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Citations de William R. Forstchen (32)


La liberté a pour prix une éternelle vigilance.
Thomas Jefferson.
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Le pays du lait et du miel, le pays où l'obésité était considérée comme un danger majeur pour la santé publique, avec ses chaînes alimentaires qui se battaient pour savoir lequel fabriquait le plus gros hamburger… Il se demandait souvent comment pouvaient réagir le Libéria, le Yémen ou l'Afghanistan devant de tels excès.
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Jamais l'ennemi ne t'attaquera là où tu es le plus fort… Il t'attaquera sur ton point faible. Et si tu ne connais pas ton point faible, sois certain que lui le connaît.
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Il y a trois semaines, on était tous américains. Si quelqu'un émettait une réflexion agressive, sexiste ou raciste, mon Dieu, tout le monde s'indignait et ça faisait la une des journaux. Pourtant, il suffit que l'électricité nous lâche et, voilà, en quelques jours, on commence à s’entretuer.
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- Tu ne peux pas retenir le temps , tu sais .
- Je peux essayer , rétorqua-t-il sur un ton amusé .
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Bon sang , il venait de tuer deux hommes sans une hésitation , et voilà qu'il pleurait la mort d'un chien !
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Vous semblez oublier à quel point nous sommes fragiles, nous la génération la plus assistée de toute l'histoire de l'humanité. Des crises cardiaques, quelques accidents stupides, au moins huit meurtres et plusieurs suicides. Pour le dire froidement, mes amis, tous ceux qui auraient dû passer il y a des années seraient déjà morts sans bêtabloquants, sans angioplasties, sans pacemakers ou sans ces innombrables médicaments plus ou moins exotiques dont on nous inonde. Maintenant, ils meurent tous d'un coup.
- Ça a même frappé les pacemakers ? demanda Charlie. Bon Dieu...
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Comme Lee l'a dit, il est bon que la guerre soit horrible, autrement nous finirions par l'adorer.
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Le colonel pointa la lunette sur les nuées de fantassins. On aurait dit des troupes médiévales, armées d'un assortiment hétéroclite de lances, d'épées, de massues et de fourches.
Il regarda Tobias, qui le fixa sans rien dire.
- Capitaine... Mais où sommes-nous, par le ciel ?
- Je ne sais pas...
- Putain, vous feriez mieux de le découvrir mon pote, parce que ça m'étonnerait franchement qu'on ait atterri en Caroline du Sud !
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Les hôpitaux ne sont pas équipés contre ce genre d'accidents. Les générateurs de secours grilleront avec tout le reste, et vous savez ce que ça veut dire. (...) Si les groupes électrogènes ne se sont pas mis en route, tous ceux qui se trouvaient en unité de soins intensifs ou en salle d'opération doivent être morts, à l'heure qu'il est.
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Pour que certains puissent dormir tranquillement, il faut qu'un autre endure les cauchemars.
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"cela peut durer des années , cela peut durer toujours . "
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- Hamid, il faut que je t'avoue quelque chose, d'abord. Tu as toujours été sympa avec moi, et je ne suis pas certain de pouvoir te rembourser tout de suite ce que je te dois. J'ai l'impression que les choses ne vont pas s'arranger de sitôt.
Le Pakistanais leva sur lui un regard surpris.
- Qu'est-ce que tu veux dire, John ?
- Indiquant l'argent sur le comptoir, il précisa:
- Je veux dire ça.
- Ah, les sous, fit l'autre en riant. Peut-être dans mon ancien pays, mais ici, l'argent américain ? Tu plaisantes.
- Non, mais je tiens juste à te le dire: dans quelques jours, les cigarettes risquent de coûter autrement plus cher que vingt-trois dollars la cartouche. (...) Hamid, si j'ai un conseil à te donner...
- Quoi ?
- Retire les cigarettes qui te restent et planque-les.
- Pourquoi ?
- Considère ça comme un fonds d'investissement, un fonds contre l'inflation. (...) Crois-moi, mets-les de côté. À partir de maintenant, si tu veux les vendre à des amis, ne le fais que paquet par paquet.
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- Et cette histoire de destinée manifeste, enchaîna Kal. Eh bien, je me disais que train à vapeur pourrait nous aider à répandre la démocratie et la liberté dans le monde entier, grâce à la voie ferrée transcontinentale.
Sidéré, Andrew regarda Hawthorne. Celui-ci haussa les épaules, feignant l’innocence.
- D’accord, je crois que nous devons instaurer une nouvelle république ici, dit Andrew en pointant la ville du doigt. Et il est temps qu’on s’y mette.
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- Toutes les voitures fabriquées en gros après 1980 ont des circuits intégrés électroniques, répondit John. Les carburateurs, c'est du passé; maintenant on a l'injection électronique et le démarrage électronique. C'est pour ça que la vieille Edsel de ma belle-mère et les VW de Bartlett roulent encore. Il n'y a pas d'ordinateur dans le moteur, et dans la radio, ce sont encore des tubes à vide. La surtension n'a donc rien à griller. Aujourd'hui, tout dans une voiture est relié à une sorte d'ordinateur. Vive la technologie moderne...
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Le nouveau testeur de glycémie était une petite merveille de technologie équipée d'un ordinateur qui calculait et archivait chaque examen sanguin. La semaine prochaine, Jennifer était censée se faire implanter l'une de ces toutes récentes pompes à insuline...et quelque chose lui disait qu'il devait s'estimer heureux de ne pas l'avoir encore fait.
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- Papa, il y a quelque chose de bizarre.
- Ah, oui ?
- Écoute.
Il tendit l'oreille. C'était une tranquille soirée de printemps, dont le silence n'était entrecoupé que par le pépiement des oiseaux et l'aboiement d'un chien, au loin...des sons plutôt agréables, en fait.
- Je n'entends rien.
- Exactement, papa. Il n'y a pas de bruit sur l'autoroute.
Il se tourna vers la vallée. La route était loin derrière les arbres, mais sa fille avait raison, il régnait un silence absolu. Ce n'était qu'une fois installé dans cette maison qu'il avait compris son erreur; juste un petit détail qu'il avait négligé en la visitant...mais qui lui avait sauté aux oreilles dès la première nuit: le bruit incessant de la circulation sur l'autoroute, à moins d'un kilomètre de là.
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La situation devient incontrôlable ! cria celui-ci, tirant sur sa barbe grisonnante en roulant des yeux apeurés. La nouvelle de ton retour s’est répandue dans la cité ; des milliers de personnes ont envahi la campagne. On dirait que les Merkis envoient tout le monde aux fosses. Dix mille personnes supplémentaires ont été réquisitionnées afin de fabriquer de nouvelles armes de guerre. Il est question d’une invasion du territoire rous’ au printemps, et les Merkis s’y préparent.

— Maudits soient-ils, grommela Hamilcar.
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Il avait perdu une guerre.

Andrew Lawrence Keane, ancien de l’armée du Potomac et maintenant commandant de toute la résistance humaine face à la horde merkie, ne pouvait chasser cette accusation de son esprit – il avait perdu une guerre.

Il avait déjà connu le goût amer de la défaite. Les soldats de l’armée du Potomac s’en étaient fait une spécialité contre les légions de Robert E. Lee 1. Pourtant, les simples soldats avaient toujours eu la sinistre certitude que ce n’était pas Lee qui les avait vraiment vaincus, mais leurs propres commandants.

Maintenant, c’était lui le commandant
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Il réalisa que, depuis quelque temps, ses pensées ne le ramenaient plus aussi souvent vers la Terre. Si on lui donnait à présent le choix de rentrer, il savait ce qu’il répondrait, et cette idée lui apporta un profond sentiment de satisfaction. La victoire contre les Tugars remontait maintenant à près d’un an et demi, et que de changements avait-elle apportés depuis ! Et Dieu merci, par-dessus tout, il y avait eu la paix, la première qu’il ait connue en plus de cinq ans.

S’écartant du train, Andrew se protégea les yeux de l’éclat rougeoyant du soleil et regarda en arrière, en direction de l’ouest. Bien qu’il n’y soit jamais allé, il avait imaginé que ces terres devaient ressembler à cela. L’herbe de la prairie montait pratiquement à hauteur de la taille, s’élevant et s’abaissant comme des vagues sur l’océan, tandis que la chaude brise d’été courait à travers cette steppe sans fin.

L’air était inondé des senteurs des fleurs des champs qui parsemaient les collines vallonnées d’exubérantes éclaboussures de lavande, de jaune, et de rouge brillant. La brise estivale lui caressant le visage était si rafraîchissante et si pure qu’il songea que si le jardin d’Éden avait jamais existé, c’était à cela qu’il avait dû ressembler.
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