Citations de Thierry Dedieu (142)
On récapitule :
pinicho
oinichba
libounich
nioniba
libounichocho
Alors qu'il s'était assoupi contre un arbre, une samare d'érable vint finir sa course à ses pieds, mais avant, elle avait virevolté dans les cieux, légère et tournoyante.
UN LOUP toutes dents dehors, fonce vers un mouton.
Il va le croquer !
Mais au dernier moment, une petite main lui fait des guilis.
Alors le mouton a tout le temps de s'enfuir !
Deux fois un deux
Deux fois deux quatre
Découpe mécanique de cabillaud
en sa robe de panure qui gratte,
avec son quartier de citron qui pique.
Gustave, mon amour
Que se passe-t-il ? Tes dernières lettres m'inquiètent. Pourquoi tu ne me racontes plus rien ? Finies les lettres de quatre pages où tu me disais les petits travers de tes camarades, et leur courage aussi ! Finies les confidences où tu arrivais à me faire rire de vos petits malheurs ! Dans ta dernière lettre, ces deux mots "ça va" m'ont glacé le sang.
Du creux des arbres sortaient de délicieux fumets.
Des parfums de gâteaux embaumaient les bosquets.
Les sucreries s'accumulaient.
L'attraction la plus appréciée des enfants était sans conteste le tour du parc à dos de chamodile.
Pie niche haut.
Oie niche bas.
L'hibou niche ni haut ni bas.
L'hibou niche au chaud.
Vous n'êtes qu'un filou ! Vous avez voulu nous tromper ! Qu'on vous mène en prison. Vous aurez tout le temps de faire la grimace... Madame la Limace !
Les hommes sans mémoire n’ont pas d’avenir.
- Quel jour on est aujourd'hui, Bob ?
- Le 6. Pourquoi, Marley ?
- Tatam !
- Mais ??! Ce n'est pas mon anniversaire !
- Les cadeaux, c'est quand on veur.
- C'est quoi ce truc moche ?
- Le cadeau rêvé des petits.
Une maison, mais pour quoi faire, Bob ?
On est partout chez nous.
Soit une poule sur une hauteur
qui fait varier l'angle de son corps et du plan horizontal
qui lui sert de base.
Une poule affamée par le rude hiver
Sans grain, sans gras, sans pain, sans vers
Les cadeaux, c'est quand on veut.
Attends-moi, Bob ! Tu oublies ton cadeau
"résumé"
Une poule vit sa vie.
Cent poules ! Attachées, sous le soleil électrique, picotent des pilules sur un tapis mécanique.
Les Hounks ont pillé nos cultures, éventré nos tentes, renversé nos réservoirs d'eau. Puis ils sont repartis au galop sur leurs petits chevaux.
Comme la semaine dernière, comme celle d'avant, comme hier, comme demain.