Citations de Tracy Wolff (333)
Un bon chef, ce n'est pas quelqu'un qui a toujours raison. C'est quelqu'un qui laisse de la place à l'opinion des autres.
Le pouvoir doit toujours être à l’équilibre. Il n’y a pas de force sans faiblesse, de beauté sans laideur, d’amour sans haine. De bien sans mal.
- Est-ce que tu as déjà désiré quelque chose si fort que tu as eu peur de le prendre ?
- Oui.
- C'est là, à portée de main, pourtant tu es si effrayé de ce qui arrivera quand tu le perdras que tu ne le prends pas?
- Oui, dit-il encore, et sa voix grave et douce s'insinue en moi.
- Et qu'est-ce que tu as fait?
Il laisse s'écouler de longues secondes sans répondre. Il me contemple de ses yeux si profonds, si douloureux, avant de dire enfin :
- J'ai décidé de le prendre quand même.
Puis il se penche et presse ses lèvres contre les miennes.
Il y a beaucoup de femmes qui doivent leur réussite au fait qu'un homme les a sous-estimées.
Le truc, c'est que, quand on se concentre sur le mauvais, on n'éprouve que du chagrin. À l'inverse, quand on garde à l'esprit le positif, on se donne la possibilité de se remémorer la joie. Contrairement à la culpabilité, elle panse les blessures.
Personne ne vit sans regrets. On prend tous un jour ou l'autre de mauvaises décisions. Mais si tu fais toujours de ton mieux, personne ne pourra rien te reprocher.
Les actions ont des conséquences. On fait tous des erreurs. Les cœurs peuvent être brisés. Mais juger les conséquences des actions de quelqu’un, décider d’une punition ? Ça aussi, ça a des conséquences. Ça peut nous emmener dans un cercle vicieux sans fin.
Ouais, la vie est dure. Alors soit tu te lèves et tu affrontes la réalité, soit tu laisses tomber. En tout cas décide-toi.
Plus grand-chose ne t’effraie lorsque tu as déjà perdu tout ce qui comptait pour toi.
Certaines histoires ne sont pas faites pour être partagées. Elles en perdraient leur magie.
Tes origines et ce que tu as subi ne sont qu’une fraction de ce que tu es, de ce que tu peux devenir. Ta vraie identité s’exprime à travers tes choix.
Tout le monde se conduit parfois comme un salopard. La seule différence, c’est que certains sont suffisamment honnêtes pour ne pas se le cacher. C’est de ceux qui dissimulent leurs saloperies qu’il faut se méfier.
J'ai caché mes pouvoirs dans son sourire, Grace.
Pour que tu saches que je crois en toi, moi aussi.
- Ils ne sont pas dingues de moi, je proteste en dénouant les cordons. Et je croyais que je devais garder mes distances avec Jaxon ?
- Ouais, mais ça c'était avant.
- Avant quoi ?
- Avant que je le voie te dévorer du regard.
Elle ferme les yeux et pousse un petit couinement très semblable à celui qui lui a échappé quand Jaxon lui a souri.
- J'aimerai bien que Cam me regarde comme ça...
- Tu veux qu'il te regarde comme s'il était un crétin arrogant habitué à ce que tout le monde lui obéisse ?
- Non, ça, il le fait déjà, ironise-t-elle. Je voudrais qu'il me regarde comme s'il avait physiquement mal de ne pas me toucher.
- Jaxon ne me regarde pas comme ça.
C'est plutôt moi qui le regarde ainsi, me dis-je.
Macy éclate de rire.
- Cousine chérie, ce garçon te veut si fort qu'il est à deux doigts de la combustion spontanée.
Mais trente jours suffisent à changer une vie. En trente jours, on peut tout perdre.
- Tout le monde se conduit parfois comme un salopard, répond-il avec une sincérité qui me surprend. La seule différence, c'est que certains sont suffisamment honnête pour ne pas me cacher. C'est de ceux qui dissimulent leurs saloperies qu'il faut se méfier.
J'ouvre le livre et découvre un post-it sur la page de garde. De son écriture désormais familière, Jaxon a recopié une phrase de l'ouvrage :
"Il serait plus .... prudent pour toi de ne pas être mon amie. Mais j'en ai assez d'essayer de t'éviter"
-Cela dit, reprend-il, tu as une fâcheuse tendance à fuir les conflits.
- Il n'y a rien de fâcheux à ne pas aimer les disputes.
- Non, mais ce n'est pas toujours malin de contourner un problème jusqu'à ce qu'il devienne trop gros pour être ignoré. C'est un coup à se gâcher la vie. Il vaut mieux réagir rapidement, quand la situation n'a pas encore dégénéré.
"- Est-ce que tu as déjà désiré quelque chose si fort que tu as eu peur de le prendre ?
-Oui.
-C'est là, à portée de main, pourtant tu es si effrayé de ce qui arrivera quand tu le perdras que tu ne le prends pas ?
-Oui, doit-il encore, et sa voix grave et douce s'insinue en moi.
-Et qu'est-ce que tu as fais ?
Il laisse s'écouler de longues secondes sans répondre. Il me contemple de ses yeux si profonds, si douloureux, avant de dire enfin :
-J'ai décidé de le prendre quand même.
Puis il se penche et presse ses lèvres contre les miennes."
Quinn leva les yeux au ciel.
- Tu veux pas la fermer un peu et me dire ce que je dois faire ?
- Tu sais que c'est physiquement impossible, n'est ce pas? De la fermer en même temps que te dire quoi faire...