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Citations de Teri Terry (101)


C'est la raison pour laquelle je vous ai adoptées, Kyla, tu comprends? dit-elle. Parce que j'espère que, quelque part, quelqu'un a pris soin de Robert et l'a aimé. C'est la raison pour laquelle je fais cela pour Amy et pour toi.
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Les liens avec le passé compromettent la loyauté au mouvement
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J'en frissonne de la tête aux pieds.
Puis la honte m'envahit. Que va-t-il arriver à cette femme et à son enfant ? Je ne saurai jamais ce qu'elle a fait pour être ainsi traquée par les Lorders, ni le sort qu'ils lui réservent. Nous vivons dans une telle terreur... Nous ne réagissons même plus ! Et si quelqu'un avait protesté ? Si nous nous étions tous levés pour les protéger ? La réponse s'impose d'elle-même.
Nous aurions juste ralenti le processus. A la gare suivante, il y aurait eu des renforts et nous aurions été arrêtés. Est-ce une raison suffisante pour se taire ?
Il faudrait que nous disions "non", ensemble et avec force. Aiden pense que révéler au monde l'étendue de la tyrannie des Lorders va provoquer cet électrochoc. Car en dépit de leur puissance, ils ne peuvent pas arrêter tous les habitants de ce pays...
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Cours comme si ta vie en dépendait.
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Des briques s'élèvent autour de moi avec un bruit semblable au raclement d'une pelle sur le sable .
Soudain l'obscurité me cerne .
Et le silence .
Un silence compact et absolu .
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La meilleure manière de mentir consiste à rester le plus près possible de la vérité.
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Chapitre 49 Page 363

Chère Kyla,
Si tu trouves ce papier, cela veut dire que les choses ont très
mal tourné. Je suis désolé de te causer du chagrin. Mais sache
que c'était ma décision, et que je l'ai prise tout seul. Personne
d'autre n'en est responsable.
Je t'aime
Ben.
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Douleur atroce. Le monde est douleur, il n'y a rien d'autre.
C'est une pulsation brûlante, un étau rougeoyant qui se resserre sur tout mon être : ce que je suis, ce que j'ai été, ce que je pourrais devenir.
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-Alors les deux camps ont eu ce qu'ils voulaient, finalement, murmurais-je. C'est ça, un compromis?
Maman a un drôle de rire triste.
-Ce serait plutôt le contraire. Aucun n'a eu ce qu'il voulait, et chacun tenait l'autre pour responsable.
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Mon engourdissement se dissipe, ne laissant plus que la souffrance dans son sillage. Je pleure la petite fille que j'ai été, celle dont je n'ai aucun souvenir, sauf qu'elle aimait son père. je pleure ce père et tous ses efforts pour la secourir, quelle que soit la raison pour laquelle elle avait atterri dans cet endroit. je pleure parce que j'ai été incapable de faire ce qu'il m'a demandé : n'oublie jamais qui tu es, m'avait-il dit, et pourtant je l'ai oublié. (...)
Et je pleure enfin sur moi-même, sur celle que je suis désormais. Où est ma place en ce monde ? (p.410)
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Si nous résistions, tous ensemble dans tout le pays, à chaque injustice, ce cauchemar finirait bien par s'arrêter !
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J'ai été trop longtemps manipulée, tiraillée entre ce que j'étais et ce que je suis devenue. Mais qui veux-je être, au fond ?
Je l'ignore encore, mais ce que je suis et ce que je fais maintenant, c'est à moi seule d'en décider.
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— Qu'y a-t-il ? insiste-t-elle.

— Je déteste les brocolis, lancé-je en éclatant en sanglots.

Mais ce n'est pas pour cela que je pleure.

En fait, à peine en avais-je mis dans ma bouche, l'autre jour, que j'ai reconnu leur goût. Donc, cela veut dire que je les détestais avant d'être Effacée et que je m'en souviens. Que j'ai une mémoire...

Je ne suis pas une nouvelle personne, quoi qu'ils en disent. Et ce que j'ai pu faire dans le passé, c'est encore en moi, caché quelque
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J'ai seize ans. Parfois j'ai l'impression qu'on m'a enfermée dans un placard depuis ma naissance. Mais être Effacée, ça fait cet effet-là en permanence.
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Il est ma terreur, la substance noire de mes cauchemars.
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Comment les choses peuvent-elles changer si personne n'est au courant?
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Fais bien attention à qui tu t'adresses. Les questions dérangent, dans notre monde.
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Chapitre 46 Page 336-337

- Ben ! Tu es là !
Il sourit.
- Je ne pouvais pas partir sans te dire au revoir.
Il s'agenouille près de moi.
- Ne me laisse pas ! Ne t'en vas pas, je t'en prie.
Les larmes coulent sur mes joues.
- Je ne peux pas rester, Kyla. C'est trop tard.
Il sourit encore, mais ses yeux sont tristes.
- Soit forte, ajoute-t-il.
Il se penche, effleure mes lèvres, tendrement, puis s'écarte.
La lumière brille à travers lui
- Au revoir, Kyla, dit-il d'une voix déjà à peine audible.
Puis c'est le silence.
Il est parti.
C'était notre dernier baiser.
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Elle doit être sincère car son Nivo affiche 6,3 en gros chiffres numériques.
Nous arrivons devant la grille de sortie.
Un garde s'avance vers la voiture et les autres nous dévisagent derrière les fenêtres. Mon père appuie sur des boutons et toutes les vitres de la voiture descendent. Même le coffre s'ouvre.
Mes parents et Amy remontent leurs manches et tendent leur main droite au-dehors. J'en fais autant. Puis un garde avise les poignets nus de mes parents, hoche la tête, et passe un objet au-dessus du Nivo d'Amy. L'objet sonne. Il procède de la même manière avec moi. Ensuite il va examiner le coffre et le referme d'un coup sec.
La barrière de sûreté s'ouvre enfin et nous débouchons dans une rue.
— Kyla, qu'aimerais-tu faire, aujourd'hui ? me demande ma mère.
Elle est ronde et pointue. Oui, je sais : ces deux adjec­tifs paraissent contradictoires. Je veux dire qu'elle est ronde de corps et tendre d'apparence, mais que ses regards et ses paroles sont aigus et perçants.
Je me retourne. Le complexe hospitalier occupe tout l'horizon : interminables rangées de petites fenêtres grilla­gées, hautes clôtures, miradors disposés à intervalles régu­liers, sentinelles...
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Ne fais confiance à personne et écoute-moi très attentivement. La plupart des choses qu'on t'a apprises sont fausses.
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