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Le Grand Livre du Mois. [corriger]


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Hannibal Lecter : Les origines du mal

Au début j'avoue que j'ai pas du tout accroché car je ne comprenais quasiment rien avec le vocabulaire employé ça arrivait au milieu que j'ai réussi à peu près à comprendre et c'est la fin qui a fait autant monter la note car dans son ensemble le livre est bien avec une histoire donc le trois étoiles que je lui aimais le mérite quand même
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Le Père Goriot

Dans ce premier volume de la Comédie Humaine, les bases sont posées avec force.

Nous sentons tout le dégoût de Balzac tant pour le petit peuple cherchant par tout moyen à s’élever comme bourgeois que pour la noblesse et la haute bourgeoisie. La nature humaine y est laide, même sous la dorure des somptueux apparats.

Le roman est difficile à lire : l’on se demande où s’arrêtera la bêtise, l’âpreté et le cynisme des personnages face au drame du père Goriot, un ancien commerçant prospère vivant dans la plus sombre misère après avoir offert sa fortune à ses deux filles.

Avec Eugène de Rastignac, jeune étudiant provincial encore vierge de la souillure du genre humain, nous entamons un voyage initiatique dans les différentes couches de la société parisienne. Il évolue sans arrêt entre l’obscure pension où il vit et les plus grands salons parisiens dont Balzac se plaît à décrire le luxe pour mieux y faire contraster la pauvreté morale de ses habitants.

En pénétrant la haute société, Eugène perd sa candeur et y découvre l’arrivisme, le jeu, l’appât du gain, le calcul, la tromperie. Il apprend que les plus riches palais ne renferment pas plus de noblesse de cœur que la sombre cuisine de sa pension.

Glaçant et toujours d'actualité.

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Le Père Goriot

Goriot est pensionnaire dans une pension au coeur de Paris, régulièrement il reçoit la visite de jeunes femmes très belles, à se côtés il y a également Rastignac tout juste débarqué en ville et qui tente de s'y faire une place.



Alors si j'ai adoré le décor parisien et la description des mœurs de l'époque, j'avoue que ce fut quand même une lecture bien compliquée pour moi, je me suis perdue plusieurs fois dans ses pages interminables de réflexions, les noms des personnages, les ambitions des uns, les trahisons des autres. La situation de Rastignac et ses relations m'importaient peu. J'ai par contre hyper bien accroché sur la dernière partie après la vérité sur Vautrin et le final assez explosif concernant Goriot et ses proches. Une lecture en demi-teinte.
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