérations que peu de ses confrères auraient tentées. De retour au Japon, alors qu’il mène une vie paisible, il reçoit la visite d’Akira Kato, une jeune chirurgienne qui rêve d’être promue professeure en réalisant une opération du coeur extrêmement difficile : l'opération Batista. Selon Akira, seule une équipe dirigée par Ryutaro serait capable de réussir une telle prouesse. Malgré leurs idées divergentes sur la médecine, elle arrive à convaincre Ryutaro de rejoindre son projet en lui promettant de pouvoir choisir sa propre équipe. L’arrivée de Ryutaro va bouleverser l’hôpital universitaire très conservateur où les luttes de pouvoir sont incessantes et où le premier souci des docteurs n’est que de protéger leur carrière.



Dans un habillage terriblement efficace : narration dynamique, héros charismatique, cas percutants, le titre propose une remise en cause de la façon dont fonctionnent les hôpitaux au Japon. Le héros est un médecin qui semble avoir fui ce milieu vérolé par les ambitions des uns et des autres où l'on préfère réaliser une opération comme dans les manuels quitte à tuer le patient, ou bien où on envoie dans un autre hôpital les patients critiques afin de ne pas faire baisser ses chiffres, ou encore où on renvoie des patients mourants chez eux pour la même raison. Détestable ! A chaque chapitre, nous découvrons un nouveau cas qui est là pour éclairer les failles du système à tous les niveaux. Glaçant !



Heureusement, les auteurs ne se contentent pas de faire un inventaire qui serait assez glaçant, ils mettent aussi en scène un médecin qui va donner un bon coup de pied dans la fourmilière et qui donc propose un espoir face à ce triste bilan. Sans ça, la lecture ne serait pas supportable. Ici, le héros Ryutaro Asada, se pose en véritable tornade qui va tout emporter sur son passage. Il est fort, charismatique, anticonformiste et terriblement doué dans son domaine. Pour autant, il n'est pas imbu de lui-même et sait repérer les gens de talents et qui partagent ou peuvent partager ses convictions. Ainsi, c'est passionnant de le voir petit à petit réunir l'équipe dont il aura besoin pour l'opération demandée par Akira. On découvre grâce à lui plusieurs personnages à fort potentiel, du jeune interne falot qui doute beaucoup et qui ressemble à beaucoup des héros futurs de Taro Nogizaka, à l'infirmière sûre d'elle dans son boulot et dans l'intimité, en passant par le médecin cardiologue tout feu tout flamme, ou l'adjointe du professeur, une femme de poigne qui sait ce qu'elle veut. L'association risque de se révéler explosive.



Du côté médical, nous avons droit à plusieurs cas variés. On voit la vie dans l'hôpital : visite, admission, opérations, rendez-vous des commerciaux, attente dans les salles de repos, discussions dans les couloirs et bureaux, et surtout jeux de pouvoir pour se faire bien voir et gravir les échelons. C'est édifiant et très immersif. On évoque des cas sérieux avec des termes médicaux précis et les auteurs explicitent simplement les procédures et les maux dont souffrent les patients, sans que cela soit indigeste. Cependant, le côté très excessif du héros peut parfois faire douter du réalisme de certaines scènes et ça c'est dommage. Certes cela profite à la mise en scène dramatique du titre mais ça joue aussi sur sa crédibilité et pas dans le bon sens...



Taro Nogizaka, le dessinateur, propose ici son travail le plus ancien paru en France. En effet, La Tour Fantôme et Le 3e Gédéons qui m'avaient tant séduite graphiquement sont postérieurs. Pour autant, il a déjà un coup de crayon sûr. Les personnages ont des designs variés, ils sont très expressifs et on ressent toute la force et le charisme du héros lors de ses interventions. Les décors sont soignés et précis. Mais l'ensemble ne m'a pas fait forte impression comme dans ses autres titres. Je le trouve plus consensuel et moins marquant ici. Quant aux couvertures, il faut l'avouer, elles sont assez repoussantes dans le genre avec l'illustration en petit par rapport au logo surdimensionné du titre et au résumé dont on se demande ce qu'il vient faire là... S'ils avaient voulu tuer le titre, ils n'auraient pu mieux faire.



Team Medial Dragon fut une très bonne surprise. C'est une série médicale critique sur le système japonais qui semble de qualité. Le titre ne se contente pas de dénoncer et raconte une vraie histoire à l'aide d'une narration efficace et de personnages au potentiel intéressant. Cependant, la longueur de la série joue un peu contre elle : 25 tomes à son actif... J'aurais aimé la découvrir à l'époque parce que je ne sais pas si j'aurai le courage de la rattraper désormais ^^!
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La Tour fantôme fait entrer le lecteur en 1954 à Kobe dans le quotidien de Taichi Amano. Il va s'associer à Tetsuo Sawamura dans une étrange chasse au trésor entourée d'une enquête policière...



Mon avis : un seinen fantastique dont j'ai ressenti l'histoire intrigante servie par des illustrations qui donnent une ambiance gothique. L'intertextualité apporte du fond à l'oeuvre et permet d'en savoir un peu plus au sujet de la littérature policière étrangère. Il est aussi question des vices de l'être humain dans ce tome, les deux personnages n'étant pas des enfants de choeur.

La parfaite relecture pour halloween!

Des crimes horribles, une tour et un trésor...c'est dans ce contexte que nos protagonistes vont se retrouver embarquer dans une chasse infernale...

J'ai adoré ce manga et sa relecture m'a tout autant plût peut-être même plus maintenant que je connais la fin...

Côté charadesign, j'apprécié beaucoup les dessins de ce manga qui sont un particulier au premier abord car assez anguleux. Mais les expressions faciales sont incroyablement réalistes et nous communique totalement les sentiments/sensations des personnages.

Un manga à découvrir si vous aimez les thrillers ou encore les policiers un peu gore.