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Critiques de Éric Liberge (210)
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La jeunesse de Staline, tome 2 : Koba

Une lecture que je vous recommande. Un livre fort, surtout en ce moment où l'on fête le centenaire de la Révolution d'octobre et une belle étude sur un des dictateurs qui ont marqué le XXème siècle. Un incroyable travail réalisé par trois auteurs de talent.
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La jeunesse de Staline, tome 1 : Sosso

Une bd historique saisissante. Staline, oui bien sûr, la moustache, les goulags, etc. Tout ça, ça va. La grogne populaire, l'arrivée de Lenine, la découverte du marxisme, la fin du tsarisme, c'est emmagasiné. Mais par contre qui est vraiment Staline? Je dois bien avouer que je n'en savais pas grand-chose (ah si, il est Géorgien...). C'est bien la force de ce récit, dans une période "bien" connue, les auteurs dévoilent Staline, sa rude famille, son passage au séminaire, la pauvreté, la vérole et surtout l'esprit combatif et pugnace qui le mèneront où l'on sait! À lire!
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La jeunesse de Staline, tome 2 : Koba

Brillant ! Un album qui nous entraîne plus loin dans la violence et dans l'horreur... Bref une histoire pas tendre ! On apprend des tonnes de détails sur Staline et son ascension aux plus hautes sphères de l'État... On sent chez lui aucune pitié, aucun amour, aucune empathie... C'est noir très noir...



On ne peut qu'aimer ! Je le conseille !!!
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La jeunesse de Staline, tome 1 : Sosso

J’avais une certaine appréhension en commençant cette BD. En effet, L’URSS et son histoire me passionnent, j’ai beaucoup étudié cette période et ses acteurs. En revanche, je ne connais pratiquement rien de l’avant URSS, ni l’histoire des autres pays du Caucase.



Le premier succès de cet album, c’est que, dès la première page, on est en immersion totale dans un univers de violence, de haine. C’est froid, il n’y a aucun amour, ni de l’enfant pour ses parents, ni des parents pour cet enfant… Les jeunes années de Staline sont sombres, misérables, mais il est animé par une curiosité immense et une énorme soif d’apprendre !



Tout au long de ce récit, on guette chez Staline l’expression d’un côté humain. Mais rien, personne ne semble compter à ses yeux ! L’amour, l’attachement, l’amitié semblent être pour lui des notions inconnues. Son ascension rapide – et violente – de Staline nous le montre passant du rôle de petit caïd à celui de mafieux, puis de terroriste.



La violence et la noirceur sont oppressantes, renforcées par les planches où les cadres empiètent les uns sur les autres. Le dessin, sec, précis et net, d’une qualité exceptionnelle, plonge le lecteur en apnée.



De mon point de vue, il s’agit véritablement d’un excellent album et j’ai extrêmement hâte que le second tome paraisse…



Enfin, je tiens à souligner le remarquable travail de la maison d’édition Les arènes : le résultat est toujours à la hauteur !
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Monsieur Mardi-Gras Descendres, tome 2 : Le..

Si tu te souviens de la critique du premier tome, tu sais que, bien que j’ai trouvé le graphisme époustouflant, j’avais deux-trois petites choses à critiquer au sujet de ce titre. J’espérais que dans le volume 2 les zones d’ombres s’éclaireraient et que les objectifs mal définis s’expliqueraient. Autant te dire tout de suite que ça n’a pas du tout été le cas.



Descendres à pu s’échapper du convoi qui l’emmenait à la prison de Saint-Luc. Ceux qui l’y ont aidé l’on emmené à bord d’une barque volante jusqu’au grand télescope de Charon dans l’espoir qu’il puisse s’en servir pour cartographier leur monde. Descendres, pas très emballé par le peu de matériel mis à sa disposition, râle un peu pour la forme mais fini par se mettre au travail dans l’espoir de récupérer son âme jetée au fond d’un puits.

Au sol, les recherches s’intensifient. Un squelette haut placé tenant vraiment à ce qu’on le capture. Dans le même temps une révolution couve chez les citoyens, inspirés par le comportement de Mardi-Gras.



Au niveau graphique il n’y a toujours presque rien à reprocher. Certes les divers personnages sont toujours un poil complexe à identifier, de part leur statu de squelette, mais ceux qui ont acquis un rôle récurent ont suffisamment de particularités physiques que pour qu’on puisse enfin les distinguer. Que ce soit grâce aux plaques de métal sur leur crane ou au habits que certains portent, on sait désormais en reconnaitre une poignée, les autres étant perdus dans la masse.

[...]



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La jeunesse de Staline, tome 1 : Sosso

On notera un beau travail sur la mise en couleurs d’Éric Liberge, ce qui permet de dynamiser son dessin, parfois un peu statique. Mais dans l’ensemble, cette histoire est très événementielle, peu rythmée, et elle peine à nous passionner, manquant un peu de souffle.
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Monsieur Mardi-Gras Descendres, Tome 1 : Bi..

Confus. C’est ce que je retiens surtout du scénario de ce premier tome. Bien sur il faut mettre en place et le personnage principal et les secondaires et l’intrigue. Mais j’ai trouvé que l’histoire mettait longtemps à démarrer. Ou plutôt à aller quelques part. Le fait que tous les personnages soient des squelettes n’aide pas à les différencier et certaines scènes deviennent vraiment difficile à déchiffrer.



Les hauts gradés cherchant à embrigader Mardi-Gras Descendres sont aussi ardus à comprendre. Lui veulent t-ils du bien ? Du mal ? Et ce grand crétin d’ailleurs, pourrait-il faire preuve d’un peu plus de bon sens, parfois ? Les personnages abonnés aux mauvaises décisions permettent évidement un plus grand éventail de situations dont ils doivent se dépêtrer, ce qui fait soit avancer l’histoire soit son essence propre. Mais quand Descendres s’énerve sur tout le monde sans autre raison valable que son manque de discernement, se mettant ainsi en danger inutilement, il est difficile de s’émouvoir de son sort quand il prend, effectivement, une bonne raclée.

[...]



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Le cas Alan Turing

Si Enigma était une machine indécodable, Alan Turing était lui aussi un mystère... Mal dans sa peau, pourtant véritable génie, le cas Alan Turing reste un destin tragique.
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La jeunesse de Staline, tome 1 : Sosso

Contrairement à d'autres qui auraient été anéantis par tant d'adversité, les épreuves subies pendant sa jeunesse vont faire de Staline un être combatif et impitoyable, déterminé à s'imposer coûte que coûte.



Un pied palmé, un bras abîmé, la vérole, un père alcoolique violent, on ne peut pas dire que les jeunes années de Staline soient pavées de roses. Heureusement, l'enfant peut compter sur une mère aimante, qui réussit à le faire entrer au séminaire de Tiflis, malgré leur grande pauvreté. Mais Sosso est un rebelle dans l'âme et après cinq ans à subir le mépris de ses camarades fortunés et la dictature des pères, mais aussi à lire des auteurs interdits, il en est renvoyé pour propagation du marxisme.



En réalité, Koba (le nouveau surnom de Staline) ne s'est pas présenté aux examens, car il souhaite être libre pour poursuivre l'activité révolutionnaire débutée au séminaire.

Organisation de grèves, vols, attentats, meurtres, la bataille est intense et sanglante, il alterne prison et clandestinité, constamment poursuivi par l'okrana qui finit par le capturer et l'envoyer en Sibérie.



Un excellent album aux dessins soignés et expressifs qui livre beaucoup d'informations sur la jeunesse, plus que tumultueuse, d'un des plus grands dictateurs du XXe siècle. Un tueur de masse qui a été aussi un enfant de chœur convaincu et un brillant élève - doué en autres pour la poésie - qui se destinait à la prêtrise !

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Monsieur Mardi Gras Descendres - Intégrale

Alors, je n'ai lu que les deux premiers tomes, parce qu'apparemment ma bibliothèque n'avait pas la suite de cet intégral...

Mais de toute façon, je ne pense pas que j'aurais emprunté la suite, vu comme j'ai eu du mal à finir cette première partie.

J'avais pourtant bien accroché en feuilletant la BD, mais alors une fois qu'on se plonge mieux dedans, aïe (à mon goût).

L'histoire a fini par me perdre, trop de personnages et je n'arrivais pas forcément bien à les resituer. Je tiens ici à préciser que les illustrations sont vraiment bien maîtrisées. Le dessinateur a su donner vie aux squelettes, leurs donner des expressions. Mais dans une histoire où il y a autant de personnages, uniquement des squelettes, ça devient un peu difficile de se repérer.

Bref, je n'ai pas accroché plus que ça au squelette principal, à l'univers, et surtout à cette histoire qui m'a semblé trop complexe pour être développée uniquement sur 4 tomes.
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La jeunesse de Staline, tome 1 : Sosso

Avec ce premier tome, La jeunesse de Staline offre une plongée dans l'histoire d'un homme qui a marqué durablement et cruellement l'Histoire. Rendez-vous est pris avec la suite.
Lien : http://www.bdgest.com/chroni..
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La jeunesse de Staline, tome 1 : Sosso

Vraiment une BD ambitieuse et remarquable qui nous fait découvrir de "l'intérieur" la naissance de Staline avec ses traumatismes d'enfance puis sa haine et sa violence très tôt révélée.

A lire absolument
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La jeunesse de Staline, tome 1 : Sosso

Un excellent premier tome, une belle surprise que je vous recommande sans hésiter un instant ! Une page d'histoire et un très bon moment de lecture !
Lien : http://www.sceneario.com/bd_..
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La jeunesse de Staline, tome 1 : Sosso

Les éditions "Les Arènes" ont très dernièrement publié une excellente bande dessinée sur Staline (1878-1953) et, plus spécialement, sur ses années de jeunesse. Le scénario est d'Arnaud Delalande et d'Hubert Prolongeau, tandis que les dessins (vraiment de très haute qualité) sont d'Eric Liberge.



Sur quelques 71 pages, la jeunesse de Staline est présentée par l'ancien chef d'Etat soviétique lui-même (à un collaborateur qui prend en note et dont l'avenir n'est de ce fait pas assuré...), et cela depuis sa naissance en Géorgie jusqu'à sa déportation en Sibérie par la police secrète du tsar. L'album donne à (re)découvrir l'empire des tsars de la fin du XIXe siècle, où le servage n'avait pas encore été aboli (quoique Napoléon l'ait supprimé à son arrivée, comme l'observe Tolstoï dans Guerre et paix). La misère régnait, à telle enseigne que les deux premiers enfants des parents de Staline étaient décédés en bas âge. Son enfance n'a pas été confortable, tant s'en faut, son père (cordonnier) ayant fini par sombrer dans l'ivrognerie. L'enfant subissait régulièrement sa violence et ses maltraitances. Mais, grâce à l'extrême bienveillance de sa mère, il a pu s'extirper de ce monde (délétère) et intégrer un séminaire de la capitale (Tiblissi, anciennement Tiflis). Là-bas, la russification est intense. Celui qui allait devenir "Le père des peuples" s'y instruit, en lisant tout ce qu'il pouvait (y compris les ouvrages -français- interdits). Cependant, il se détourne de la voie religieuse, afin de prendre part à la "lutte"!



Cette bande dessinée est une véritable réussite! L'on en attend la suite avec la plus extrême impatience!
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La jeunesse de Staline, tome 1 : Sosso

Comme tout le monde, Staline a eu une jeunesse. Comme (presque) tout le monde, c’est à cette période qu’il a construit le socle de sa future vie d’adulte. Naissance en 1878 à Gori, en Géorgie. Mère couturière, père cordonnier. Ce dernier, violent et rongé par l’alcool, précipite sa famille vers là ruine. Pour protéger son fils, la maman place le petit « Sosso » à l’école paroissiale. Frappé par la vérole, renversé par un fiacre (il en gardera des séquelles à un bras), le gamin enchaîne les coups durs. La lecture d’Hugo, de Marx et du Germinal de Zola façonnent ses prises de position politiques en faveur du peuple contre le tsar, les élites et les financiers. Après cinq ans au séminaire de Tiflis, cet athée fauteur de trouble « ingérable et d’une insolence rare » est renvoyé sans ménagement. Il entre alors dans la clandestinité, s’engageant de façon radicale et violente auprès du futur parti bolchévique dont il prendra bientôt les rênes aux cotés de Lénine et Trotsky.



Je ne connais quasiment rien de Staline. Je le vois juste comme un abominable dictateur. Cette biographie a le mérite de m’en apprendre plus sur le personnage, sur le parcours qui l’a amené à devenir un monstre sanguinaire à tendance psychopathe. Une vie de famille difficile, les galères qui s’enchaînent, une enfance où l’on en bave et une envie de s’en sortir en écrasant les autres, en faisant fi de l’humain, en se gardant de toute empathie qui pourrait perturber la marche en avant d’un destin glorieux. Finalement, avant d'être un idéologue, Staline se comporte comme un caïd, un mafieux géorgien en guerre contre l’impérialisme russe.



Les auteurs ont l’intelligence de placer leur récit en 1931, au cœur du Kremlin, alors que Staline dispose des pleins pouvoirs depuis trois ans après avoir éliminé tous ses opposants. Le petit père des peuples va se confesser à un secrétaire du parti et raconter sa jeunesse. Cette astuce narrative permet d’emblée au lecteur de ne pas oublier que si le portrait des jeunes années offre l’image un peu romantique d’un voyou lettré fascinant ses camarades et capable de discours électrisant la foule, il n’en reste pas moins l’un des plus impitoyables tyrans de l’Histoire. Pas d’apologie donc. Ni d’excuses à avancer pour justifier l’injustifiable. Les événements s’enchaînent et illustrent avec limpidité la naissance du monstre, en dehors de tout jugement.



Le dessin réaliste donne dans l’efficacité et rappelle par moments le trait de l’excellent Jean-Yves Delitte, période Donnington. Un premier tome de qualité, percutant et documenté, loin de toute hagiographie, qui dresse le portrait d’un futur tueur de masse dans toute sa complexité.


Lien : http://litterature-a-blog.bl..
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Monsieur Mardi-Gras Descendres, Tome 1 : Bi..

Surprenant !



J'ai commencé cette Bd car elle fait souvent partie des Bd à lire absolument si on cherche quelque chose d'original. Et quelle originalité!



Victor Tourterelle, cartographe de son état, meurt d'un accident "de voiture" mais au lieu d'aller au paradis ou en enfer, il se retrouve dans un monde étrange, désolé et sinistre.



L'auteur donne ici sa vision de la vie après la mort, un monde sombre, froid et vaste, appuyée par des graphismes précis et détaillé et par l’absence de couleurs.



Ce premier tome reste introductif, l'univers développé par l'auteur est très complexe et parfois difficile à comprendre.



Je lirais la suite avec intérêt.
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Wotan - Intégrale

Après la publication d'un premier album couvrant 1939 et 1940, Dupuis, l'éditeur a décidé de rassembler ce qui devait l'être en trois livres, dans un seul et bel album. Ainsi, "Wotan", nom, en vieil allemand, du dieu de l'orage et de la tempête, passionne de bout en bout le lecteur qui apprécie aussi la qualité des dessins très fouillés d'Éric Liberge.

L'histoire débute avec Louison, un jeune garçon hanté par le traumatisme extrêmement violent qu'il a vécu. Elle se poursuit avec Étienne Murol qui va vivre au plus près l'atrocité des crimes nazis et Yin-Tsu, photographe japonaise vivant à Paris, se retrouvant enrôlée par Himmler, lui-même. Les destins de ces trois personnages s'entrecroisent, se mêlent parfois mais rien ne nous est épargné au coeur de l'horreur de ces années les plus sombres de ce qu'on appelle pourtant l'humanité.

Éric Liberge le confirme : « Tous les faits historiques décrits, extraits de discours, de propagande raciale qui nourrissent le récit, tous les propos tenus sur ces sujets, aussi aberrants soient-ils, sont tristement authentiques. » Ainsi, on comprend mieux pourquoi l'auteur parle de cet obscurantisme imposé comme système politique, ajoutant que « la Seconde guerre mondiale reste un formidable miroir de notre époque actuelle. »

Se basant sur les récits de ses parents ajoutés dans le dossier historique, l'auteur décrit bien la mobilisation de son père, l'exode et les tourments de l'occupation. Au coeur du récit, les hésitations, les questions que se posent les principaux protagonistes permettent de nous interroger sur notre attitude éventuelle face à l'idéologie nazie et à son emprise sur les consciences en utilisant tous les moyens d'une violence rare.

La seconde partie traite de la Shoah par balle accomplie par les Einsatzgruppen sur le front de l'Est, des massacres planifiés trop longtemps ignorés. Éric Liberge met aussi en lumière cet institut de recherches Ahnenerbe, Société pour la recherche et l'enseignement sur l'héritage ancestral, créée par le Reichsführer SS Himmler, allant jusqu'aux expérimentations médicales dans les camps de concentration et en particulier dans celui du Struthof, en Alsace, en liaison avec l'Institut d'anatomie de l'université de Strasbourg.

"Wotan" est une fresque très impressionnante qui révèle le cheminement psychologique, difficilement compréhensible aujourd'hui, de ceux qui ont été plongés bien malgré eux dans la tourmente.
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Camille Claudel

J'ai tout simplement détesté cette BD.

Les dessins sont moches, l'histoire est truffé de fautes.

Et oui, quand on s'attaque aux grands de ce monde, on se documente un tant soit peu.

J'ai été bien déçue car Camille est une de mes passions, et je comptais me régaler de cette BD.

Mais pour moi, c'est médiocre.

Je l'aurai feuilleté avant, je ne l'aurai pas acheté...
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Monsieur Mardi-Gras Descendres, Tome 4 : Le..

la fin d'une magnifiques histoire tres mysterieuse et non denuèe de charme on notera l'evolution des dessins au fil des tomes qui font apparaitre dans ce dernier tome des nuances de gris et quelques effets colorès divers ....
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Monsieur Mardi-Gras Descendres, Tome 3 : Le..

j'ai adorè cette histoire on ne peu plus etrange au dessins fantastiques
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