L'histoire démarre avec la disparition des 5 jeunes enfants dans une petit ville de Pennsylvanie.

Un agent du FBI est chargé de mener cette enquête et très rapidement cela le mène vers une forêt étrange.

A partir de là, soit on adhère à la suite de l’histoire qui est incroyablement complexe, sanglante, rocambolesque, avec des thèmes variés tous plus incroyables les uns que les autres, soit on décroche car trop c'est trop.

Personnellement, je me suis laissée totalement embarquer dans cette histoire où on va être confronté à de la sorcellerie, à des sociétés secrètes, avec à la clé des scènes d'action, du mystère, des secrets d'état, du sexe, de la violence et on parlera même de l'avenir de l'humanité....

Alors, bien sûr, tout ça fait vraiment beaucoup pour un seul et même roman, mais je l'ai dévoré d'une traite, tellement j’étais happée par l'intrigue.

Ce 9ème album horoscopique est consacré au Sagittaire et , comme de bien entendu le héros se nomme Chevalier (Ah !), il pratique le tir à l’arc et l’équitation (Ah !Ah !) et vit dans le regret de son épouse Diana Bow (Ah !Ah ! Ah !) . Le médaillon magique lui confère le pouvoir de voyager dans le temps mais ce remarquable cadeau se paie parfois fort cher comme le prouve l’histoire. Le scénario (très classique) n’est pas mal et j’aime beaucoup le dessin . L’un des meilleurs de la série à mon goût.

Originalité dans la série d’albums astrologique :l’action se situe en Russie ,l’héroïne n’a pas un nom transparent du genre Bianca Virgo et l’ambiance de tout le volume est carrément gore . De la double vie d’un auteure érotico-sataniste ,à sa capture par un groupuscule de « gardiens de la morale » tous plus crades les uns que les autres on déboue histoire de fantôme vengeur. Hélas pour eux la donzelle a le pouvoir (donné par son médaillon) d’évoquer son corps astral , y compris post-mortem ! Pas mal cet album avec des dessins d’une grande laideur justifiée par le sujet.

5ème album de la série astrologique consacré au signe du Lion. Un début franchement fantastique et même gothique le médaillon permettant à sa titulaire l’art de la nécromancie . Un sympathique squelette nazi dévoile l’emplacement d’un trésor ( la mythique opération Topliz) en échange de 20% en dons caritatifs (un nazi repentant !!) . L’héroïne , Mme Tilda Leoni (Ha !) membre du Lyon’s club (ah !ah !) exécute le contrat mais tout ne se passe pas bien… La suite est plus dans le roman noir classique .Et pour finir la sempiternelle récolte du médaillon par une main inconnue… Album moyen.

Au bas de Cold Hill, une pancarte "Manoir à vendre".

A priori un charmant manoir, à retaper tout de même, cela fait quelques années qu'il est laissé à l'abandon.

Mais cela ne semble pas faire peur à Ollie et Caro qui investissent toutes leurs économies dans ce bien. "VENDU".



Bienvenue dans la campagne anglaise. Mais ce manoir va vite devenir un gouffre financier, les tapisseries se décollent au milieu de la nuit, les murs s’effondrent et les robinets s'ouvrent tout seuls en plein sommeil, inondant la chambre à coucher. Tiens... le lit a changé de place...



Avec ce lit qui bouge à 180°, il y a ce petit coté l'exorciste, même si la fille ne balance pas de gerbe verte à l'autre bout de sa chambre. Mais il y a bien ce premier pasteur, puis ce second pasteur qui paraissent tout aussi perplexes. Le manoir cacherait-il un profond secret. Ou serait-il occupé par des indésirables, des oubliés d'un autre siècle.



Je pose ainsi sur la table le thème de ce roman, une histoire de fantômes et d'accidents inhabituels. De quoi, en tant que maître des lieux, se poser des questions. Du genre vivre avec ou chasser ces esprits. Et une fois admis le fait qu'on n'est pas dans un rêve, à quoi se raccrocher si ce n'est à la folie. Le manoir de Cold Hill en deviendrait même un cauchemar. Vous reprendrez bien une tasse de thé... ou un verre d'Ardbeg... pour sentir le fumé-tourbé des maisons hantées.



Hey Ollie, c'est quoi cette fenêtre entre la chambre bleue et la chambre jaune... mais... mais... on dirait qu'il y a des personnes qui nous regardent par la fenêtre ?



"Caro et Ollie se tenaient nus à côté du lit, grelottants.

- Est-ce qu'on devient fous ? demanda-t-elle.

Il souleva les quatre coins du matelas, l'un après l'autre et observa les écrous rouillés qui maintenaient le cadre. Il essaya de les dévisser à la main, mais aucun ne se desserra.

- Ollie, c'est juste impossible.

Il perçut la terreur dans sa voix. Il regarda la plafond, puis les murs, puis de nouveau le plafond, dans la confusion la plus totale.

- On est en train de rêver ?

- Non, ce n'est pas un rêve."



Une nouvelle pancarte en bas de Cold Hill : "A VENDRE".

3ème épisode du cercle zodiacal en BD . Dès le départ un pont est établi avec le premier volume dont la page 4 reprend des vignettes .On retrouve aussi la voyante Agatha Mercury et son pendentif. Elle est engagée par une dame nommée Gemini (ah ah !) pour retrouver son jumeau (Ah Ah Ah !) ce qui constituera l’intrigue principale de l’album (un peu larmoyant mais pas mal ) .L’intervention d’un autre personnage nanti d’un médaillon (Scorpion) laisse supposer un meta récit dans la série. Album correct.

Premier volume d’une série sous le signe des astres (astrologiquement parlant) . A la base on démarre sur une histoire policière ultra classique : bavure policière, puis serial Killer ( surnommé le Bélier et traqué par un flic nommé Aries …cohérent mais un peu lourd ,non ? ) ,.Un élément fantastique est introduit par un pendentif « Gémeaux » qui aide une voyante à localiser la victime et le policier a le sien (Bélier) aussi. . Puis d’interminables planches sur les théories sur les tueurs en série…Le récit ne s’anime que vers la fin (le dessin est cependant très raide) . Ce n’est pas très bon (à mon goût) .

Nouvelle écrite en 1844 traduite par Baudelaire en 1848. Le sujet de départ se rapporte à une des grandes modes de l'époque : le magnétisme animal (on le retrouve dans beaucoup d'ouvrages par exemple dans "Les mémoires d'un médecin" de Dumas ) avec l'effet pour celui qui sait l'utiliser la possibilité de susciter chez le patient un "rêve éveillé" dans lequel il peut avoir accès à des visions. Mais en fait dans la nouvelle à partir de ce prétexte Poe développe des théories (à mon goût ennuyeuses et fumeuses) sur les rapports de l'individu à Dieu.

Pour ceux qui s'en souviennent, j'avais relu La maison des oubliés pour pouvoir enchaîner avec la suite, 47 Allée du Lac.



Ce vieux et gigantesque manoir hanté avait un charme et une "présence" presque inoubliables.

En tout cas, j'avais beaucoup aimé.



Je me suis donc jetée avec enthousiasme sur la suite, parce que c'est pas le tout, mais je me demandais où étaient passés tous ces morts... fantômes.

C'est kif-kif.



Après l'incendie qui a réduit le manoir en poussière, tout a éé rasé pour construire un lotissement de maisons modernes et classieuses.



Un couple sympathique visite la plus grande d'entre elles et tombe sous le charme dès le premier regard.



De plus, ça tombe bien, le second étage fait toute la dimension de la maison, des baies vitrées partout... idéal pour un atelier.

Et justement, Jason est artiste peintre. Il commence à se faire une certaine popularité, les clients se bousculent, les galeries lui organisent des expositions.



Au rez-de-chaussée, une cuisine professionnelle a remplacé le garage, ce qui tombe également très bien, puisque la femme de Jason, Emily, est traiteur.



Commande de tout ce qui est électrique à la voix, etc. aménagement de la maison à la pointe de la technologie.



Bon, le bidule tombe en panne dès les 5 premières minutes, mais qu'à cela ne tienne, ça marche même débranché. Sauf que ça marche comme ça veut.

Parce que les entités, qui ont évolué au même rythme que quand ils étaient vivants, font mumuse avec les gadgets.



Je ne sais pas vous, mais moi je suis certaine que j'en ferais autant.

Ils se montrent, parlent, répondent, font du boucan. La durée de leur absence ne les a pas rendus plus aimables qu'auparavant.



Hormis Jason et Emily, dans la maison d'en face, nous avons un couple un peu extravagant, pour ne pas dire cocasse, que je vous laisse découvrir.

Ils m'ont bien amusée, ces deux-là.



Et puis il y a l'homme au cigare, j'ai failli l'oublier !



*******



J'ai été déçue par ce roman. Les phénomènes se multiplient mais Jason cherche une explication rationnelle à tout ce qui se passe, et la trouve.



Il voit des choses qui ne se sont jamais produites, même si sa femme les voit aussi, puis le nie.

Rencontre des gens apparemment en chair et en os...



Je n'ai pas trouvé l'histoire crédible, je n'ai pas frissonné du tout. J'ai beaucoup ri par moments, c'est toujours ça de pris.

J'attendais quand même autre chose, d'autant que j'aime beaucoup Peter James.

Il s'est sans doute autant amusé que moi, en fait.



Sa plume est toujours aussi belle, mais aucune émotion n'en est ressortie pour ce qui me concerne. Les personnages ne m'ont pas touchée du tout.

Plus qu'à passer au suivant.



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« Maman ! Si tu es bien quelque part, donne-moi un signe fort de la continuité de ton existence. » Cet appel du cœur en ce samedi 13 août 2022, c’est celui de Romuald Leterrier envers Marylène, sa maman, qui s’est éteinte en septembre 2021.



Depuis que ses parents sont décédés tous les deux à six mois d’intervalle, Romuald n’a pas le moral, son état d’esprit est au plus bas et empreint d’un doute terrible : « Et s’il n’y avait rien après la mort ? ».



Suite à la perte d’êtres chers, personne n’est à l’abri d’une telle remise en question, même Romuald Leterrier, pourtant auteur de "Se souvenir de l’au-delà".



Beaucoup ressentent ce vide abyssal dans l’attente d’un signe qui viendrait anéantir cette pensée obsessionnelle, et c’est ce qui va se passer pour Romuald Leterrier.



Après avoir fait cette demande à sa maman, il part se rendre avec son fils Ronin à une exposition. Durant le trajet, quelque chose de très puissant le pousse à faire un détour pour se rendre à la majestueuse basilique d’Avioth et c’est là, devant la chaire à prêcher, que Romuald Leterrier va se retrouver face à l’impensable, à l’inexplicable.



Juste devant ses yeux se dresse, sculptée dans la pierre, une statue de la Vierge Marie à l’Enfant. Cette statue symbolique, qui ne ressemble à aucune autre puisque c’est la seule qui a été réalisée avec ce visage, représente, trait pour trait, sa maman décédée onze mois plus tôt...



À partir de cet instant, devant l’ampleur du message de sa mère, tout va basculer pour Romuald Leterrier.



D’abord abasourdi, hébété devant ce miracle personnalisé qui l’attend depuis 484 ans, il va entreprendre des recherches.



Au fur et à mesure, en repensant aux conversations avec sa maman, à ces précieuses informations et indices dans les récits visionnaires qu’elle a vécus durant son séjour à l’hôpital ; aux diverses manifestations synchronistiques et à l’expérimentation du pouvoir narratif de l’imagination, qui a donné la possibilité à sa mère de se manifester, c’est une autre porte hors du temps qui s’est ouverte, un accès à la lisière des mondes qui va changer sa compréhension, et la nôtre par la même occasion, sur cet ailleurs que Marylène a entrevu.



Je ne vais pas vous en dire plus, car ce livre est à lire pour bien comprendre ces autres voies, ces autres moyens d’expression qui nous permettent d’établir la rencontre, le contact avec nos chers disparus qui, en fin de compte, ne le sont pas, du moins pas comme on l’entend.



« Ces domaines, comme les rêves, les visions, les dimensions spirituelles, et la réalité physique peuvent nous paraître séparés, certains réels et d’autres irréels. Nous avons tendance à dissocier le rêve du réel, l’imagination de la matière, le spirituel du naturel. Or ils sont tous reliés. »



C’est exactement ce que j’ai pu analyser à travers d’autres témoignages et celui de Romuald Leterrier, aussi déroutant soit-il, constitue une grosse pièce d’un immense puzzle et je peux vous dire que tout ceci, de la première à la dernière page où Romuald nous partage certaines de ses photos, m’a littéralement époustouflée.
Lien : http://www.leslecturesdeflor..

Encore maintenant, après plus qu'une quarantaine de romans du maitre lus, il me retourne le ventre. "Conte de fées" de Stephen King est un enchantement en tout point. Une poupée russe romanesque dont on ne veut pas voir le bout!



Dans une longue première partie de roman, on suit Charlie qui se lie d'amitié avec un vieux monsieur en fin de vie, et son chien dans le même état. Stephen King nous livre une relation touchante, riche en émotions. Il prend le tout d'installer une relation unique, notamment entre Charlie et Radar le chien.



Vers les 30% du livre, King nous ouvre la porte vers le fantastique, vers un autre monde, car il y a bien d'autres mondes saï. Oui, on peut facilement lié toute cette histoire à la Tour Sombre bien entendu! Les 19 ne manquent pas!



Ce plongeon dans le fantastique est captivant. En revanche, il ne faut pas s'attendre au conte de fée Disney. Ce monde est très sombre, lovecraftien. On nage dans une ambiance qui touche clairement notre ressenti, nos émotions. Un sentiment étrange nous enivre jusqu'à une troisième partie, où l'histoire ralentie grandement mais n'en ai pas moins captivante! Il faut même dire que tout est allé très vite dans cette seconde partie. On regrette que l'univers ne soit pas plus exploité, et les personnages, nombreux, sont assez vite expédiés.



Enfin le final, l'apothéose, on ne lâche plus le bouquin! Encore une fois, tout va trop ou très vite en tout cas. On nage dans un univers flou qui participe à l'horreur de la situation. Le tout se termine parfaitement, une vraie fin donc pour King, et qui ravira beaucoup de personne je pense.



Bref, c'est un excellent King. On est triste de le lâcher, de le refermer à jamais comme on ferme une porte vers les autres mondes. Nul doute qu'on aurait adoré y passer plus de temps, et explorer toute les possibilités offertes, bien qu'elles soient infinies.

2e tome de la Saga du soleil noir.

J'ai retrouvé avec grand plaisir les personnages du 1er tome : Marcas (non, pas Antoine), Laure (alias Mathilda), Ian Flemming (eh oui, c'est bien l'auteur de 007), Erika l'archéologue, et tous les autres qu'ils soient connus de l'Histoire ou pas.

Nous voilà à la poursuite de la 3e svastika derrière les forces hitlériennes. Et comme pour le 1er tome, j'ai aimé les aventures et rebondissements. J'aime surtout que l'ésotérisme entre en action car il est maintenant reconnu qu'Hitler y attachait beaucoup d'importance et Himmler encore plus.

D'ailleurs merci aux auteurs d'avoir rajouté à la fin des livres un petit chapitre "Pour démêler le vrai du faux". Toujours intéressant de faire le tri et de garder de bonnes références.

Une bonne série historique comme sait le faire ce duo d'auteurs.

Du sexe , du fric ,Venise , Las Végas ,Croisière …. L’ambiance est dorée à l’or fin dans cet épisode . Le personnage principal ,aidée de son pouvoir (la télékinésie) , traque un gigolo professionnel dépouilleur de cœurs solitaires friqués . L’intrigue est plan-plan jusqu’au coup de théâtre final . Le dessin est assez dynamique (la bagarre 38/39 ) mais les visages des personnages sont bâclés à un point incroyable , c’est à peine si on peut les reconnaître (p.6 le visage de Mr Black !!! ).Assez médiocre dans l’ensemble.

Deuxième essai de lecture de cette série après le très mauvais début par « le taureau » . D’abord un point positif ,le dessin est beaucoup plus dynamique et attractif ce qui n’est pas rien . Ensuite la tonalité fantastique est beaucoup plus accentuée : fantômes, alchimie, grimoire… Le contraste entre monde du rêve et réalité , les riches et les pauvres est bien souligné. Reste que le scénario n’est pas très clair et les personnages assez caricaturaux (surtout le dénommé Melvin). Enfin , comme dans le 2 je constate qu’on laisse son collier à Mr Crawfish ( !!) sur son lit d’hôpital (comme dans la prison du taureau.) Etonnant ,non ?

Tout ça pour ça ?



Je n'avais pas compris, en débutant ma lecture, que "Le testament des siècles" était un roman d'action ésotérique et comme je me suis jadis mortellement ennuyée à la lecture du "Da Vinci code", j'ai commencé à craindre le pire. Et puis, rapidement, j'ai été perturbée par les énormes similitudes entre les deux œuvres, me demandant qui avait paraphrasé l'autre, de Dan Brown ou de Henri Lœvenbruck.



Mars 2003 : Sortie aux USA du "Da Vinci Code"

Novembre 2003 : Sortie en France du "Testament des siècles"

Mars 2004 : Sortie en France du "Da Vinci Code"



Dans les deux œuvres, on trouve une héroïne principale nommé Sophie, la Joconde, Léonard de Vinci, les Croisés, un message caché du Christ, la franc-maçonnerie, des sociétés secrètes dont l'Opus Dei, des tueurs acharnés, des courses-poursuites abracadabrantes, une histoire religieuse fustigée et réécrite, des mythes plus ou moins crédibles, un ascendant du personnage principal qui menait des recherches occultes secrètes... Tout cela m'a procuré un sentiment de déjà vu.



Si je me suis légèrement moins ennuyée qu'avec le roman de Dan Brown, je ne peux pas dire non plus avoir pris un pied d'enfer. Les intrigues capillotractées ont tendance à me perdre assez vite. Divertissant mais sans plus.





Challenge MULTI-DEFIS 2024