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Persuasion de Jane Austen est un incontournable de la littérature classique anglaise. L’œuvre captive par sa finesse dans la caractérisation des personnages, son exploration profonde des relations sociales et son commentaire subtil sur les conventions de l’époque.
L’auteure nous présente Anne Elliot, une héroïne attachante et nuancée, confrontée à des dilemmes moraux et à des défis sociaux. Sa perspicacité et sa sensibilité sont captivantes, et son parcours émotionnel fascine le lecteur, offrant une immersion complète dans ses pensées et ses sentiments.
L’intrigue, bien que centrée sur la romance entre Anne et Frederick Wentworth, va au-delà des conventions habituelles des romans de l’époque. Elle aborde avec subtilité des thèmes tels que la classe sociale, les pressions familiales et les conséquences des choix passés. Jane Austen excelle dans la satire sociale, offrant des observations perspicaces sur la société de son temps.
Cependant, la seule lacune notable dans cette œuvre réside dans sa conclusion. La résolution de la romance entre Anne et Wentworth semble quelque peu hâtive. Après avoir construit avec tant de soin la tension émotionnelle entre les deux protagonistes, la résolution semble un peu précipitée, privant ainsi le lecteur d’une fin plus développée et satisfaisante.
Malgré cette légère déception dans la conclusion, “Persuasion” reste une lecture riche et gratifiante. La prose élégante de Jane Austen, sa capacité à dépeindre les subtilités des relations humaines et la profondeur de ses personnages en font un incontournable de la littérature, méritant amplement sa place parmi les classiques.
L’auteure nous présente Anne Elliot, une héroïne attachante et nuancée, confrontée à des dilemmes moraux et à des défis sociaux. Sa perspicacité et sa sensibilité sont captivantes, et son parcours émotionnel fascine le lecteur, offrant une immersion complète dans ses pensées et ses sentiments.
L’intrigue, bien que centrée sur la romance entre Anne et Frederick Wentworth, va au-delà des conventions habituelles des romans de l’époque. Elle aborde avec subtilité des thèmes tels que la classe sociale, les pressions familiales et les conséquences des choix passés. Jane Austen excelle dans la satire sociale, offrant des observations perspicaces sur la société de son temps.
Cependant, la seule lacune notable dans cette œuvre réside dans sa conclusion. La résolution de la romance entre Anne et Wentworth semble quelque peu hâtive. Après avoir construit avec tant de soin la tension émotionnelle entre les deux protagonistes, la résolution semble un peu précipitée, privant ainsi le lecteur d’une fin plus développée et satisfaisante.
Malgré cette légère déception dans la conclusion, “Persuasion” reste une lecture riche et gratifiante. La prose élégante de Jane Austen, sa capacité à dépeindre les subtilités des relations humaines et la profondeur de ses personnages en font un incontournable de la littérature, méritant amplement sa place parmi les classiques.
Est-ce la traduction ?
Le style début 19ème ?
Ou les détails et discussions des aristocrates ou nobles de la société anglaise ?
Peut-être tout simplement une attente démesurée autour de ce classique encensé.
Je me suis accrochée, j'ai persisté, mais rien à faire, je me suis ennuyée.
Je reconnais que la critique sociale est intéressante, que Jane Austen peint une époque avec finesse, que l'on perçoit à merveille l'importance de l'apparence, de la richesse et de la condition féminine, étriquée dans des usages et des coutumes pesantes.
Ce n'est pas Jane Austen en tant que telle. J'ai récemment pris plaisir au petit Lady Susan, plus caustique, plus rythmé et plus amusant. Mais je suis restée à l'extérieur de ce roman assez lent et descriptif, où tous les personnages s'appellent Elliot (j'exagère certes, mais je me suis souvent perdue) et dans lequel je n'ai ressenti aucune empathie pour Anne Elliot, notre chère héroïne.
Le style début 19ème ?
Ou les détails et discussions des aristocrates ou nobles de la société anglaise ?
Peut-être tout simplement une attente démesurée autour de ce classique encensé.
Je me suis accrochée, j'ai persisté, mais rien à faire, je me suis ennuyée.
Je reconnais que la critique sociale est intéressante, que Jane Austen peint une époque avec finesse, que l'on perçoit à merveille l'importance de l'apparence, de la richesse et de la condition féminine, étriquée dans des usages et des coutumes pesantes.
Ce n'est pas Jane Austen en tant que telle. J'ai récemment pris plaisir au petit Lady Susan, plus caustique, plus rythmé et plus amusant. Mais je suis restée à l'extérieur de ce roman assez lent et descriptif, où tous les personnages s'appellent Elliot (j'exagère certes, mais je me suis souvent perdue) et dans lequel je n'ai ressenti aucune empathie pour Anne Elliot, notre chère héroïne.
Une histoire passionnante remplie de rebondissement.
Une aventure, un véritable shonen qui nous tient du début a la fin de l’oeuvre
Une ile déserte, un trésor, des hommes.
Le roman sur l’univers des pirates dans toutes sa splendeur.
L’ile au trésor un héritage qui a servi a beaucoup dont au très célèbre One Piece.
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