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Citations de Yvan Pommaux (211)


Quand nous tous nous lisons, nous sommes dans la littérature, unis, par un lien transcendant, au reste de l'humanité ; nous habitons un lieu commun et explorons une utopie qui mêle l'intime à l'universel. (p.33)
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Tout le monde se bat contre tout le monde, sur notre sol. Il paraît due cela dure depuis cent ans. Qu'ils soient Anglais, Français, brigands ou soldats, ces fous de guerre vont tenter de se mettre en piéces!
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Yvan Pommaux [...] nous a confié que l'une de ses blagues préférées passait relativement inaperçue.
[...] "En somme, vous ne le connaissez qu'à moitié, votre demi-frère..."
[Extrait du dossier en fin de livre.
J'avais prévu, en lisant, de noter cette phrase en citation, l'humour passe plus facilement que l'aventure, quand on ne cite que quelques mots ; et je la retrouve dans le dossier ! Pas inaperçue pour moi !]
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(...) le livre n'est pas un luxe, ni une fantaisie d'intellectuel, ni l'expression d'un snobisme. Ceux qui voudraient nous le faire croire sont de clinquants imbéciles, ou, plus grave encore, des esprits malins espérant exploiter l'ignorance. (...)
La lecture n'est pas un loisir qu'on puisse comparer au cinéma ou au jeu vidéo, c'est une nécessité de chaque jour, c'est le passeport pour l'insertion dans notre société et c'est ce qui donne accès à la liberté, liberté de parler, de penser, de circuler. (...)
Nombreux sont ceux qui louent les bienfaits de la lecture : bonne pour la croissance, bonne pour la conscience, l'orthographe, la grammaire et la culture générale. On en serait presque à la déclarer d'utilité publique. (...)
C'est là, à portée de main, ça ne tombe jamais en panne, ça tient au creux de la paume, c'est un miroir, une machine à remonter le temps, une porte ouverte sur l'autre, c'est un livre. (...)
La lecture est le premier instrument de la liberté et elle est la première chose à défendre. (...)
Tous ces livres, ils habitent avec moi, chez moi. Dans ma maison comme dans ma tête. Cet imaginaire est comme un jardin dans lequel j'aime me retrouver. Un jardin un peu sauvage, aux contours indéfinissables, avec encore plein de coins à explorer. (...)
un bébé lecteur, ce n'est pas un sagouin érudit qui ânonne l'alphabet avant l'heure. C'est un humain. Un petit mais un vrai, qui met en mouvement sa petite pensée. Qui découvre une formidable source d'esprit, de capacité à quitter l'ici et maintenant pour prendre de la hauteur. (...)
Quel être cosmique qu'un enfant, un adolescent qui lit ! C'est à la fois un être qui rêve et qui agit, un être qui joue et réfléchit ; il est en train de se construire, il est en train de grandir, et nous n'en avons jamais fini, de grandir. (...)
Le livre est une clé ; des portes s'ouvrent à l'intérieur de soi, comme à l'extérieur. (...)
Il faut donner des livres aux enfants pour leur faire prendre conscience de tout ce qui les contraint, pour alléger leurs souffrances, pour les faire rire, pour les faire rêver, pour les aider à penser, pour les rendre libres.
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Je ne PEUX PAS m'empêcher de prendre ce genre de truc !..
C'est plus fort que moi !!..

J'aime, j'adore, je suis FOLLE de tout ce qui brille !
Ce n'est pas ma faute, je suis attirée ... Oui, c'est un vertige !
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- Elle a volé le rubis de Grocha, le chat domestique de Madame, la femme du Maréchal !

- C'est FAUX !!

- J'ai tout vu ! ... J'habite un grenier du manoir, et j'aperçois la chambre de Madame !
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De ce jour, durant les deux ou trois années qui suivirent, Yvette devint la bâtisseuse de mon éveil intellectuel, l’entrepreneur de ma première bibliothèque (un carton Rivoire et Carret debout sous notre lavabo dans lequel je plongeais avec délice pour lire, relire, classer par auteur, puis reclasser par titre, puis reclasser par couleur, puis recommencer).
(…) Délice suprême, juste après le livre, j’avais droit à une pâtisserie. Pour moi, c’était ça être riche ! Pouvoir offrir à quelqu’un un livre à deux francs cinquante et une pâtisserie à quarante centimes.
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La nuit... Groucho constaste que tous les chats ne sont pas gris.
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Il était un petit homme si distrait et si maladroit qu'on l'appelait Casse-Tout.
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Tous les parents chats attendent avec angoisse cette nuit-là : la nuit où leur enfant sort pour la première fois seul.
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JOHN CHATTERTON — DÉTECTIVE — enquêtes - filatures
DRRING !
JOHN CHATTERTON : Entrez.
UNE FEMME (habillée en jaune) : Monsieur Chatterton, c'est affreux !... Ma fille a disparu !!...
JOHN CHATTERTON : Asseyez-vous, Madame, et racontez-moi tout.
LA FEMME : J'ai téléphoné chez ses amies : elle ne s'y trouve pas ! J'ai téléphoné chez sa grand-mère : ça ne répond pas !
JOHN CHATTERTON : Où habite cette grand-mère ?
LA FEMME : 12, rue Vieille !
JOHN CHATTERTON : Bien !... Et vous ?
LA FEMME : 21, rue Neuve !
JOHN CHATTERTON : Comment votre fille était-elle habillée, la dernière fois que vous l'avez vue ?
LA FEMME : ROUGE !... Tout en rouge ! Sandales rouges, socquettes rouges, pantalon rouge, chemise rouge, nœud rouge dans les cheveux ! Retrouvez-la, je vous en prie !
JOHN CHATTERTON : Je la retrouverai, Madame !
LA FEMME : Faites vite ! Je suis folle d'inquiétude !
JOHN CHATTERTON (seul) : Une disparition... Une fille en rouge... Une grand-mère... Ça me rappelle cette sombre histoire où la fille et la grand-mère sont mangées par un loup... À moins... À moins, si mes souvenirs sont bons, qu'un chasseur ne les sauve. Fonçons rue Vieille !
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Pour les anciens grecs, les Dieux et les déesses habitaient un lieu enchanteur au-dessus des nuages : l'Olympe. En se penchant, ils pouvaient observer le monde des humains, dont le destin, contrairement au leur, était de mourir un jour.
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Regardez, les épines s'écartent et se transforment en roses !
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Qui s'y frotte s'y pique, et la jeune fille se piquera.
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-Ma fille va bientôt avoir quinze ans. Or, une mauvaise fée nous a prédit qu’à cet âge, elle plongerait dans le « Grand Sommeil » !
-Tu t’inquiètes pour rien, chéri !
-Laisse-moi terminer, chérie ! … elle plongerait dans le « Grand Sommeil », disais-je, après s’être piqué le doigt au fuseau d’un rouet.
-Au fuseau d’un rouet ? Plus personne n’utilise cet engin ! Les femmes s’en servaient pour filer la laine, non ? Je ne sais même pas comment c’est fait !
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Ça ne tombe jamais en panne, ça tient au creux de la paume, c'est un miroir, une machine à remonter le temps, une porte ouverte sur l'autre, c'est un livre.
(Agnès Desarthe)
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Quel être cosmique qu'un enfant, un adolescent qui lit! C'est à la fois un être qui rêve et qui agit, un être qui joue et réfléchit; il est en train de se construire, il est en train de grandir, et nous n'en avons jamais fini, de grandir. (p.157) -Lire dans la nuit, lire au grand jour - de Gisèle Bienne
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Dans toutes les cultures du monde, la chorégraphie des mots vient au secours des humains. (p.150)- Un instant d'humanité de Jeanne Ashbé
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encore plus distrait qu'avant l'arrivée de Lola , donc plus maladroit , il cassait , réparait , cassait en réparant , recassait aprés réparation.......
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La lecture constitue un contre-pouvoir, un refuge. Elle a l'immense mérite de nous rappeler que nous appartenons à une communauté. Peut-être s'agit-il d'une utopie, comme je l'ai dit plus haut, mais je ne crois pas qu'il puisse exister d'art littéraire en dehors de l'utopie humaniste. (p. 36) - Agnès Desarthe_
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