Yuu Watase

Lien : http://boumabib.fr/2012/02/1..

Voici un manga original qui devrait plaire autant aux filles qu’aux garçons.



Yuu Watase a eu la bonne idée d’échanger les places des deux Arata ; ils sont chacun confrontés à leurs destins sans comprendre le monde qui les entoure. Ce manga est relativement complexe et au fil des pages on se rend compte qu’il y a des trames soujacentes qui viennent s’entrecroiser (un peu d’amour, un peu de combat, un peu d’amitié, beaucoup de fantasy et de quête de pouvoirs…).



Je ne voudrais pas vous en dire trop car ce serait vous gâcher la surprise mais l’intrigue avance bien au cours de ces 4 premiers tomes et ma lecture me donne naturellement l’envie d’en lire encore plus.



Une bonne surprise à laquelle je ne m’attendais pas forcement.
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Je n'ai pas accroché à cette série, qui m'a semblé nébuleuse et creuse...

Quelques longueurs entre les tomes 8 à 10 qui correspondent à la fois au cœur de l'intrigue mais aussi à tous les clichés de shojo qu'une jeune fille pré-pubère attend : tentative de viol, le petit ami qui perd la mémoire mais qui revient la sauver par la force de son esprit, premières scène d'amour, élève mal aimée de sa classe, etc.
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A travers ce drame romantique, Yuu Watase fait réfléchir la famille Mikage sur la théorie de la race pure, sur le clonage, sur l’ADN des nymphes et sur la religion. Aya n’est pas la seule réincarnation de nymphe, bien au contraire elle va rencontrer de nouvelles amies… étranges. Le cousin éloigné d’Aki et Aya sévit fortement en cherchant à reproduire l’ADN de Cérès pour être l’unique être à la posséder.

Comme dans Chobits, on retrouve le thème de la femme objet. Yuu Watase décide de créer deux personnages : celui d’Aya, jeune fille paumée qui voudra juste devenir mère ; celui de Cérès, femme accomplie qui refuse d’être menée par les hommes, des êtres inférieurs à ces yeux.
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Un petit bémol : on incite les jeunes filles à ne plus aller à l’école et à devenir mère. C’est le seul gros cliché qui ressort fortement… et qui correspond très souvent au statut des femmes japonaises à la fin des années 90 (début de la série). Même si Yuu Watase joue la provocation parce qu’Aya est mineure (17-18 ans) quand elle attend un enfant, le message reste inchangé. Il me semble que ce défaut est ce qui a empêché un plus grand succès pour passer réellement à la postérité.
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Quelques longueurs entre les tomes 8 à 10 qui correspondent à la fois au cœur de l’intrigue mais aussi à tous les clichés de shojo qu’une jeune fille pré-pubère attend : tentative de viol, le petit ami qui perd la mémoire mais qui revient la sauver par la force de son esprit, premières scène d’amour, élève mal aimée de sa classe, etc.
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Le style graphique de Yuu Watase est toujours agréable mais il est loin de la précision qu’elle a aujourd’hui (comme dans Alice 19th par exemple). Cela se remarque surtout au niveau des personnages. Les traits de leur visage sont plutôt simples, avec des cheveux très épais. Les vêtements sont diversifiés et bien représentés tout comme divers objets. Les perspectives sont aussi bien respectées. Les expressions des personnages sont bien identifiables mais peut-être parfois un peu trop exagérées. Cela change donc par rapport à ses œuvres actuelles mais reste néanmoins plaisant.



Chronique entière sur mon blog.
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Un tome intéressant marqué donc par l'arrivée de Mikusa qui [...] semble apporter une bonne dynamique au groupe ainsi que par l'importance que prend enfin Kanate même si il aurait été intéressant de se pencher plus sur le jeune homme quitte à mettre la confrontation avec Kugura pour plus tard dans une dernière partie sympathique mais moins prenante.
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J'avoue que je ne m'attendais pas à ça en lisant la quatrième de couverture mais j'ai adoré la surprise que nous réserve l'auteur. Un élément très inattendu fait passer la lecture de ce manga de sympathique à carrément compulsive...

L'auteur campe deux Aratas profondément attachants malgré leurs caractères diamétralement opposés et on a hâte de voir comment l'un et l'autre vont survivre dans l'univers de l'autre. Yuu Watase a aussi su instiller un petit côté shojo (que Kotoha est mignonne :) dans ce monde d'aventures qui n'est pas pour me déplaire...

Tout est vraiment réuni (dessin, scénario) pour avoir envie de découvrir la suite ; 7 tomes sont parus à ce jour...



Merci à babelio et aux éditions Kurukowa pour cet envoi et vive masse critique (et désolée pour la critique tardive)!

J’adore Yuu Watase, et ses mangas Ayashi no Ceres et Fushigi Yugi. Elle a un style de dessin très mignon, très cute. J’ai donc sauté sur l’occasion ^^ Et, puis, le livre est vraiment très joli, en broché, avec une illustration très japonaise (avec des cerisiers en fleurs).



Quelle ne fut pas ma surprise, quand j’ai su que c’était un yaoi… Pas que cela me choque en soi. J’en avais déjà lus, mais lorsque l’on ne s’y attend pas (comme c’était mon cas), cela peut surprendre ^^



J’ai trouvé l’histoire en elle-même assez classique, ainsi que les personnages (le jeune maître Saiki Soma ressemble étrangement au personnage Toya, d’Ayashi no Ceres). Peut-être parce que je suis habituée à ceux de cette mangaka. Quant aux scènes de sexe, elle sont explicites sans trop en montrer (d’ailleurs, cela fait très bizarre…). C’est pour un public averti, bien sûr ! =)



Cette série est en trois tomes, qui sont déjà sortis depuis l’année dernière. J’hésite encore à les acheter, je ne suis pas vraiment convaincue par ce premier tome. Je pense que je vais d’abord les feuilleter à la librairie avant ^^
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Un bon tome, tome, un peu convenu vis à vis du combat contre Yorunami mais bien mené tout particulièrement au niveau de la narration.
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Ce manga cache pas mal de surprise ! Je m’attendais à de l’aventure sur ce point j’ai été servi ! Mais l’auteur ne se contente pas de ça. En effet, le point de départ de l’histoire insère l’humour dans le récit ! En effet, Arata est obligé de se déguiser en fille car sa grand-mère l’a déclaré comme tel à la naissance. Il doit remplacer la princesse en place. Le voir se travestir est assez comique (même si son costume de princesse lui va bien, sûrement du au fait des traits féminins des dessins de son visage). Ensuite, un autre ingrédient apparaît dans le récit, le fantastique puisqu’on fait appelle à la princesse pour parler aux dieux. Par ailleurs, il y a aussi le voyage dans le temps. En effet, au bout d’une soixantaine de pages on se retrouve d’un coup dans le futur avec un personnage qui s’appelle aussi Arata mais qui va à l’école dans une époque beaucoup plus moderne. J’avoue que ça m’a un peu déstabilisé au départ mais je me suis fait au nouveau rythme proposer par le mangaka. Je n’irai pas plus loin dans les détails de l’histoire pour ne pas gâcher la lecture de futurs lecteurs mais sachez juste qu’il va y avoir de nombreux rebondissements !

Côté graphisme, j’ai été charmé par le dessin. Le trait est doux, assuré, maîtrisé. On retrouve les codes graphiques habituels des mangas (bulles, onomatopées, personnages déformés, gros plan…).

En conclusion, j’ai beaucoup aimé ce manga et il me tarde de découvrir la suite.
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Voici une petite série de sept tomes que j'avais énormément apprécié au tout début de mes lectures mangas. Voilà donc pourquoi j'ai décidé de me replonger dans ce tome qui est le début d'une série de la très célèbre Yuu Watase.



J'ai retrouvé l'univers des Lotis Master avec délice. Je n'avais que très peu de souvenir des événements qui se passaient, mis à part de manière très superficielle et je n'ai pas été déçue de les redécouvrir et de me les approprier.



Beaucoup d'émotions se mêlent dans ce manga et pourtant ce premier tome se lit des plus rapidement. On fait face à la jalousie, l'envie, l'amour (forcément, ce n'est pas un shojo pour rien), l’ambiguïté ou encore la gentillesse.



La suite sur mon blog =)
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J'ai bien aimé ce petit shojo, qui n'a rien d'original, la fille extravertie et un peu fofolle et le grand et beau ténebreux un peu arrogant mais au coeur tendre. L'histoire se déroule sans trop de rebondissement, les personnages évoluent bien, et les dessins sont beaux.

Ce recueil présente cinq nouvelles de Yuu Watase. Même si elles ont toutes en commun une romance, elles différent beaucoup par l’histoire. Ainsi, nous abordons plusieurs univers tout en restant dans un contexte scolaire. L’humour est présent quand il le faut, sans jamais en ajouter trop. Les dessins sont sympathiques avec de nombreuses expressions très justes.
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