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Citations de Thierry Cohen (552)


L'enfer c'est la conscience de nos erreurs, sans possibilité de réparation.
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En chaque femme, il y a toutes les femmes : la princesse, la jeune fille, l'aventurière, la compagne, la mère ; celles que nous avons été ou que nous aurions pu être ; celles que nous pensons pouvoir devenir un jour ; celles que nous ne serons jamais.
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Perdre ses enfants est la pire des épreuves. Elle laisse une plaie béante dans l’âme, qui jamais ne se referme. 
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Je me souviens avoir un jour entendu un religieux dire qu'un homme a trois chances successives de se construire. Tout d'abord, avec l'aide de ses parents. S'il n'y parvient pas, sa femme lui offre une autre chance de sortir de sa condition d'homme léger, égoïste, immature. S'il échoue, alors ses enfants deviennent son ultime recours. Après... il est foutu.
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Thierry Cohen
Souvent les gens confondent le désir et l’amour. Ils se sont fourvoyés dans des histoires inutiles, ont dilué leur identité, leurs valeurs dans de stupides aventures ou dans des idées trompeuses. Ils se sont perdus et, par là même, ont corrompu cette capacité d’entendre leur âme, de distinguer l’image de leur double. Dès lors, ils se trompent de vie, de route et de personne.
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L’espoir est une fable que l’esprit raconte au cœur pour le maintenir en vie.
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Souvent les gens confondent le désir et l’amour. Ils se sont fourvoyés dans des histoires inutiles, ont dilué leur identité, leurs valeurs dans de stupides aventures ou dans des idées trompeuses. Ils se sont perdus et, par là même, ont corrompu cette capacité d’entendre leur âme, de distinguer l’image de leur double. Dès lors, ils se trompent de vie, de route et de personne. Ils rencontrent un homme, une femme et, pour toutes sortes de mauvaises raisons, pensent qu’il s’agit de l’être qui leur était destiné. Pour des raisons esthétiques : il est si beau, elle est si belle. Ou sociales : ça se fait, je dois me marier, former un couple, je veux faire comme les autres. Pragmatiques, même : ce sera plus facile à deux. Commerciales également : notre société présente l’amour comme un produit de consommation. Souvent, pour toutes ces raisons à la fois et d’autres encore. Et, dès le lendemain de leur première nuit, ils commencent à s’évaluer. Ah, elle a fait ça, ce n’est pas bien, un point en moins. Tiens, il ne m’a pas dit ce que j’attendais, encore un point en moins. Ils deviennent peu à peu comptables de leur relation, et quand ils font le bilan, celui-ci est déficitaire. Ce qui devait être harmonie devient désaccord, se transforme en querelles et va jusqu’à la désunion. Alors, ils ferment boutique. L’amour, je te l’ai dit, c’est autre chose. C’est une complémentarité qui se révèle immédiatement ou avec le temps. Et on s’émerveille de ce que l’autre soit différent de nous et de ce que cette différence nous apporte, nous transforme, nous rende meilleur.
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Ce que cette histoire m’a appris, c’est que la valeur d’un homme est celle du temps qu’il passe à aimer le siens est à recueillir leur amour en retour.
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L'amour est comme le rire. C'est un réflexe contre lequel on ne peut rien.
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Chacun d'entre nous est destiné à rencontrer un livre, son livre. Un seul et unique livre qui l'attend quelque part, dans les rayons d'une librairie. Un livre qui donnera sens à son existence, éclairera sa route, fera écho à ses douleurs, à ses espoirs, lui indiquera le chemin à emprunter, les valeurs à préserver et l'accompagnera jusqu'à la mort. C'est cela un livre lumière.
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Des êtres sont nés le même jour que vous, ont poussé leur premier cri à l’unisson du votre. D’autres cesseront de respirer à la seconde où vous quitterez ce monde. Peut-être que la vie vous amènera à rencontrer les uns ou les autres. Peut-être que non. Partagez-vous la même âme que certains d’entre eux ? Qu’importe. Nous avons une vie à mener sans attendre la mort et sans la redouter. Pour ma part, je n’en ai pas peur car j’ai aimé ma vie. J’ai aimé et transmis, me suis construite et ai aidé les autres à en faire de même. J’accepte son issue. En fait, je crois que personne n’a réellement peur de la mort. Nous avons seulement peur de ne pas avoir le temps de nous habituer à l’idée de mourir faute d’avoir compris ce que vivre signifie.
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Des mots comme des perles, nacrées par le temps autour d'une blessure.
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Les fidèles arrivent, s’embrassent, se serrent la main, la portent sur leur cœur, plaisantent. Ils ressemblent à de banals croyants, à des pères de famille tranquilles. Pourtant, dès les premières paroles, certains s’exciteront, entrerons dans une transe guerrière, venimeuse et aveugle.
L’islam ne mérite pas ça. Aucune religion ne réclame de se voir dévoyée de sa dimension humaniste.
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Avez vous remarqué l'importance des points de suspension dans une discussion entre deux etres qui évaluent leurs chances de se séduire ? Sur ces trois points viennent se poser toutes les paroles que l'on souhaitent dire ou lire .
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Elle souhaitait que je sois l'auteur du roman de sa vie. Je ne voulais qu'en être l'acteur.
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- Quand Bernard-Henri Lévy, André Glucksmann où tous les autres intellos écrivent des bouquins, ils proposent une idée, une vision neuve. Une seule idée et quelques arguments pour la défendre. Cette idée et ces arguments peuvent tenir sur une page. Mais eux souhaitent en faire un bouquin parce qu’ils ont compris qu’une idée dite en une phrase revient juste à un slogan. Exprimée en une page, c’est une chronique. Étalée sur trois cents, ça devient une pensée. Le livre anoblit les auteurs ! Alors ils se cassent le cul à étaler cette idée, à l’expliquer, l’argumenter, et en profitent pour montrer qu’ils ont des références, sont cultivés et qu’il faudra compter sur eux pour parler de société et de politique. Et, afin que leurs talents soient reconnus par les intellos déjà en place, ils se débrouillent pour utiliser un langage qu’eux seuls peuvent comprendre.
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Tarik est à mes côtés. Quelle idée de l’avoir embarqué dans cette stupide aventure. Je pense à ce qui pourrait nous arriver si on se faisait choper. Je songe aussi à papa et maman. Ils auraient honte, m’en voudraient d’avoir entraîné mon frère. Ne suis-je pas responsable de lui, comme papa ne cesse de me le rappeler ? « Un grand frère c’est comme un autre père ».
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les hommes ont le pouvoir d'accomplir les plus grandes choses. Ils peuvent construire leur vie, en créer d'autres ou aider celle des autres à se construire. On ne vit jamais seul. La solitude est une illusion . Le desespoir, un leurre.
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La considération que l’on porte aux êtres influe sur leur développement. (...)
Robert Rosenthal a donné à ce principe le nom d’ « effet Pygmalion ».
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Brusquement, je me sens ridicule. Qu'est-ce que je fous, là, allongé comme un chien, silencieux comme un chat et grelottant de trac tel un rat?
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