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Des histoires des années 1920-1930, dans un village de pionniers l'Abitibi-Témiscamingue au Québec.
Okiko, c'est le nom de la rivière qui traverse le village. Un cours d'eau important, car on peut y faire flotter le bois, y construire un pont ou même s'y noyer.
Okiko, c'est le nom d'origine autochtone qui vient de Okikodasik Sibi, « la rivière du pin gris ». le village s'était d'abord appelé Okiko, comme la gare qui le desservait, mais on lui a préféré le nom de La Reine, nom d'un régiment français lors du siège de Québec en 1759.
L'auteur a choisi d'utiliser le terme « contes », même si ce n'est pas du tout le style « il était une fois ». Il s'agit plutôt d'anecdotes des débuts de son patelin, de racontars dont on a du mal à mesure la véracité, d'autant plus que des fantômes y interviennent quelques fois.
Une lecture intéressante pour qui s'intéresse à l'histoire locale et aux expressions populaires.
Okiko, c'est le nom de la rivière qui traverse le village. Un cours d'eau important, car on peut y faire flotter le bois, y construire un pont ou même s'y noyer.
Okiko, c'est le nom d'origine autochtone qui vient de Okikodasik Sibi, « la rivière du pin gris ». le village s'était d'abord appelé Okiko, comme la gare qui le desservait, mais on lui a préféré le nom de La Reine, nom d'un régiment français lors du siège de Québec en 1759.
L'auteur a choisi d'utiliser le terme « contes », même si ce n'est pas du tout le style « il était une fois ». Il s'agit plutôt d'anecdotes des débuts de son patelin, de racontars dont on a du mal à mesure la véracité, d'autant plus que des fantômes y interviennent quelques fois.
Une lecture intéressante pour qui s'intéresse à l'histoire locale et aux expressions populaires.
Ce court essai m’a un peu déçu. L’auteur nous conte comment vivaient les fermiers au Québec entre 1940 et 1960, d’après ses souvenirs ainsi qu’une très maigre recherche.
Si la prémice m’a intéressée, j’ai trouvé la forme un peu décevante. L’auteur n’a pas une plume particulièrement intéressante. Il lui manque de la rigueur et s’il connait le sujet, il ne parvient pas à nous transmettre son savoir naturellement. À de trop nombreuses reprise, il se répète dans ses explications ou écrit des phrases à rallonge.
Le texte ne semble pas non plus avoir été révisé, ce qui est dommage sachant le potentiel qu’aurait pu avoir l’essai. En supprimant quelques bout de phrase par ci par là, l’essai aurait grandement pu être amélioré.
C’est sans parler du formatage du livre qui est plus que douteux. L’amateurisme de l’éditeur est flagrant, et les erreurs de mise en page sont tout à fait ridicule.
J’aurais aimé pouvoir apprécier cette lecture, mais je ne peux malheureusement pas affirmer cela. J’ai certes appris de nombreuses choses à propos de la vie sur les fermes de cette époque, mais l’apprentissage a été pénible.
Si la prémice m’a intéressée, j’ai trouvé la forme un peu décevante. L’auteur n’a pas une plume particulièrement intéressante. Il lui manque de la rigueur et s’il connait le sujet, il ne parvient pas à nous transmettre son savoir naturellement. À de trop nombreuses reprise, il se répète dans ses explications ou écrit des phrases à rallonge.
Le texte ne semble pas non plus avoir été révisé, ce qui est dommage sachant le potentiel qu’aurait pu avoir l’essai. En supprimant quelques bout de phrase par ci par là, l’essai aurait grandement pu être amélioré.
C’est sans parler du formatage du livre qui est plus que douteux. L’amateurisme de l’éditeur est flagrant, et les erreurs de mise en page sont tout à fait ridicule.
J’aurais aimé pouvoir apprécier cette lecture, mais je ne peux malheureusement pas affirmer cela. J’ai certes appris de nombreuses choses à propos de la vie sur les fermes de cette époque, mais l’apprentissage a été pénible.
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