Dilbert, ça vaut 10 étoiles, pas 5...
Mais ça, c'est quand on a droit à un gag par jour pour se délasser en ouvrant son journal. Entre les licenciements et les chiens écrasés, Dilbert, cela fait office de respiration salutaire, de bulle de savon parfumée à la lavande bio...
Dans un mini-recueil de 30 pages (et d'une vingtaine de gags), cela ne donne pas le même effet.
Le recueil est axé sur des situations très conflictuelles (mais pas toujours physiques, vu que les pressions psychiques, le harcèlement moral ou mental sont omniprésentes dans l'univers de Dilbert) dans l'environnement de travail. Peu de cubicle, mais beaucoup de vexations émanant de la hiérarchie.
Le dessin de
Scott Adams est un must de simplicité et d'efficacité, collant parfaitement aux gags.