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Critiques de Tatiana Domas (30)
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Le Royaume d'Estompe

Alors que Noémie, une jeune fille de 12 ans, revient dans la maison familiale pour l'enterrement de son grand-père, une étrange voix la réveille au cours de la nuits et soudain, son cochon en peluche, Mr Piggs se met à lui parler. Selon lui, quelqu'un a besoin d'aide dans l'un de ses rêves et ill est bien décidé à l'accompagner dans cette étrange aventure. Il vont alors faire la connaissance du jeune dauphin qui vient d'apprendre la disparition inquiétante de son père, le roi du royaume d'Estampe. Seule son épée demeure. Contrairement à ce que l'on pourrait pense, celui-ci n'est pas mort mais a bel et bien été enlevé par une étrange créature machiavélique : l'Estompe. Ensemble, ils se rendent trouvent le preux chevalier Mulhot pour les aider à sauver le roi et par la même occasion, le royaume tout entier. Arriveront-ils au bout de leur quête et surtout à délivrer le roi contre quelque chose qui est pire que la mort ? In n'y a rien de pire me direz-vous et pourtant oui et cette chose effroyable s'appelle Oubli. Les personnes qui nous sont chères et qui meurent ne le sont pas réellement tant que nous nous souvenons d'elles. Tel est le magnifique message d'espoir transmis dans cette bande-dessinée, admirablement illustrée, à destination a priori d'un public Jeunesse mais j'irai bien au-delà en disant que cette dernière peut être lue à n'importe quel âge car il y a vraiment une explication profonde face au deuil et c'est admirablement mis en scène ici !



Une lecture sur fond d'imaginaire mais qui traite de problèmes de la vie et de la mort auxquels nous sommes confrontés sans cesse, et ce quel que soit notre âge ! Une belle découverte et une lecture que je ne peux donc que vous recommander !
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Le Royaume d'Estompe

Une bien jolie BD qui traite du thème du deuil avec justesse et délicatesse.



Noémie, une jeune fille de douze ans, se rend à l'enterrement de son grand-père avec ses parents.



"Mon grand-père allait disparaître avalé par la terre et tout continuerait sans lui, comme si de rien n'était. J'ai senti mon père trembler et j'ai compris que je me trompais."

Cette nuit là, alors que son père contemplait le portrait de son père, envahi par la tristesse, Noémie s'endort et rejoint le pays des rêves.



Entre rêve et réalité, conte de fée et monde fantastique, univers médiéval et paysage fabuleux, Noémie nous entraîne au Royaume de l'Estompe.

De toute beauté, d'un lyrisme simple et enchanteur, cette BD m'a vraiment ravie. J'ai aimé cette façon d'aborder la mort d'un être cher. Le ton est loin d'être péremptoire mais il peut apporter des réponses à qui en cherche encore.

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Le Royaume d'Estompe

Quand j'ai acheté cet album, ce n'était pas uniquement pour avoir la dédicace de Tatiana Domas (dessinatrice). C'était surtout pour avoir une oeuvre qui est réalisé en aquarelle. La dessinatrice ne maîtrisant pas encore totalement cette technique, je voulais voir les progrès.



A la base, en voyant la couverture, je me suis dit que ce devait être un scénario type "Le royaume" de Feroumont ou "Beauté" de Kerascoët.



Et bien non. Ce n'est pas non plus copié sur Alice aux pays des merveilles.

Ce conte est bien à part. L'action se déroule d'entrée, à notre époque. Une jeune fille, Noémie, assiste avec ses parents à l'enterrement de son Grand-Père paternel. Elle constate à quel point la mort affecte son père. La nuit venue, elle est plongé dans un rêve qui la transpose dans un Royaume où l'Estompe, une créature sombre, cherche constamment le conflit contre le Roi du royaume en question.



Cette fois-ci, le Roi a été capturé et l'équilibre entre les deux états (l'Estompe et le royaume) sera rompue. Toute une aventure s'engage entre les protagonistes représentant le Royaume, Noémie compris, et la créature.



En réalité, dans cet album, se retrouve mélanger, la vie, le songe et la mort.

Mais l'amour semble plus forte entre les êtres ce qui permet une fin heureuse.



Le scénario de Jean-Christophe Deveney m'avait quelque peu chamboulé, dérouté au début. Peut être suis je devenu insensible aux contes, aux merveilleux et à la beauté... Mais "Le royaume d'Estompe" se laisse lire et fait rêvé, non pas à l'histoire que nous avons en main, mais à celui que nous aurions pu vivre quand un évènement identique nous touche.
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Égaux sans ego

Dés le départ, ce qui m'a attiré c'est le thème de cette bande-dessinée consacré au sexisme et aux relations filles-garçons. J'ai trouvé l'idée de mettre en scène les propres mots que des ados pouvaient avoir sur le sujet, très bonne. le résultat ? cinq histoires très différentes tant sur le plan de l'illustration que des scénari : du port de la jupe à la photo compromettante diffusée sur les réseaux sociaux, en passant par les questions de sexualité ou d'orientation scolaire.

Cette hétérogénéité des dessins et des histoires fait la richesse d'Egaux sans égo. Une bande-dessinée qui tout en étant très agréable à lire est porteur d'un message fort auprès des adolescents : les filles ne sont pas inférieurs aux garçons, on doit les respecter, ne pas les insulter ou critiquer quand elles ne correspondent pas à l'image qu'on s'en fait.

Pour des professeurs, cette bande-dessinée représente un véritable atout pédagogique, notamment en vie de classe ou en histoire.
Lien : http://www.lirado.fr/egaux-s..
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Le Royaume d'Estompe

Une jolie BD qui traite du deuil, la perte d'un grand-père, difficile autant pour les petits enfants que les parents eux-mêmes. Le soir de l'enterrement, la petite, fait un drôle de rêve, où il est question d'un royaume étrange, menacé par une bête des plus bizarre l'estompe. tout cela bien sûr est en rapport avec le deuil, le souvenir qu'on doit préserver pour que les disparus continuent de vivre en nous.



Les dessins sont sublimes, l'histoire bien menée et la plume très belle. Une très belle BD.



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Égaux sans ego

Les cinq histoires sur le thème de l'égalité homme-femme et de la lutte contre les stéréotypes du genre sont bien différentes. En effet, les thèmes abordés sont variés: le port de la jupe, le danger des réseaux sociaux, la violence physique et psychologique, l'orientation scolaire etc...



C'est un album qui est d'abord destiné aux élèves pour leur faire prendre conscience de la relation fille/garçon qui doit se faire dans l'égalité. Je sais que c'est un thème qui ne plaît pas forcément à tout le monde et à toutes les religions. Mais bon, c'est le propre de notre nation et de notre civilisation. Attention, cela va au-delà du thème de la parité.



Les scénarios sont divertissants et mettent bien les idées à véhiculer en valeur. Les intrigues sont contemporaines. Bref, un ouvrage à glisser dans tous les cartables afin d'ouvrir la réflexion.
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Miralda, tome 1 : On ne chassera pas Mirald..

dessinatrice rencontrée lors de "festiBD" à Moulins, est intervenue dans ma classe : plutôt intéressante comme fille, en tout cas a su me montrer tout le travail qu'il y avait derrière la création d'une BD, et j'aime bien ses illustrations, leur douceur, leur précision aussi, et dans ce livre là, les angles de vue.



pour ce qui est du conte en lui-même, je n'ai pas été emballée, il y a des jeux de mots sympas, mais l'histoire est un peu creuse à mon goût et surtout, la tranche d'âge est mal définie : mal adaptée aux 6-8 ans et pourtant, les jeux de mots ne sont compréhensibles qu'à partir de là...



quant au personnage, cette Miralda qui est censée être une sorcière écolo citoyenne, ses traits ne sont que grossièrement dessinés, on cerne mal ce qu'elle est vraiment, elle se moque des gens mais pas de ses chats, c'est peut être rigolo mais pas du tout dans l'esprit "écolo-citoyen"... des contradictions donc, pour une histoire qui manque de maturité.



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Téo : Le jardin de grand-mère

Une bd bel et bien destinée à la jeunesse mais pas à la nôtre. En effet, une jeunesse des années 1950, voire 1940 ; bref une jeunesse d'une autre époque. Mais comment peut-on encore faire de la bande dessinée d'outre-tombe en 2005 ? Point de modernité ! Est-ce que c'est volontairement l'effet recherché comme pour nous indiquer que la vie à la campagne, proche de la nature, c'est bien mieux que la modernité de ces villes qui polluent nos rivières...



Le dessin est archi-stéréotypé voire figé avec une couche de coloriage intensif. Je ne vous parle pas des expressions qu'empruntent ces chers petits bambins. Si vous connaissez des enfants qui à l'âge de 5 ans disent : "on ne va jamais se trouver au milieu de ce capharnaüm", c'est promis je veux bien aller m'exiler au Tibet !



En attendant, cette bd est bien gentille, voire naïve en surfant également sur une vague quasi écologiste. Mais bon, il y a pire...
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Le Secret des Lutins

Arthur est un garçon moderne comme les autres qui joue sur sa console de jeux vidéo. Pour autant, il va vite s’apercevoir qu’il possède certains dons. Son destin va vite être différent des garçons de son âge.



Je retiens une lecture jeunesse plutôt agréable mais finalement assez fade pour un adulte. Cet album est en revanche résolument dénué d'originalité même si l’idée d’un Arthur nouvelle génération peut apparaître comme révolutionnaire.



Certes, il y a un graphisme assez avenant avec des personnages globalement bien dessinés et plein de détails au niveau des décors. Cependant, le scénario s’est révélé assez mièvre et assez linéaire.



En effet, c’est presque un concentré de récit qui aurait pu s’étaler sur plusieurs tomes et être un peu plus développé. L’ensemble reste quand même très naïf.



Je pense que cela plaira aux plus jeunes des lecteurs qui pourront y trouver leur compte.
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Le Royaume d'Estompe

En ce jour d’automne, Noémie se rend chez ses grands-parents paternels. Habituellement, elle ne vient ici que pour les vacances d’été. Mais aujourd’hui est un jour de tristesse. Son grand-père vient de mourir et le paysage de ses vacances prend un tout autre visage. Les rires et les jeux ont laissé la place à la tristesse et aux larmes.



Le soir de l’enterrement, Noémie a du mal à trouver le sommeil. Les multiples petits craquements de la maison, habituellement silencieuse, attire l’attention de l’enfant. Elle a pourtant perdu l’habitude de se blottir contre un doudou mais ce soir-là, elle ressent le besoin d’avoir Mister Piggs à ses côtés. Une voix, portée par le vent, la réveille en pleine nuit. Sur l’invitation de Piggs qui a pris vie, Noémie va le suivre dans un pays imaginaire. Devenue ambassadrice d’un rêveur en péril, sa quête va la conduire par monts et par vaux dans un éprouvant combat contre une créature malfaisante.



-



Dès les premières pages, la luminosité des couleurs nous assaille. Elles introduisent derechef une ambiance propice au voyage et à l’émerveillement. De même, le lecteur sera sensible à la tonalité du récit à la fois grave et nostalgique. On comprend que le narrateur est la jeune fille. Jean-Christophe Deveney respecte les capacités de raisonnement et le niveau de langage de son personnage (une douzaine d’années), mais la voix-off imprime un recul qui n’est pas celui d’une enfant de cet âge. Cela crée un décalage intéressant. Il respecte la part d’imaginaire de l’enfant et lui donne une mélancolie qui charme le lecteur. En effet, cela donne un côté poétique à la narration.



" Il est temps de prendre la clé des songes ".



Cette réplique de Piggs conclut le prologue. La partie introductive – d’une vingtaine de pages – est ancrée dans la réalité ; elle laisse ensuite la place au voyage et à la quête de la jeune fille. Dès lors, les repères habituels se tordent pour laisser place à de nouveaux paysages et des rencontres atypiques. Comme la petite Alice, Noémie ne reculera pas devant le danger et l’inconnu. Portée par son désir de venir en aide à un rêveur en détresse, elle accepte de s’enfoncer toujours plus loin dans cette épopée. Piggs sera son guide principal. Comme le lapin blanc dans Alice au pays des merveilles, cet individu a la lourde tâche de transmettre les codes de ce nouveau monde. Le duo va ensuite accueillir un jeune Prince qui, à mesure que le récit se développe, rajeunira. Enfin, un dernier compagnon complète cette équipe de courageux aventuriers ; il s’agit du Chevalier Mulhot (un rongeur). Tous quatre vont unir leurs forces pour combattre l’Estompe, mystérieuse créature des ténèbres. La présence de ce personnage donnera également tout son sens (propre et figuré) au titre de l’ouvrage…



…qui développe un monde remplit de magie et de légendes.



Tatiana Domas donne vie à un univers somptueux. Le trait est minutieux, les couleurs chatoyantes. Seul grief que je pourrais émettre sur la partie graphique : les expressions sont parfois trop figées, ce qui casse le rythme et le lyrisme du récit. Nous sommes-là face à une épopée d’héroïc-fantasy qui s’adresse à un lectorat que je ciblerais sur les 8-12 ans. Tous les ingrédients y sont présents : la quête, le groupe de personnages hétéroclites, le Roi et la Princesse, le Mal, la Magie.



Dans l’ensemble, j’ai alterné des temps de lecture où j’étais totalement prise par l’histoire et d’autres moments où j’étais simple spectatrice. A plusieurs reprises, j’ai été contrariée par le fait que les enchainements entre les scènes ne sont pas suffisamment construits. Puis, passée la page 50, tout se bouscule, les solutions arrivent trop vite et s’imposent sans être réellement argumentées. Pris par l’action, les personnages interagissent indépendamment de l’histoire et intègrent à leur logique des éléments narratifs qui n’avaient pas été portés auparavant à la connaissance du lecteur.



Je n’ai pas proposé cette lecture à Monsieur Lutin. Malgré le voyage que m’a offert cet ouvrage, je reste cependant dans l’expectative quant à son dénouement… pour le moment, je ne saurais le rendre accessible à mon fils. Pourtant, la réflexion qu’il sous-tend est pertinente. Voici ce que l’éditeur en dit : « Le Royaume d’Estompe est un récit qui, à travers le conte et l’onirisme, aborde le thème du deuil et de ce qui fait que l’on continue à vivre, alors que ceux que l’on aime ont disparu ».



En conclusion, il me semble que quelques pages supplémentaires, aux 68 pages consacrées à ce récit, auraient été les bienvenues. Peut-être aurait-elle permis que le scénariste s’attarde davantage sur certains éléments narratifs pour permettre au lecteur de s’imprégner totalement de cet univers et de ses protagonistes.
Lien : http://chezmo.wordpress.com/..
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Le Royaume d'Estompe

Une découverte magique ! Cette bande dessinée nous plonge dans un rêve, un nouvel univers qui est celui de l'Estompe.

Une jeune fille de 12 ans, Noémie, revient dans la demeure familiale pour l'enterrement de son grand-père. Alors qu'elle cherche difficilement le sommeil elle est entend un appel à l'aide. De là, Noémie va basculé dans un rêve, un rêve lointain, celui d'un jeune prince qui vient de voir son père enlevé par l'Estompe, ennemie du Royaume. Elle va alors se lancer à la recherche du Roi disparu et plonger dans un monde onirique dont elle est la clé.

Cette histoire, destinée aux enfants et relatant le thème du deuil, est sublimée par le dessin de Tatiana Domas. Avec un dessin léger et enivrant, un trait souple et soigné, des couleurs en accord avec les différentes émotions des personnages, elle nous ouvre un monde où il fait bon y entrer.

Ce qu'il faut retenir c'est que la perte d'un être cher n'efface pas les souvenirs qu'on en a, il vivra toujours à travers nous.
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Égaux sans ego

Voici une BD sur le thème de l'égalité fille-garçon et la lutte contre les stéréotypes qui m'a interpellée ; la couverture est attrayante et le sujet d'actualité, et j'étais curieuse de savoir si ce document était intéressant à exploiter en classe, notamment au collège. Les cinq histoires ont été écrites sur des paroles de collégiens et de lycéens et illustrées par des illustrateurs différents. Sur ces cinq histoires, trois ne m'ont pas trop plues, que ce soit au niveau des dessins ou du scenario que je ne trouvais pas très clair (Alix et Alix atout sport / Paroles d'ordis d'ados / Course d'orientation). Look'Ado et Un sari pour Sarah m'ont plus touchée. Ce volume peut donc être utile en classe, notamment pour l'éducation aux médias et à l'information ou pour l'éducation morale et civique ; mais ce n'est pas un coup de cœur.
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Égaux sans ego

Une bonne bande dessinée, que je conseille vivement aux adolescents, mettant en avant et ce avec un certain humour, différents aspects, de l'égalité hommes-femmes, comme, par exemple, sur le plan professionnel ou même, sur le plan scolaire.
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Égaux sans ego

J'ai trouvé cette B.D intéressante car elle montre en quelque sorte dans quel monde nous vivons en ce moment, et elle exprime beaucoup de choses. En revanche un des scénarios n'a pas été très bien illustré ce qui ne donne pas très envie de le lire.
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Égaux sans ego

BD qui raconte 5 petites histoires sur le thème de l'égalité homme-femme et sur les nombreux stéréotypes qui collent à la peau.

Le thème est fort intéressant et d'actualité avec des infos sur la place de la femme dans la société.

Les 5 histoires sont tres différentes, ce nest pas toujours facile de rentrer dedans, les illustrations ne m'ont pas toujours convaincus (Alix et course d'orientation).

Je pense que c'est vraiment une BD qui est une base pour les élèves pour en discuter ensuite en cours. Elle amène à faire réfléchir et permet le debat en classe.
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Le Secret des Lutins

Un petit livre sympa avec de jolies illustrations, quelques clins d'oeil qui font toujours plaisir
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Égaux sans ego

Le livre est intéressant, chaque BD relate les faits réels hormis celle qui parle d'orientation ou pour moi les dessins sont hors contextes, et pour moi je pense que pour le travail il n'y a plus de distinction homme ou femme. Après, la BD sur les violences entre couplé est bien illustrer et exact juste et d'actualité. Celle des dangers sur internet est l'histoire sur l'égalité garçon fille est bien expliquer mais je suis déçu au niveau dessin trop simpliste. La BD la mieux illustrer et explicite est pour moi celle du look, qui représente bien la vie actuel des ado ou la mode à une très grande influence sur leur façon d'être.
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Égaux sans ego

Parmi ces quelques histoires, seulement trois d'entre elles sont intéressantes. Même si ces histoires arrivent souvent dans la réalité, les filles sont rabaissées par rapport aux garçons.

Cependant, une fois après la lecture achevée, cette bande-dessinée nous fait réfléchir sur nous-même et sur nos actes.
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Égaux sans ego

Au travers de 5 scénarios, les relations fille/garçon sont abordés : le problème des filles qui subissent des remarques lorsuq'elles portent des jupes, la question des stéréotypes de genre, le problème de la vie privée affichée sur les réseaux sociaux, les problèmes liés aux métiers plutôt féminins ou plutôt masculins et enfin les violences au sein d'un jeune couple. L'histoire et le changement d'illustrateur sont agréables. Le seul petit bémol que je mettrai est l'aspect trop scolaire, trop éducatif qui se dégage de la BD. Ce peut être un outil de support pour les débats.
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Le Royaume d'Estompe

Noémie revient à la bastide à l’automne pour enterrer son grand-père. Elle n’avait vu la demeure que l’été et la trouve sombre et triste, comme cette saison témoin de la disparition de son aïeul. Le soir venu, elle retrouve Piggs, son doudou cochon qui dans la nuit l’accompagne au pays des songes. Ils y retrouvent un jeune homme qui déplore la disparition du roi vaincu par l’estompe, une créature terrifiante qu’il avait autrefois chassée sous terre. Et la quête commence… Ils se perdent dans le temps… Jusqu’au réveil de la petite fille. Et, bien des années plus tard, Noémie devenue femme, les mains sur son ventre, confie à son futur enfant qu’elle lui racontera un beau jour ce rêve qui l’habite encore.



Une histoire à la construction quelque peu complexe. Comment expliquer la mort et le deuil aux enfants ? Comment leur dire que le disparu ne disparaît pas vraiment tant qu’il est dans notre cœur et qu’il a encore ce monde-là pour exister ? Cet ouvrage revisite, par ailleurs, le domaine des songes et en fait un monde bien plus habité que nous ne l’imaginons. Le graphisme est totalement dépendant du déroulement de l’intrigue. Sombre lorsque la tristesse ou le danger submerge les personnages et lumineux lorsque risque et peine sont évacués. Un bel album mais nul doute que les enfants qui le liront auront sans doute besoin de l’aide d’un adulte pour bien en saisir toutes les subtilités.
Lien : http://crdp.ac-amiens.fr/cdd..
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