Tour du monde en famille : ils partent à 6 ! - Ça commence aujourd'hui
Quand on impose une norme comportementale, on fait preuve de violence.
La gratitude est un puissant antidote à l'arrogance.
Selon moi, le bornout est à la fois une issue possible au burnout et une solution à ce dernier. En effet, c'est un chemin de renaissance, une métamorphose qui permet aux têtes brûlées de renaitre de leurs cendres et d'accéder au plus grand niveau de conscience et d'épanouissement personnel.
A MEDITER C'est pour venir à bout de l'immobilisme que le burnout entre dans la vie de ceux qui refusent d'y entrer eux-mêmes.
Avertissement
Avant d'écrire le mot de la fin, j'aimerais encore préciser quelque chose de très important. Tout au long des pages qui précèdent, j'ai encouragé l'envol de chacun, la prise de responsabilité, le mouvement introspectif et l'audace d'être soi. j'aimerais maintenant rappeler un principe fondamental : tout le monde n'est pas prêt à cela.
Il serait donc tout à fait contre-productif et même violent d'imposer à toute une entreprise la libération de la parole, l'holocratie, l'agilité ou l'expression des émotions. Le propos de mon livre, je le rappelle, est d'ouvrir des pistes pour mieux prendre soin de ceux qui s'usent dans le système actuel. Attention à ne pas malmener ceux qui se portent à merveille et qui supportent parfaitement les fonctionnement en vigueur.
Merci d'avance.
Tout le monde a de l'intuition. Il y a ceux qui le savent et les autres. Ceux qui l'écoutent et les autres. Rien ni personne dans notre éducation et notre développement professionnel ne nous enseigne l'intuition. Or, l'intuition est un message émis par la source elle-même. Elle nous soutient, nous guide et nous accompagne dans les moments et les choix importants de la vie.
Il faut dire que le mot est tabou. Dire qu'on a du burnout chez soi, c'est comme annoncer publiquement qu'on a la lèpre. Or, nous l'avons vu, le burnout n'est ni contagieux ni condamnable. Il est même vertueux si on accepte d'en faire quelque chose.
Pour récupérer, on nous conseille de nous ressourcer et de faire des choses qui nous font du bien. Nous faire plaisir. Mais quand on en est l, c'est impossible. On n'a plus goût à rien. Vidé de toute énergie vitale, on n'a aucun élan, pas la moindre force pour se mettre sous le robinet et ses ressources. Pire, quand on y va, la pression de l'eau est trop forte. Paradoxalement, se ressourcer devient violent à en faire mal. Psychologiquement, on sent que ça sonne creux au fond de soi. L'eau rebondit et nous assourdit, mais notre état ne s'améliore pas. Alors que faire ?Tout d'abord, s'arrêter. Pour de vrai. Et longtemps. Accepter la situation. Et l'imposer à ceux qui la refusent. Il n'y a pas d'autre choix. Rien d'autre à faire. Seul ce temps de pause permet à l'organisme de récupérer lentement et aux connexions neuronales de se rétablir.Pour récupérer, on nous conseille de nous ressourcer et de faire des choses qui nous font du bien. Nous faire plaisir. Mais quand on en est l, c'est impossible. On n'a plus goût à rien. Vidé de toute énergie vitale, on n'a aucun élan, pas la moindre force pour se mettre sous le robinet et ses ressources. Pire, quand on y va, la pression de l'eau est trop forte. Paradoxalement, se ressourcer devient violent à en faire mal. Psychologiquement, on sent que ça sonne creux au fond de soi. L'eau rebondit et nous assourdit, mais notre état ne s'améliore pas. Alors que faire ?Tout d'abord, s'arrêter. Pour de vrai. Et longtemps. Accepter la situation. Et l'imposer à ceux qui la refusent. Il n'y a pas d'autre choix. Rien d'autre à faire. Seul ce temps de pause permet à l'organisme de récupérer lentement et aux connexions neuronales de se rétablir.
Merci aussi à tous les sceptiques et défaitistes que je rencontre encore souvent. Vos réticences et vos doutes ont nourri l'optimisme qui imprègne chaque page de ce livre.
... tant qu'on se conforte dans le rôle de victime, on s'interdit d'évoluer, de grandir et de guérir s'il le fallait.