Ce commentaire vaut pour la série des 4 tomes.
Notez que le quatrième tome n'est malheureusmeent pas sorti en poche et qu'il n'est pas prévu qu'il sorte.
La série compte 8 tomes dont seuls les 4 premiers ont été traduits et il n'est également pas prévu que les autres le soient.
Mais ces 4 tomes, qui forment un tout, sont jubilatoires.
On sent que l'auteur maîtrise son sujet : l'armée au temps de la guerre de secession, portée par les idées politiques des nordistes.
Les batailles sont nombreuses, sanglantes et superbement décrites. on sentirait presque la poudre.
La politique et ses manoeuvres est omni-présente
Les héros sont inventifs, volontaires. Keane un chef de guerre sans égal
les méchants extraterrestres affreux à souhait dans leur façon de vivre et de réduire les humains à du simple bétail.
on découvre de nouvelles civilisations en fonctions des origines spatio-temporels des "déportés".
On ne s'ennuie pas une seconde.
Des batailles terrestres (tome 1) des batailles navales (tome 2) des batailles aériennes (tome 3)
il y en a pour tous les goûts.
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Second tome du cycle du Régiment Perdu.
Après avoir réussi à repousser les Tugars et créer une démocratie, nos héros reconstruites leur cité, et commence à s'étendre en cherchant des nouveaux alliés pour commencé. En installant leur voie ferré, ils vont se rapprocher de la cité des Roums, descendant des Romains d'autrefois.
Mais les Tugars n'étaient que le début, un autre peuple de la même race n'est pas très contente du développement de nos héros et vont faire en sorte de les anéantir, ce qui va donner lieu à encore de belles batailles, navales aussi cette fois !
Une suite qui se mit très bien et donne envie de savoir la suite !
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Il réalisa que, depuis quelque temps, ses pensées ne le ramenaient plus aussi souvent vers la Terre. Si on lui donnait à présent le choix de rentrer, il savait ce qu’il répondrait, et cette idée lui apporta un profond sentiment de satisfaction. La victoire contre les Tugars remontait maintenant à près d’un an et demi, et que de changements avait-elle apportés depuis ! Et Dieu merci, par-dessus tout, il y avait eu la paix, la première qu’il ait connue en plus de cinq ans.
S’écartant du train, Andrew se protégea les yeux de l’éclat rougeoyant du soleil et regarda en arrière, en direction de l’ouest. Bien qu’il n’y soit jamais allé, il avait imaginé que ces terres devaient ressembler à cela. L’herbe de la prairie montait pratiquement à hauteur de la taille, s’élevant et s’abaissant comme des vagues sur l’océan, tandis que la chaude brise d’été courait à travers cette steppe sans fin.
L’air était inondé des senteurs des fleurs des champs qui parsemaient les collines vallonnées d’exubérantes éclaboussures de lavande, de jaune, et de rouge brillant. La brise estivale lui caressant le visage était si rafraîchissante et si pure qu’il songea que si le jardin d’Éden avait jamais existé, c’était à cela qu’il avait dû ressembler.
Comme Lee l'a dit, il est bon que la guerre soit horrible, autrement nous finirions par l'adorer.
William R. Forstchen Interview : Misconceptions about the "Survivalist Mentality"