Savoir, vouloir et ne pas pouvoir, quelle injustice.
La quête d’Alexandre se poursuit, le monde fantastique gagne en noirceur.
Des scènes dures et légères à la fois : l’hospitalisation, l’impuissance à agir, le moule de l’éducation, la pression sociale, la difficulté à aimer et aider, les parents prisonniers du conformisme.
Les actes ingénieux, trépidants, tendres, tristes décrivent si bien la complexité à combattre le mal-être, la profonde torpeur détruisant le sens que le héros voudrait donner à sa vie.
Cette introspection me parle, cruellement amusante, bouleversante, délicate et violente.
Entre facile et inaccessible.
Alexandre va-t-il arriver à terrasser le monstre ?
Commenter  J’apprécie         00