« La mort se lit sur son visage », dit Jones.
Le recteur prit la photo : « Les jeunes en esprit, les éternellement jeunes portent toujours la mort sur leurs visages. La mort pour eux et la mort pour les autres. Et le déshonneur. Mais la mort en tout cas. Et pourquoi non ? Pourquoi la mort ne convoiterait-elle que ce dont la vie n’a plus que faire ? Qui voudrait cueillir une rose fanée ? »
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