Citations de Xavier Dorison (661)
"_Aux yeux de la population, nous avons un immense défaut...
_Lequel ?
_Nous sommes différents."
- Cette forme délicate, ce craquant… ça a l’air exquis !
- C’est un chichi frégi, madame ! Le vrai ! Frit à l’huile d’olive et parfumée à la fleur d’oranger.
- Cela doit être excellent… Mais où sont les couverts ?
- Des couverts ! Mais cela se mange avec les doigts !
- Avec les doigts ?! Oh ! Quelle aventure ! Je n’oserai jamais ! Et vous monsieur ? Entre ces délicieux beignets et l’usage de vos doigts, de quel côté pencherait votre cœur ?
— Ah Rose... Je pourrais vous dire que j'ai vu des dizaines de milliers de morts pour rien et qu'au moins les miens serviront à quelque chose. Que la science sera à mes pieds quand je réussirai ma première greffe. Mais la vérité est que quand les gens vous prennent pour un monstre, il ne vous reste qu'une seule chose à faire... Dépasser leurs attentes !
[Lin] Combien pèse vautour ?
[Jonas] Quoi ? Mais je...aucune idée. Pourquoi ?
[Lin] Parce que Lin a faim. Si toi saboter encore nouvel enterrement, Lin obligée rôtir Jed.
[Jonas] Mais Jed, c'est la famille ! Tu ne mangerais pas un vautour ?
[Lin] Dicton chinois : "si quatre pattes, deux pattes ou rampe, on peut manger!"
[Jonas] "Qui sème la menace sur Jed pourrait récolter une balle perdue !" Dicton de Jonas aux chinoises qui feraient mieux de la boucler.
Les doutes c’est comme les morpions : tout le monde en a. C’est pas une raison pour les partager.
On ne gagne pas une guerre en mourant, mais en tuant le salaud d’en face.
- Vous connaissez ce monstre Monsieur Crow ?
- Non. Mais si vous en cherchez, ils sont faciles à trouver. En général, ils portent une médaille ou une étoile.
- Crois-moi, la seule chose qui nous fera nous sentir vieux, c'est d'avoir plus peur des lendemains que d'aujourd'hui… [...]
- Les lendemains on s'en fout, on aura bien vécu.
-Depuis quand ce genre d'artillerie fait partie de l'équipement d'un croque-mort ?
-Depuis qu'il préfère ne pas devenir son propre client.
"L'amour ça se vit, ça s'explique pas."
- Tu as été courageux, fort et amoureux. Ça ne fait pas de toi quelqu’une de « mauvais »… Au mieux, un cœur tendre, au pire, un naïf.
Vénusia m'a parlé d'un autre danger, Monsieur, en dehors de l'alcool et de votre haleine, je veux dire... un golgoth serait arrivé sur Terre.
- Il faudra se souvenir de ce jour, Miss B.
- Oui, comme du jour de la mort d'Adélaïde.
- Non ! Comme du dernier jour où nous n'avons rien fait.
- Il y a un intrus chez vous, Victor. Il est entré dans votre maison, s’est installé à votre place près du feu et vous a demandé de lui donner votre assiette. Vous avez obéi. Après, il vous a demandé de courbé l’échine et de dormir dehors, sans rien en échange. Vous avez encore obéi. Il pourrait partir, bien sûr, mais pourquoi voudriez-vous qu’il le fasse ?… Vous ne lui avez même pas demandé !
- Je… Je ne sais pas de qui vous parler ?!
- Bien sûr que si, Victor, mais vous êtes tellement habitué à lui qu’il vous arrive de le confondre avec vous-mêmes, vous êtes trop intelligent pour ignorer son nom. Il s’appelle… « peur ».
Il n'y a pas de mal à obéir. C'est ce que tout le monde fait !
- On ne fait pas d’omelette qans casser des œufs.
- Il s’agit de gens, pas d’omelette.
Aujourd’hui, colonel a fesses au chaud et dit « justice ». Demain, quand tête colonel dans la boue, colonel dira « vengeance ».
La question Mr Crow, n’est pas de savoir s’il mérite la mort, mais si nous méritons de le tuer. Le faire juger ou l’abattre comme un chien, c’est tout ce qui fait la différence en nous et lui.
Je vous envie monsieur Crow. Être dépourvu de toute dignité doit sans doute être des plus agréable.
Faut arrêter de vous reproduire entre vous dans vos campagnes! Ca vous rend tous complètement cons.