AccueilMes livresAjouter des livres
Découvrir
LivresAuteursLecteursCritiquesCitationsListesQuizGroupesQuestionsPrix BabelioRencontresLe Carnet
EAN : 9782921640633
220 pages
Maxime (01/05/2005)
4/5   1 notes
Résumé :
L'Okiko, rivière inconnue, coule ses eaux brunâtres dans le nord-ouest d'un pays trois fois grand comme la France. Jadis, au printemps, la rivière se gonflait, portait des milliers de billots qui alimentaient les scieries ou les moulins à papier.

Sur sa rive gauche s'étendait un village qui se perdait dans la campagne, où bûcherons et fermiers écrivaient leur vie à coups de hache et de scie, à tensions de rein su la charrue et les vieillottes de foin,... >Voir plus
Acheter ce livre sur
Fnac
Amazon
Decitre
Cultura
Rakuten
Que lire après Les contes de l'OkikoVoir plus
Critiques, Analyses et Avis (1) Ajouter une critique
Des histoires des années 1920-1930, dans un village de pionniers l'Abitibi-Témiscamingue au Québec.

Okiko, c'est le nom de la rivière qui traverse le village. Un cours d'eau important, car on peut y faire flotter le bois, y construire un pont ou même s'y noyer.

Okiko, c'est le nom d'origine autochtone qui vient de Okikodasik Sibi, « la rivière du pin gris ». le village s'était d'abord appelé Okiko, comme la gare qui le desservait, mais on lui a préféré le nom de la Reine, nom d'un régiment français lors du siège de Québec en 1759.

L'auteur a choisi d'utiliser le terme « contes », même si ce n'est pas du tout le style « il était une fois ». Il s'agit plutôt d'anecdotes des débuts de son patelin, de racontars dont on a du mal à mesure la véracité, d'autant plus que des fantômes y interviennent quelques fois.

Une lecture intéressante pour qui s'intéresse à l'histoire locale et aux expressions populaires.
Commenter  J’apprécie          310

Citations et extraits (1) Ajouter une citation
Arseneault était un homme généreux, pas nécessairement de ses biens, mais de sa nourriture. Il demeurait près de la voie ferrée, face à une « switch ». Quand les « frets » faisaient l’aiguillage, la manœuvre prenait un certain temps. Des « jompeux de tenders » jaillissaient souvent d’une cage vide, couraient à la maison pour demande « à manger pour l’amour du bon Dieu ». Il avait averti sa bru : « Refuse jamais de donner à manger à un gars qui vient le demander. Moé pis mon garçon, on a de l’ouvrage pis on a du pain, du beurre, pis des œufs en masse; ça fait qu’on peut aider les autres à pas pâtir de faim. »

(Maxime, p.54)
Commenter  J’apprécie          70

autres livres classés : reinesVoir plus
Acheter ce livre sur
Fnac
Amazon
Decitre
Cultura
Rakuten

Lecteurs (2) Voir plus



Quiz Voir plus

Quelle guerre ?

Autant en emporte le vent, de Margaret Mitchell

la guerre hispano américaine
la guerre d'indépendance américaine
la guerre de sécession
la guerre des pâtissiers

12 questions
3211 lecteurs ont répondu
Thèmes : guerre , histoire militaire , histoireCréer un quiz sur ce livre

{* *}