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Follement addicte du romantic suspense, je me rends compte qu’en ce moment, j’en lis énormément et sans me lasser, en plus !
Remarquez qu’il est difficile de s’ennuyer lorsque l’auteur déroule le fil de son histoire avec autant de brio, tout en imprégnant son récit d’une ambiance pesante et lourde propre aux lieux reculés où tout le monde se connaît et se mêle de tout. Ajoutez à ça la chaleur étouffante qui transpire littéralement des pages de ce roman et j’étais assurée de rester scotchée à l’histoire jusqu’au bout. Il ne manque pas grand-chose en fait pour que ce soit un coup de cœur. Juste des sentiments plus lents et plus évidents car j’ai trouvé que la romance ne prenait pas assez son temps pour que j’arrive à y croire pleinement. Il n’y a rien à faire, les coups de foudre, ça ne marche jamais avec moi !
Pour le reste, c’est un régal. L’enquête est très bien menée (ou je devrais dire, les enquêtes ?) Car indépendamment de la découverte de ces restes humains, la vie à Lancaster est loin d’être de tout repos, entre maire et chef de la police locale corrompus, violences conjugales et j’en passe !
J’ai aimé les mystères qui entourent la découverte des ossements. Enigmes qui ne font que s’accentuer et gagner en puissance tout au long du récit. J’ai aimé les personnages, principaux comme secondaires, leurs personnalités travaillées, leur profondeur et leur faculté à émouvoir. J’ai aimé la dynamique des relations qui régissent la vie des habitants de ce comté, entre amitié et amour filial, entre non dits et rancœurs, entre aigreur et ressentiment. Et enfin, j’ai aimé Chris et Sawyer.
Chris, l’écrivain asocial et rêveur, la tête toujours en recherche de sa prochaine histoire, nourrie intensément par ses observations et son vécu (et il a de quoi faire depuis son installation à Lancaster Falls !)
Sawyer, le policier droit dans ses bottes et taciturne, uniquement occupé à rendre sa ville propre et à balayer les détritus qui s’y accrochent.
Bref, j’ai tellement aimé cette histoire que je plonge directement dans le tome 2, qui me tend les bras...
Remarquez qu’il est difficile de s’ennuyer lorsque l’auteur déroule le fil de son histoire avec autant de brio, tout en imprégnant son récit d’une ambiance pesante et lourde propre aux lieux reculés où tout le monde se connaît et se mêle de tout. Ajoutez à ça la chaleur étouffante qui transpire littéralement des pages de ce roman et j’étais assurée de rester scotchée à l’histoire jusqu’au bout. Il ne manque pas grand-chose en fait pour que ce soit un coup de cœur. Juste des sentiments plus lents et plus évidents car j’ai trouvé que la romance ne prenait pas assez son temps pour que j’arrive à y croire pleinement. Il n’y a rien à faire, les coups de foudre, ça ne marche jamais avec moi !
Pour le reste, c’est un régal. L’enquête est très bien menée (ou je devrais dire, les enquêtes ?) Car indépendamment de la découverte de ces restes humains, la vie à Lancaster est loin d’être de tout repos, entre maire et chef de la police locale corrompus, violences conjugales et j’en passe !
J’ai aimé les mystères qui entourent la découverte des ossements. Enigmes qui ne font que s’accentuer et gagner en puissance tout au long du récit. J’ai aimé les personnages, principaux comme secondaires, leurs personnalités travaillées, leur profondeur et leur faculté à émouvoir. J’ai aimé la dynamique des relations qui régissent la vie des habitants de ce comté, entre amitié et amour filial, entre non dits et rancœurs, entre aigreur et ressentiment. Et enfin, j’ai aimé Chris et Sawyer.
Chris, l’écrivain asocial et rêveur, la tête toujours en recherche de sa prochaine histoire, nourrie intensément par ses observations et son vécu (et il a de quoi faire depuis son installation à Lancaster Falls !)
Sawyer, le policier droit dans ses bottes et taciturne, uniquement occupé à rendre sa ville propre et à balayer les détritus qui s’y accrochent.
Bref, j’ai tellement aimé cette histoire que je plonge directement dans le tome 2, qui me tend les bras...