Citations de Victoria Aveyard (369)
- J’aimerais que les choses soient différentes.
- Si tu meurs, je te tue.
Avec un sourire triste, il répond:
- Pareil.
-Je t'ai conseillé de cacher ton cœur, un jour. Tu aurais dû m'écouter.
"Je suis différente. Je ne ressemble à personne."
- Quelle conclusion en tirez-vous ?
- Je ne suis pas sûr encore. Ton cas est unique. Ni Rouge, ni Argent. Tu est autre chose. Tu es plus puissante.
- Différente.
Je m'attendais à ce que les expérimentations de Julian me fournissent une réponse, pas qu'elles soulèvent davantage de questions.
N'importe qui peut trahir n'importe qui.
La vérité n'a aucune importance. Seul compte ce que croient les gens.
“Glorian est perdu pour nous », se contraignit-il à avouer.
Sa tante tendit à nouveau la main, mais Dom s’écarta tel un enfant coléreux.
Il se campa devant la statue ailée de Baleïr. Le dieu guerrier était censé accorder du courage. Donnes-en un peu à ces lâches d’immortels, songea-t-il avec dépit.
Sans réfléchir, je lui ouvre mon cœur.
- Elle me manque.
- À moi aussi.
Nous avons beau parler de deux personnes différentes, le sentiment est le même. Il observe ses mains, comme honteux d'éprouver de l'amour pour une personne qu'il ne peut avoir. Je connais cette souffrance. Cette ancre. Qui finira par nous entraîner vers le fond et par nous noyer tous les deux.
- (...) Mais je ne considérerai jamais que l'amour est une faiblesse. Pour moi, la vraie faiblesse, c'est de vivre sans amour d'aucune sorte. On se condamne aux pires des ténèbres.
Le monde n’est plus que douleur.
Nous paraissons faibles, parce que nous le voulons.
- Il te reste combien de temps ?
- Un peu moins chaque jour.
The farewell is for another boy, lost years ago, before he became what I am now.
Même à côté de Cal, véritable fournaise ambulante, je sens un froid glacial envahir ma chair. J’ignore d’où il vient, simplement qu’il monte dans les moments de tranquillité, quand je suis immobile, quand je m’absorbe dans mes pensées. Quand je me rappelle tout ce que j’ai fait, et ce qu’on m’a fait. La glace se fige à l’endroit où devrait se trouver mon cœur, menaçant de fendre ma poitrine en deux. Mes bras s’enroulent autour d’elle pour tenter d’arrêter la douleur. Ça marche un peu, la chaleur me pénètre à nouveau. Mais lorsque la glace fond, il ne reste plus que le vide. Un abîme. Et je ne sais pas comment le combler.
Il m’a dit un jour que c’était cruel de donner de l’espoir quand il n’y en avait pas. Il n’avait aucun espoir de remarcher un jour, de redevenir l’homme d’autrefois. Aujourd’hui il est la preuve vivante du contraire : l’espoir, aussi maigre soit-il, aussi impossible semble-t-il, peut finir par porter ses fruits.
Et moi ? Qui aurais-je choisi ? Si rien de toute ceci n'avait eu lieu, si le maître de Kilorn n'était pas mort, si la main de Gisa n'avait pas été brisée, si rien n'avait changé... Si. Le pire mot au monde.
- Je suis une princesse, une reine, pas un chien qui va chercher un bâton.
- Bien sûr que tu n’es pas un chien, ma chère. Les chiens obéissent, eux.
To sleep without nightmares, and live without fear.
Tu n'es pas une Argent. Tes parents sont des Rouges, tu es une Rouge, et ton sang est rouge, murmure la reine qui rôde devant ma cage. Tu es un miracle, Mare Barrow, une énigme. Même moi je ne peux pas l'expliquer, et pourtant j'ai vu toute ta vie.