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Dupuis [corriger]

Dupuis est un éditeur de bande dessinée belge, créé en 1898 à Charleroi par l`imprimeur Jean Dupuis. En 1938 est lancé le magazine Spirou, magazine hebdomadaire de bande dessinée. Créateur des univers Lucky Luke, Spirou, Boule et Bill, Les Schtroumpfs, Cédric ou Largo Winch, Dupuis est aujourd`hui une référence dans le monde de la bande-dessinée.

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Dernières critiques
Wild West, tome 2 : Wild Bill

Ce deuxième tome est tout aussi remarquable que le premier. Le scénario nous dévoile la suite des événements du premier tome.

Nous continuons à suivre les péripéties de Wild Bill et de Jane Cannary. Elle se retrouve parmi les cavaliers américains en se faisant passer pour un homme, avant d'être en compagnie des Indiens. Wild Bill poursuit sa quête en tant que chasseur de primes.

C'est vraiment dommage que nous ayons une connaissance moins approfondie de la vie de Wild Bill que de celle de Jane Cannary.

Les décors de l'univers et les dessins sont toujours aussi superbes. On se laisse emporter par les tribus indiennes et leur mode de vie.

J'espère retrouver nos protagonistes dans le tome 3.
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Missak, Mélinée & le groupe Manouchian : Les fu..

Une bande dessinée pédagogique très documentée , consacrée aux FTP-MOI victimes de la barbarie nazie.

Manouchian, tout le monde en a entendu parler ; mais ses compagnons d'infortune - les autres visages de "l'affiche rouge" - sont peu connus du grand public. Conçue comme une longue interview de Mélinée Manouchian, cette BD rend hommage à l'ensemble du groupe, en détaillant par le menu leurs actions d'éclat, leurs parcours individuels et leur fin tragique.
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Barcelona, âme noire

La première page est grandiose. Des voyageurs attendent leur train en gare de Barcelona, sous une voûte en fer ajourée. Des tickets, un journal, traînent sur le quai; des gens sont assis sur des valises, conversent ou lisent.

Le ton est donné : souci du détail, expansion de l'espace, jeux d'ombre et de lumière. Chaque ambiance a sa couleur attitrée, d'une tonalité claire, association heureuse de quelques couleurs dominantes, déclinées à l'envi. Les femmes sont pulpeuses et bien en chair, les hommes, secs comme des triques. Au fil des péripéties, le visage du personnage principal durcit, illustration de la mue de Carlitos, fils de l'épicier, en Carlos, dur au mal et cruel en affaires.

Quant aux décors, très précis et vivants, je présume qu'ils ont été confiés aux dessinateurs barcelonais. J'ai eu l'impression d'être transporté sur place, des ramblas au cabaret interlope.

Outre cette orgie graphique, un scénario solide, au service d'un drame classique, déployé sur quarante années et 144 pages, contribue à un intense moment de lecture, plaisir des yeux et tourment de l'âme.



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