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Critiques de Éric Corbeyran (2269)
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14-18, tome 1 : Le Petit Soldat (août 1914)

Le style de Le Roux arrive à bien faire passer l'émotion. Ce premier tome de la série 14-18 est une très bonne surprise. Un titre qu'il ne faut pas rater.
Lien : http://www.sceneario.com/bd_..
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14-18, tome 1 : Le Petit Soldat (août 1914)

On retrouve bien l'ambiance du début du 20ème siècle, le franc-parlé, l'humour,....le dessin est agréable, détaillé et très représentatif de l'époque, j'attends la suite avec impatience
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14-18, tome 1 : Le Petit Soldat (août 1914)

Ce tome 1 nous présente les personnages, leurs situations, et le contexte, à savoir la première guerre mondiale. Une bande d'amis d'un même village va se trouver confrontée à la première guerre mondiale. On tremble pour eux puisqu 'on connaît l'atrocité de cette guerre. Dés les premières pages, on sait qu 'au moins l'un d'eux en réchappe, mais à quel prix ! Je suis pressée de lire la suite !
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14-18, tome 1 : Le Petit Soldat (août 1914)

série prévue en 10 tomes

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14-18, tome 1 : Le Petit Soldat (août 1914)

A travers le destin de huit hommes et de leurs compagnes, on découvre de façon intéressante la mobilisation durant la Première Guerre mondiale en France. Les dessins sont beaux et l'histoire est assez intéressante. Après la lecture de ce premier épisode, nous sommes vivement invités à lire la suite.
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14-18, tome 1 : Le Petit Soldat (août 1914)

TOME 1 : Le petit soldat

Je dois avouer que ce sujet est très sensible pour moi, donc cette BD a tout de suite attiré mon attention. Qui me connaît sait que je suis plongée dans la petite histoire de la Grande Guerre depuis presque dix ans.

Ce premier volume m'a un peu laissé sur ma faim. Les personnages sont nombreux, et bien sûr il faut les camper dès le départ, pour suivre leur histoire au fil des autres tomes. J'ai eu beaucoup de mal à "intégrer" et reconnaître chacun, et il m'a fallu revenir souvent en arrière pour m'assurer de ne pas confondre deux hommes ou deux femmes. De bien lier les bons couples... Une mise en route un peu longue, même si le graphisme me plaît beaucoup.
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14-18, tome 1 : Le Petit Soldat (août 1914)

Dans la mouvance du centenaire de la Grande guerre, le scénariste Corbeyran en compagnie de son acolyte, le dessinateur Etienne Le Roux, se lancent dans une vaste entreprise d’une dizaine d’albums pour raconter les affres guerrière du côté des hommes (et accessoirement des femmes). Ainsi, l’on va suivre un petit groupe de jeunes gens, représentatifs d’une France provinciale et agricole, mobilisés comme tant d’autres, qui partent la fleur au fusil en pensant revenir, au plus vite, victorieux au village.

Ces huit soldats, encore innocents, vont vite être confrontés non seulement à la violence et la mort mais surtout à l’absurdité du combat.

Une ligne claire, des couleurs chaudes, parfois passées, composent un dessin un peu sage, sentiment renforcé par une composition un peu classique. Même s’il s’agit d’une fiction, on se situe plus dans une démarche documentaire que dans un parti pris expressionniste où le souffle et le faire ressentir compte plus que la réalité. L’effet est par conséquent moins fort sur le coup mais peut être plus prégnant dans la durée

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14-18, tome 1 : Le Petit Soldat (août 1914)

Août 1914. Huit amis issus d'un même village partent au front. La première partie se déroule au village avant la mobilisation et permet de présenter tous les protagonistes, pas forcements sympathiques. La deuxième partie, plus intéressante, permet d'entrer dans le vif du sujet. La bande-dessinée est classique mais agréable à lire. Les dessins ne sont pas toujours convaincants.
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14-18, tome 1 : Le Petit Soldat (août 1914)

Premier tome d'une série de Corbeyran et le Roux. Huit jeunes hommes profitent de la vie comme ils peuvent avant d'être mobilisés pour un conflit dont ils ne comprennent pas tous les tenants et les aboutissants, et dont ils sont sûrs qu'il sera court...

S'ensuivra de longues années d'atrocités qu'ils vont commencer à appréhender dans ce volume : tuer ou être tué. La mort, partout.

Ils apprendront aussi la représsion qui sévit dans les rangs pour annihiler toute tentative de rébellion.

Une série prometteuse à plus d'un titre.
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14-18, tome 1 : Le Petit Soldat (août 1914)

Début de série, les auteurs prennent le temps d'installer les personnages jusqu'à un point ou l'on peut regretter un léger manque d'action.

Mais l'histoire est bien amenée et on a hâte de retrouver le groupe d'amis pour la suite des événements malheureusement dramatiques.
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14-18, tome 1 : Le Petit Soldat (août 1914)

Ils sont huit amis. Ils font la fête dans leur petit village français car aujourd'hui l'un des leur se marie. Les réjouissances vont tourner court car la guerre est déclarée, l'avis de mobilisation tombe. Pierre, Jules, Maurice, Louis, Arsène, Denis, Armand, Jacques... Ils vont faire l'expérience du poilus et s'enliser dans cet guerre d'où personne ne revient indemne.



Il s'agit là une bande dessinée assez classique sur la première guerre mondiale. Pas de grande originalité au rendez-vous mais la lecture est agréable. ce groupe d'amis est attachant, avec les disputes et leur lien d'amitié encore plus fort.

Il m'a fallu un peu temps pour identifier tous les personnages, certains avec plus de difficulté que d'autres. de la même manière je ne savais plus trop qui était la femme de qui.

Le dessin est simple mais sympathique.
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14-18, tome 1 : Le Petit Soldat (août 1914)

Huit amis qui ont grandit ensemble dans la campagne française. Huit hommes qui partent ensemble, pour à peine quelques semaines pensent-ils, afin de combattre les boches. Ils laissent derrière eux leur femme, leur fiancée, leur commerce, leur ferme, leurs enfants...

Une histoire classique sur le thème de la première guerre mondiale. Tous les grands poncifs de cette période sont déjà mis en place : les rivalités, les officiers bornés, les gueules-cassées...bref, j'attends de voir pour l'histoire mais j'espère que l'auteur va avoir la bonne idée d'exploiter la vie des dames restées seules.

Il y a beaucoup de personnages et si les hommes sont relativement identifiables (moustaches, lunettes, barbe...) je dois avouer que je ne parviens presque pas à individualiser les femmes.

Le dessin est classique, simple.

J'attends de voir la suite pour me faire une idée plus précise de l'intérêt de cette série
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14-18, tome 1 : Le Petit Soldat (août 1914)

Merci aux 48h BD de m’avoir permis de découvrir cette série à prix réduit ! Beau scénario d’Eric Corbeyran semble-il fort inspiré par le sujet, chouettes dessins d’Etienne Le Roux passé de la l’illustration à la BD ici assisté aux décors de Loïc Chevallier et de Jérôme Brizard à la colorisation



Paris, février 1919 : une gueule cassée gravement mutilée dans sa chair et dans son âme essaie de se reconstruire à l’aide de son épouse et des médecins, mais il ne peut plus prononcer qu’une seule phrase qu’à part lui personne ne comprend le sens…

Un bourg perdu franco-français, 1er août 1914 : la vie est belle d’un côté pour Pierre, Jules, Louis, Maurice, Arsène, Denis, Armand et Jacques, et d’un autre côté pour Hermeline, Bernadette, Gilberte, Nicole, Lucie, Rose, Jocelyne… Cette mise en place qui fait la part belle à la bagatelle est mine de rien un peu ardue : on présente simultanément tous les personnages qui se ressemblent peu ou prou pour cause de charadesign fluctuant pas assez différencié, et ce malgré le who’s who offert par les couvertures intérieures. Toujours est-il que l’ordre de mobilisation est donné est que rapidement les personnages doit faire face davantage à une hiérarchie incompétente et tyrannique qu’à l’ennemi honni… Car oui, les mêmes officiers prêts à faire fusiller leurs propres subordonnés pour de simples retards auraient préféré se bouffer un bras plutôt que de reconnaître qu’ils ont fait n’importe quoi (et puis de toutes les manières ils en ont rien à foutre, c’est les sans-dents qui paieront leurs pots cassés ! Maudits, soyez tous maudis vous et vos semblables !!!). Rien que pour l’année 1914, 162 généraux ont été « limogés » pour faute professionnelle (c’est-à-dire mutés à Limoges et ses environs plutôt que d’être virés à coups de pieds dans le cul ou passés au peloton d’exécution, qu’ils auraient largement mérité, en raison de leur appartenance aux classes sociales privilégiées et du 2 poids 2 mesures si cher auxdites classes sociales privilégiées)… Mais qu’est-ce que c’est que cette armée mexicaine à la noix ??? Et mêmes les mêmes causes produisant les mêmes effets les pauvres soldats français auront ensuite droit OMG aux boucheries de masse des Dardanelles, de Verdun et du Chemin des Dames…



J’ai une infinie compassion pour ces générations qui ont été élevées dans le mensonge : la revanche ardemment attendue, la prétendue supériorité de la race française, la haine du voisin allemand qualifié à la fois de barbare et d’Antéchrist, tout cela attisé à grand renfort d’éducation nationale plus nationaliste tu meurs, de presse chauvine complètement délirante et de littérature jeunesse militariste, xénophobe et raciste ! A tous ces Français on avait vendu une victoire rapide et facile, beaucoup d’entre eux n’en revinrent pas et ceux beaucoup de ceux qui en revinrent auraient préféré y rester… Ne remercions pas ces élites planquées qui ont envoyé à la mort et à la souffrance des millions de gens en lieu et place d’eux-mêmes ! (refrain trop malheureusement connu…)

Les pamphlets au vitriol de Humphrey Cobb et de Stanley Kubrick, le livre et son adaptation cinématographique pareillement intitulés "Les Sentiers de la gloire", censurés en France pour laisser tranquille des bouchers appartenant aux très hautes classes sociales, sont largement en dessous de la vérité… Car il faut dire les choses, une caste pourrie gâtée a envoyé à la mort des millions de gens, et a condamné à la souffrance des dizaines des millions de gens juste pour satisfaire son ego démesuré (et aussi pour augmenter ses avoirs bancaires soit dit en passant). J’ai honte qu’un Président de la République française ose commémorer ce qu’il n’a jamais été autre chose qu’une boucherie sans nom commanditée par des incompétents sociopathes pour qui le peuple n’a jamais été autre chose qu’un ressource humaine corvéable à merci ne servant pas à grand-chose d’autre que de chair à canon… Oh oui j’ai honte, et je maudis cette caste à jamais, car leurs descendants continuent à prendre les peuples de haut en osant encore dire qu’il suffit d’une bonne guerre pour remettre les choses dans en ordre et faire repartir la machine économique (en ciblant untel ou untel comme ennemi héréditaire du moment)… Pour ces gens-là il ne reste plus que deux solutions : l’hôpital psychiatrique ou la guillotine ! (la première solution a ma préférence car s’il existe des camisoles chimiques pour les criminels sexuels, on doit bien pouvoir élaborer des camisoles chimiques pour les criminels politiques et économiques…)
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14-18, tome 1 : Le Petit Soldat (août 1914)

Une bonne bd que j'ai beaucoup aimé lire je vais m'empresser d aller chercher la suite.
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14-18, tome 1 : Le Petit Soldat (août 1914)

14-18, c’est plus qu’une guerre. C’est aussi des hommes qui ont dû faire avec ordres stupides donnés par la hiérarchie et qui n’avaient pas le choix. Je n’avais jamais réfléchi à cet aspect mais Le petit soldat m’a fait réaliser que certaines choses auraient pu être faites autrement.



Ainsi, j’ai été conquise par ce premier volume. J’ai bien accroché aux personnages et à la manière dont l’histoire est présentée. J’ai donc très hâte de lire la suite.



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14-18, tome 1 : Le Petit Soldat (août 1914)

Paris, février 1919. Les Laborde entrent dans le cabinet d'un médecin. Louis retire l'écharpe qui lui cache la moitié du visage. Et pour cause, Louis est une gueule cassée de la Grande Guerre, la moitié du visage complètement abîmée et des problèmes d'élocution. Le médecin se réjouit tout de même de la cicatrisation qui est en bonne voie et informe le couple que la prothèse devrait arriver la semaine suivante. Elle, trouve qu'il dort mal et mange comme un moineau. Lui, répète inlassablement la même phrase depuis son retour. Elle ne comprend pas pourquoi...

1er août 1914. La fête bat son plein au village. On tire à la carabine, on fait du manège, on danse au son de l'orchestre, on fait un tour dans L'incroyable musée des curiosités, on mange des gaufres. L'on trinque et les esprits s'échauffent parfois. Mais l'ambiance reste bon enfant. Lorsque le tambour se fait entendre, l'on arrête tout et l'on écoute presque religieusement cet avis à la population. L'annonce de la mobilisation, même si ce n'est pas une surprise, a brisé tout élan et chacun repart de son côté, encore ignorant de ce qu'il allait se passer...



Éric Corbeyran nous plonge dans les prémices d'une guerre interminable... Dans ce premier album, d'une série qui en comptera 10, nous sommes à la veille de la mobilisation et l'on fait la connaissance avec un groupe d'amis inséparables. Des amis depuis l'école qui ont tout partagé, traversé les mêmes peines et les mêmes joies. Il y a Denis, Jules, Arsène, Pierre, Louis, Maurice, Jacques et Armand. Autour d'eux, Hermeline, Bernadette, Gilberte, Lucie, Rose, Nicole et Jocelyne. Huit hommes et huit femmes, originaires du même village, qui traverseront la Grande Guerre. À peine le temps de savourer quelques moments d'insouciance que les hommes sont appelés au front. Éric Corbeyran nous offre un album qui, sans verser dans l'originalité, fait montre d'un scénario captivant habité par des personnages très attachants et servi par un graphisme magnifique. Étienne le Roux, entouré de Loïc Chevallier et Jérôme Brizard, nous plonge dans une ambiance passéiste de par ses tons sépia. Les traits sont expressifs, le trait semi-réaliste efficace et les cadrages variés. Rien à redire si ce n'était ces visages, d'hommes et de femmes, qui se ressemblent trop.
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14-18, tome 1 : Le Petit Soldat (août 1914)

L'histoire commence avec Louis Laborde, une gueule cassée gravement mutilée aussi bien dans sa chair que dans son âme. Il essaie de se reconstruire avec l'aide des médecins et de son épouse mais il ne prononce plus qu'une seule phrase, dont personne ne comprend le sens.

Retour en arrière, le premier août 1944, où nous découvrons huit amis (dont Louis) juste avant que la guerre ne se déclare et qu'ils ne soient mobilisés.

Puis lors de leur départ à la guerre et leurs débuts là-bas..

C'est pas mal du tout, j'aime beaucoup les dessins, qui sont vraiment jolis.

L'histoire est très intéressante, et j'ai trouvé l'ensemble bien ficelé.

J'ai aimé découvrir cette bande d'amis, et je me suis évidemment demandé comment ils allaient s'en sortir !

Ce premier tome est très réussi et j'ai bien l'intention de lire la suite dès que possible.

Je mets quatre étoiles et demie à cet ouvrage :)
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14-18, tome 1 : Le Petit Soldat (août 1914)

Huit amis, issus du même village, sont mobilisés en août 1914 pour une guerre qui ne devait durer que quelques semaines et qui durera cinq longues années, cinq années de boucherie. Affectés ensemble dans le même régiment, ils vont découvrir les horreurs de la guerre.

Le récit démarre sur un mutilé de la guerre, une gueule cassée en 1919. Qui est-ce ? Puis rapidement nous revenons en 1914, au temps de l’insouciance pour faire la connaissance d’un groupe d’amis attachants pour que dès le premier village traversé rencontre la mort. L’histoire nous immerge très rapidement dans cette période joyeuse puis nous rencontrons comme ces soldats la peur, sur leur visage, la bêtise des gradés, la violence des balles qui sifflent, fauchent, tuent.

Le graphisme ajoute bien sûr à l’intensité du moment une dimension tragique. Les personnages sont particulièrement bien réussis et les décors sont très réalistes.

Dans l’ensemble, l’album est d’un très bon niveau, le travail réalisé est remarquable et l’hommage rendu est honorable. Un très bon premier album pour une série qui s’annonce belle et tragique à la fois.
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14-18, tome 1 : Le Petit Soldat (août 1914)

Cette bande dessinée nous raconte l’histoire de 8 copains partis faire la guerre. Une bd simplement sublime. Des dessins super bien fait et le scenario génial.
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14-18, tome 1 : Le Petit Soldat (août 1914)

Cette série est une référence, tout a été minucieusement reconstitué, l'insouciance de la jeunesse, les couleurs , les dessins collent à l'époque jusqu'au vocabulaire utilisé.



Le contraste entre le départ au front «la fleur au fusil» et la rencontre avec la mort et l'absurdité de la guerre et des ordres donnés est saisissant.



Une grande réussite, vite la suite...



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